lundi 15 janvier 2018

SFID chez Mme Leroy - chapitre 4

Je n’avais pas vu la journée passer. Après la correction à mon arrivée qui m’avait procurée de fortes émotions et évidemment d’avoir les fesses douloureuses, les choses s’étaient enchainées.
Madame Leroy m’avait présenté à l’ensemble du personnel comme le nouveau responsable web-marketing. J’avais vu dans les yeux de beaucoup une interrogation car cela ne voulait rien dire pour eux. Ce métier n’existait pas il y a 20 ans. Certains n’était peut-être même jamais allés sur voir sur internet dans ce coin de la Sologne, somme toute encore très rurale et campagnard et ou l’ordinateur n’était pas un objet vitale loin de là.

J’avais rencontré Madame Simone la directrice de production qui m’avait fort impressionné. D’origine Alsacienne c’était une grande et forte femme d’une cinquantaine d’année qui dirigeait toute la production d’une main de maîtresse. Le personnel filait doux devant elle car sa réputation de correctrice n’était plus à faire. C’est elle qui dirigeait les essais et tests des instruments qu’elle contribuait à créer et chaque membre de l’entreprise avait dû à un moment ou à un autre présenter ses fesses à la fustigation de ses bras musclés. Je devais passer dans la semaine une journée entière avec elle pour découvrir la gamme des instruments. Travaux pratique à l’appui. J’appréhendai déjà cette journée qui s’annonçait douloureuse d’après ce que j’avais pu entendre.
Ensuite Madame Leroy m’avait installé dans mon bureau pas très éloigné du sien et équipé d’un bel ordinateur qui allait être mon principal outil de travail au cours de ces prochains mois. Celle-ci me dit que la proximité lui permettrait ainsi de suivre plus facilement l’avancée de mon travail. Car elle souhaitait aller vite. Pour moi j’y voyais plutôt un inconvénient. J’aurai préféré me trouver proche du bureau de Céline pour qui je commençais à en pincer comme on dit. Outre ses confidences sur sa vision de la discipline, sa gentillesse à mon égard m’avait touché. Malgré qu’elle m’ait vigoureusement fouettée le matin même sur injonction de Madame Leroy pour mon retard, je ne lui en tenais pas rigueur. J’avais fauté, j’avais été puni, c’était dans l’ordre des choses.
A midi elle m’avait emmené déjeuner à la cafeteria de l’entreprise situé dans un bâtiment moderne construit dans le terrain attenant. Une trentaine de personnes, trop éloignées de chez elles pour rentrer à midi, y déjeunait avec la gamelle qu’elles avaient préparée. Deux grands frigos permettait de stocker la nourriture, des fours à microondes de la réchauffer, et des tables et chaises permettaient de s’assoir. De la vaisselle était à disposition ainsi que des machines à café.
Dans une pièce attenante un babyfoot et des fauteuils permettaient de se détendre.
Céline me proposa de partager sa salade et la petite quiche qu’elle avait amenée. Nous devisâmes gentiment et je lui expliquai en quoi consistait mon métier. Elle ouvrait des yeux admiratifs car si elle surfait beaucoup sur internet l’envers du décor était pour elle un mystère.
Elle m’expliqua que depuis 4 ans à la SFID, elle habitait une petite maison de village qu’elle avait achetée récemment après avoir longtemps loué , en fait l’ancienne cure près de l’église, pas très loin de l’entreprise. Les campagnes fonctionnant maintenant avec un prêtre pour 6 ou 7 paroisses, parfois plus, beaucoup de cure étaient abandonnées ou reconverties. Elle me dit que les week-ends d’hiver étaient longs car il y avait très peu de distraction alentour. Certes un cinéma existait dans le village mais il n’était ouvert que le samedi soir et le dimanche avec des bénévoles qui le faisait fonctionner. Et on y retrouvait toujours les mêmes cinéphiles de la région.
Céline avait perdu sa mère jeune et son père qui n’avait qu’une fille l’avait alors mis en pension ne pouvant s’en occuper de par sa profession qui l’obligeait à voyager. Elle avait donc passé à St Marie, institution de religieuses, toutes ses années de collège et lycées. Elle m’expliqua qu’à St Marie les châtiments corporels étaient la règle absolue.
Cela l’avait beaucoup aidé à travailler et à devenir ce qu’elle était aujourd’hui, une Directrice des ressources humaines d’une grosse PME à 28 ans ce dont elle était très fière. Pour ses études supérieures son père avait pu obtenir des religieuses de St Marie qu’elle conserve une chambre dans l’institution. Ainsi elle allait à la fac de droit la journée et rentrait tous les soirs à St Marie.
De fait elle était toujours soumise au règlement de l’institution et devait remettre ses notes à Sœur Clotilde qui avait une délégation de tutorat de son père. Elle m’expliqua qu’elle avait été corrigé en cas de trop faible résultat ou d’entorse au règlement jusqu’à 23 ans, date à laquelle elle avait réussi son master 2 de ressources humaines. Elle était même corrigée deux fois pour une même faute. Une fois pour la faute elle-même et la deuxième parce que la punition devait normalement être doublé à la maison. Comme sa maison était chez les sœurs elle avait donc double ration de fessée comme il se devait mais à quelques heures d’intervalle afin qu’elle perçoive bien, comme les autres élèves, les bienfaits de cette deuxième fessée.
Par chance, au même moment les sœurs avait su par Madame Leroy que la chef du personnel de la SFID partait à la retraite. Les sœurs faisait en effet une fois par an le voyage jusqu’à la SFID pour se réapprovisionner en instrument qu’elles usaient beaucoup sur les derrières de leurs élèves. C’était de très anciennes clientes de la maison, pratiquement depuis le début de la SFID. Les sœurs avaient changé depuis 1869 mais les méthodes non.
Et c’est comme cela que Céline était passée directement de St Marie à la SFID. D’un règlement à un autre. Elle avait eu un peu de mal au début. Madame Leroy était très exigeante et Céline n’ayant pas d’expérience professionnelle avait dû prendre sur elle pour rentrer dans sa fonction. La première année elle était passé plus d’une fois sur le pupitre dans le bureau de Madame Leroy. Sans compter qu’elle avait habité chez elle quelque temps au début. Et que parfois la discipline domestique s’appliquait aussi le soir. Puis cela s’était espacé, Céline avait pris son indépendance et maintenant Madame Leroy lui faisait beaucoup confiance et avait même élargi le champ de ses responsabilités. Elle lui déléguait même parfois son droit de correction comme ce matin sur moi.
Elle faisait partie du comité de direction au même titre que Madame Simone la Directrice de production, Madame Agnès la Directrice de l’administration des ventes et commercial et Madame Frédérique la directrice financière en vacances cette semaine.
Elle me dit pratiquer l’équitation dans un club pas très loin d’ici le week-end et parfois en soirée l’été. Elle rajouta qu’elle m’aiderait dans mes recherches de logement si je le voulais. J’étais ravi de sa proposition car j’avais envie de passer du temps avec elle, d’autant que je ne connaissais personne ici et que je n’allais rentrer à Paris que pour vider mon appartement.
Je serai bien resté l’après-midi entière à discuter avec Céline mais une sonnerie retentit dans le réfectoire rappelant à l’ordre les distraits. Il fallait reprendre le travail sous peine de …

