Ma compagne a dû me donner une fessée déculottée. Encore une fois. J’ai bien essayé de l’éviter et j’ai réussi à en retarder l’administration jusqu’à dimanche matin, mais je ne me faisais pas trop d’illusions. Elle m’avait annoncé la fessée dès le samedi soir et j’avais peu d’espoir de passer au travers.
Elle m’avait ordonné de me raser et les préoccupations du samedi aidant, j’ai oublié de le faire. Nous étions couchés dans notre lit quand elle s’en est aperçue. Sans doute mon visage l’avait quelque peu gratté alors que nous étions en plein câlin.
« Mais tu piques ! »
Elle a dit cela tout en s’écartant.
« Ne t’avais-je donc pas dit de te raser ? »
Dans ces cas-là, j’essaye de faire profil bas. Je ne répondis pas et je tentai de me lancer dans un nouveau câlin.
« Non, non, non, tu réponds d’abord à ma question ! »
C’était mal parti. Il fallait répondre.
« Si, mais j’ai oublié.
– Tu as oublié alors que tu avais tout le temps de le faire ? »
Cela ne sentait pas bon.
« Quand je te demande quelque chose, je tiens à ce que tu le fasses ! »
Elle accompagna cette réprimande par une claque sonore sur mes fesses. Comme je ne portais pas de bas de pyjama, elles étaient nues. Je sais que ma compagne n’aime pas quand je ne lui obéis pas du premier coup.
« Tu vas avoir une fessée ! »
Bien que je m’attendisse à cette conclusion, elle ne me fit pas plaisir. J’admettais qu’elle était parfaitement justifiée, mais je savais que ce serait un mauvais moment à passer. Elle me prit le bras, visiblement avec l’intention de me l’administrer sur le champ.
« Pas maintenant, il est trop tard, plaidai-je aussitôt. »
Je sentis la résolution de ma compagne fléchir. Ce n’était pas qu’elle renonçait à me fesser, mais la perspective d’interrompre ce moment d’intimité entre nous deux dans notre lit ne lui plaisait pas plus qu’à moi.
« Pas ce soir, il est trop tard. Demain !
– Bon d’accord, pas ce soir, mais demain ce sera une grosse fessée, bien plus que celle que tu aurais prise ce soir. »
Je la laissais sur cette conclusion, laissant la nuit et la distance que cela représentait, atténuer cette décision. Certes, j’allais prendre une fessée le lendemain, mais avec un peu de chance, elle ne serait pas trop forte.
Nous reprîmes notre câlin, non sans que ma compagne se plaigne de temps en temps de ma barbe naissante. Il est vrai qu’un passage du rasoir n’aurait pas été de trop. De toute façon, comme elle m’avait ordonné de le faire, c’était une désobéissance, cela valait une fessée. Je ne voyais pas comment y échapper.
Ce matin, dès son réveil, je lui ai fait un bisou.
« Ça gratte, dit-elle. Tu n’as pas oublié que je vais te donner une fessée, j’espère ?
– Non, Maman.
– Nous allons déjeuner et je te punirai après. »
Le petit déjeuner a été bien trop court. Dès que nous eûmes mis toute la vaisselle sale dans l’évier, elle revint à sa résolution. Elle me prit par la main et m’obligea à faire les quelques pas qui nous conduisirent dans un espace dégagé, là où elle aurait toute la place qu’il lui fallait. Elle me plaça devant elle et elle entreprit aussitôt de déboutonner la ceinture de mon bermuda. Il tomba à mes pieds. Elle fit glisser ma culotte de quelques centimètres, juste assez pour dénuder mes fesses, laissant le sous-vêtement en haut de mes cuisses. Je ne m’étais pas fait d’illusion, mais elle annonçait ainsi que ce serait une fessée déculottée.
« Ne t’avais pas dit de te raser ?
– Si Maman,
– L’as-tu fait ?
– Non Maman.
– Comment cela se fait-il ? »
Elle accompagna cette question d’une claque sur mes fesses.
« Aïe, j’ai oublié.
– Ah, tu as oublié, alors que tu aurais eu largement le temps de la faire après le dîner d’hier soir. »
Une nouvelle claque sur les fesses vint souligner sa réprimande.
« Eh bien moi, je vais prendre le temps de te fesser pour cette désobéissance ! »
Elle reprit ma culotte et la descendit jusqu’à mes genoux. Déculotté et debout devant elle, je n’en menais pas large. Elle ne me laissa pas le temps d’une nouvelle supplication. Elle entoura ma taille de son bras et elle me courba sous son coude. Mes fesses étaient parfaitement disposées pour ce qu’elle envisageait. Je me raccrochais à ce que je pouvais, un bras passé autour de sa taille et une main accrochée à son pantalon de survêtement, à la hauteur de son mollet.