Je devais découvrir et apprendre le catalogue de la SFID avant ma journée avec Madame Simone. Il était indispensable que je connaisse bien les produits puisque ensuite il fallait que je les intègre dans la construction du site que je devais créer. J’avais donc du pain sur la planche ou plutôt du fouet sur la fesse !
Je m’assis donc pour la première fois derrière mon bureau pour me plonger dans le catalogue de la SFID. Il fallait absolument que j’aie bien repéré les catégories et à l’intérieur des catégories les différents modèles et leurs caractéristiques pour pouvoir répondre aux questions de Madame Simone et lui poser des questions pertinentes prouvant que j’avais étudié sérieusement.
Au début du catalogue se trouvait la partie que l’on appelle « corporate » en Anglais et qui est en fait la présentation de l’entreprise, de ses points forts, de ses sites de production, de ses valeurs etc… ainsi que de sa responsabilité sociale et environnementale RSE, mot très à la mode au 21ème siècle.
Un éditorial de Madame Leroy avec sa photo expliquait l’histoire de l’entreprise familiale depuis ses origines jusqu’à aujourd’hui.
Pour les valeurs de l’entreprise la discipline ressortait évidemment en valeur Numéro 1. La SFID se vantait d’en faire la promotion autant que faire se peut et si possible avec ses instruments. Et d’abord au sein même de l’entreprise ou une partie du règlement intérieur était reproduit. Des témoignages de clients satisfaits vantaient la qualité et l’efficacité des instruments de la SFID. Parmi eux, le témoignage de sœur Clotilde à Sainte Marie dont m’avait parlé Céline. Ainsi que les créatrices de l’institut F, Caroline et Marie, spécialisées en fessée, qui recommandaient chaudement l’usage des instruments de la SFID.
Pour le RSE on pouvait lire que les cannes anglaises provenaient de forêt écologiquement gérées en Indonésie, que le cuir ne contenait pas de substances indésirables, que les instruments pouvaient être recyclés.
Une page vantait et présentait les tests et l’on voyait des paires de fesses dominées par le bras de Madame Simone, éprouvant la résistance d’un martinet. En face de chaque instrument outre la photo de celui-ci une loupe photo présentait un morceau de peau de puni avec la marque imprimée par l’instrument à titre d’exemple.
Je devrais, dans le cadre du site, prévoir en plus pour chaque instrument un film de démonstration de l’instrument en fonction. Ce que ne permettait évidemment pas le catalogue papier.

L’après-midi passa très vite, absorbé que j’étais à découvrir les nombreux produits de la SFID.
Madame Leroy m’avait dit de la retrouver chez elle à 18h30. Compte tenu de l’expérience de ce matin c’est à 18h30 pétante que je sonnais à la porte de sa grande maison juste en face de l’entreprise. J’avais récupéré ma valise dans ma voiture que j’avais laissée garé sur le parking tout proche.
Une petite jeune femme rousse, habillée en corsage blanc, jupe noire et petit tablier blanc qui devait être une domestique m’ouvrit la porte. Après m’être présenté elle me dit d’attendre dans le vaste et très beau hall de la maison pendant qu’elle allait prévenir Madame. Elle disparut dans ce que je présumais être l’office. Quelques minutes plus tard j’entendis quelqu’un arrivé par le majestueux escalier de marbre au centre du hall. Je vis apparaître Madame Leroy encore plus majestueuse et belle que ce matin.
« Je vois que vous êtes à l’heure Georges. La leçon de ce matin aurait ’elle portée ses fruits ? »
Je rougissais en repensant à l’admonestation cinglante à mon arrivée et à la correction au martinet qui s’en était suivi.
Sans attendre ma réponse, elle me pria de la suivre pour me montrer ma chambre. Je montais l’escalier à sa suite avec ma valise à la main. Au premier étage dans un grand couloir, elle ouvrit une porte et me fit entrer dans une grande pièce avec un grand lit à baldaquin au milieu.
« Voici la chambre d’invité. Elle n’a pas servi depuis un moment et j’espère que vous y serez bien. »
Une commode et une grande armoire ancienne complétait le mobilier.
« Vous avez la salle de bain attenante ici me dit-elle en ouvrant une nouvelle porte. »
J’aperçu une pièce recouverte de carreaux de faïence blanc avec une grande baignoire et même un bidet comme cela se faisait autrefois.
Aujourd’hui c’est le genre d’accessoire devenu complètement obsolète mais autrefois il était indispensable, non pas pour se laver les pieds ou les fesses, usage normalement admis. Mais aussi aux femmes pour à califourchon sur leur bidet nettoyer à grande eau leur intimité après un rapport sexuel. Et ainsi éviter de tomber enceinte. Avec la pilule plus besoin de bidet !
Revenant dans la chambre elle se hissa sur la pointe des pieds et passa sa main sur la corniche de l’armoire. Revenu à une position normale elle examina ses doigts et, ce qu’elle y vit, la mit en furie.
Elle ressortie dans le couloir et hurla :
« Gisèle ! »
J’entendis quelqu’un monter précipitamment les escaliers et je vis arriver la petite bonne qui m’avait ouvert la porte. Elle s’avança respectueusement devant Madame Leroy qui lui montra sa main couverte de poussière.
« Je vous avais bien dire de faire la chambre d’ami à fond ce matin ? Vous ne devez pas savoir ce que veut dire à fond. Allez me chercher la cravache immédiatement que je répare cette lacune.
– Mais Madame… commença timidement la petite bonne. »
Une claque sonore donnée avec la main empoussiérée arrêta net la tentative d’explication de Gisèle.
« Dépêchez-vous, vous aggravez votre cas. »
Gisèle ressortit alors précipitamment de la chambre pour revenir en courant une cravache dans les mains qu’elle présenta à Madame Leroy comme une offrande en baissant la tête.
Celle-ci s’en saisit par la tige. Elle me tendit alors le manche en me disant :
« Prenez Georges, c’est vous qui allez corriger cette souillon. Après tout c’est votre chambre qu’elle a négligée. »
Très gêné mais ne pouvant refuser cette invitation je prenais la cravache ne sachant trop qu’en faire.
« En position dit sèchement Madame Leroy ! »
Gisèle se courba alors sans hésiter attrapant ses chevilles avec les mains,  la tête en bas pour prendre une position qu’elle semblait bien connaître.
Madame Leroy remonta alors la jupe sur ses reins, et attrapant l’élastique de la petite culotte blanche de chaque côté des cuisses l’abaissa sans ménagement sur les chevilles de la petite bonne.
Je découvris alors un charmant petit derrière blanc avec cependant quelques traces rouges de lanières presque effacées sur le côté des cuisses, vestige d’une correction précédente probablement.
Une belle touffe rousse débordait de l’entrejambe. On ne devait pas encore connaitre la mode de l’épilation intégrale dans ce coin de Sologne.
« C’est à vous dit Madame Leroy. »
N’ayant jamais cravaché personne je ne savais trop quoi faire. Je donnais donc un petit coup timide sur les fesses de Gisèle qui attendait craintivement sa punition.
« Si vous n’y allez pas franchement plus fort Gisèle n’est pas prête de faire des progrès en ménage. Voulez-vous que je vous montre sur vous comment on donne la cravache. »
Je n’y tenais pas du tout aussi mon deuxième coup déclencha-t-il une plainte de Gisèle et je vis la trace de la cravache apparaître sous la forme d’une belle ligne rouge ponctuée de la claquette sur le bord la fesse.
Enhardie par ce premier coup réussi et désireux de montrer à Madame Leroy que je savais tenir compte de ses consignes, je me mis alors à enchaîner les coups de plus en plus fort avec une hardiesse qui me surprenait moi-même. Les petites fesses potelées de Gisèle se prêtaient bien à cet instrument qui claquait et rebondissait sur ce postérieur.
C’est Madame Leroy qui m’arrêta au 12ème coup car des boursouflures commençaient à gonfler sur les petites fesses de Gisèle qui pleurait sans s’arrêter.
« C’est bon pour cette fois. Il faut quand même que Gisèle aille préparer le dîner. Vous pouvez disposer ma fille. Vous reviendrez nettoyez ce que vous avez oublié pendant que nous dînerons. »
Gisèle se redressa le visage aussi rouge que ses fesses, remonta sa culotte, rabattit sa jupe et disparut sans demander son reste après s’être inclinée devant Madame Leroy et avoir dit :
« Bien Madame, Merci Madame.
– Installez-vous Georges. Vous êtes ici chez moi aussi j’entends que l’ordre règne dans votre chambre comme il règne dans la maison. Vous devrez faire votre lit et faire en sorte que votre chambre soit propre et rangée en permanence. Gisèle fera le ménage à fond une fois par semaine. Vous vérifierez vous-même son passage comme je viens de le faire car si je trouve encore des traces de poussière ce sera vous qui serez puni.

Respectez ces consignes et tout se passera bien. Sinon la discipline domestique s’appliquera comme elle vient de s’appliquer avec Gisèle. Vous devrez être ponctuel au dîner du soir à 19h30 dans la salle à manger au rez-de-chaussée. A tout à l’heure.

Pour suivre le fil de ce récit

Le premier de la série :  chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 3
La suite : chapitre 5
:

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3 commentaires:

  1. La description très détaillée d'un monde ( féminin) de l'entreprise associé à l'univers de la fessée crée un décalage assez original entre réalité et fiction. Ces "Femmes entrepreneur" exercent une double autorité: sur le fonctionnement de leur entreprise et sur les fesses des membre du personnel... On promotionne la pratique de la fessée en fabricant et vendant des martinets comme n'importe quel autre produit de consommation courante, avec les même stratégies commerciales. Le rapprochement bien exploité est Amusant! Mais, encore une fois, le centre d'intérêt du récit étant focalisé sur les instruments de discipline, le lecteur se trouve un peu privé des bonnes et traditionnelles fessées déculottées à la main. Mais bon... ça chauffe bien quand même! Merci à l'auteur.

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  2. Bonjour Ramina, tu ne crois pas si bien dire concernant la fessée manuelle. La suite du récit va effectivement confirmer ton intuition. Bonne lecture à venir.

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  3. Oui...il me semble que le contact charnel, ou sensuel ( c'est comme on veut ) d'une main sur une belle paire de fesses est tout de même plus attrayant que celui par l'intermédiaire d'un instrument, si efficace soit-il. Bon question d'appréciation. J'attends donc la suite. merci

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