La fessée commença. Sa main claqua toute la surface qui était à sa disposition, depuis le sommet de mes fesses jusqu’au haut de mes cuisses, à droite et à gauche. Cela faisait, à chaque fois, un mal de chien, mais je n’osais pas quitter de force la position dans laquelle elle m’avait mis. Je savais que cette fessée était méritée et puis l’enjeu était trop grand. Si je refusais de recevoir cette fessée, cela compromettrait certainement durablement notre relation et ça, ni elle ni moi, nous ne le souhaitions.
Il ne me restait plus qu’une solution : attendre la fin de la correction et ne plus recommencer de si tôt ce qui l’avait justifiée. Je ne pouvais toutefois pas retenir mes cris de douleur. Elle comme moi étions alors insensibles à ce que des éventuels voisins puissent entendre par la fenêtre ouverte. Heureusement, il n’est, je l’espère, passé personne durant cette punition.
J’avais les fesses toutes cuisantes quand elle me relâcha.
« Va chercher la brosse, m’ordonna-t-elle ! »
Cela voulait dire me rendre dans la salle de bain où elle rangeait la brosse pour se peigner les cheveux et accessoirement pour me donner la fessée. Il n’était pas question, je ne l’ai même pas évoqué, de remonter ma culotte. Elle attendait que je traverse la maison les fesses nues, pour bien me montrer que j’avais perdu tous mes privilèges d’adulte et en tout premier le droit à une pudeur de bon aloi.
Quand je revins, je lui tendis la brosse. Elle avait disposé une chaise dans le milieu du séjour. Elle s’y assit. Ma correction n’était pas finie. Ce n’était qu’une pause. Elle allait reprendre immédiatement. Elle me prit par le coude et m’obligea à me coucher à plat ventre en travers de ses genoux.
« Je tiens à ce que tu obéisses immédiatement quand je te demande quelque chose. Puisque tu ne sais pas le faire par toi-même, je vais te l’apprendre avec une bonne fessée. Est-ce compris ?
– Oui, Maman ! »
C’est avec sa main qu’elle recommença à m’administrer la fessée. Les claques étaient très fortes et la cuisson de mes fesses avait atteint un paroxysme, du moins je le croyais. Il m’était toujours impossible de me dégager de son emprise. Je devais donc attendre qu’elle ait décidé que j’avais été assez puni, mais visiblement, ce n’était pas pour tout de suite.
Une courte interruption et c’est la brosse qui prit le relais. Je pense que ma compagne ne met pas toute sa force dans l’application du dos de la brosse. Cela n’était pas plus fort que quand elle n’utilisait que sa main. Cela m’allait très bien, même si, sur le moment, j’aurais préféré que ça s’arrête. Heureusement, ma compagne ne jugea pas utile que la brosse fasse son office trop longtemps sur mes fesses. Une bonne vingtaine de coups et elle la reposa.
Mais ce n’était que pour continuer avec sa main. Je pense qu’elle devait également y ressentir une cuisson, mais certainement bien plus supportable que celle que je ressentais sur mon postérieur. Quatre, cinq fois au même endroit, puis la même chose de l’autre côté. Alors elle descendait sur le haut de mes cuisses et recommençait de la même façon. J’espérais que chaque claque fût la dernière, mais il me fallut attendre pour arriver à ce Graal.
Quand je reçois une fessée, j’ai toujours l’impression qu’elle est très longue, sauf quand il s’agit d’une fessée d’avertissement. D’après ma compagne, celle-là n’a pas été très longue, mais elle dit cela à chaque fois. Pour moi, elle a duré bien assez longtemps.
Quand elle me releva, elle me conduisit tout droit au coin. C’était logique, je devais avoir le temps, sans que la punition fût totalement achevée, de réfléchir à ce qui m’avait conduit dans cette situation peu enviable. Quand j’y fus immobile, les bras croisés dans le dos, elle me donna encore quatre ou cinq claques sur chaque fesse. Cela me faisait vraiment très mal et, sans quitter la position qui m’était imposée, je me tortillais à chaque fois que sa main claquait mes fesses.
« Et je ne veux pas te voir bouger ! »
Bouger ? Il n’en était pas question. Je savais bien qu’une nouvelle fessée sanctionnerait chaque désobéissance. Je devais montrer que je reconnaissais que ma punition avait été méritée. Ma culotte baissée ne faisait que renforcer le sentiment d’infantilisation. Ma compagne n’a eu que peu l’occasion de mettre au coin, la culotte baissée après une fessée, alors qu’il y avait d’autres personnes dans la pièce. Mais je sais que si cette éventualité se présente de nouveau, elle n’hésitera pas.
Elle ne m’a pas laissé au coin très longtemps. Je n’ai qu’à peine eu le temps de m’y ennuyer. Elle vaqua à ses occupations sans plus s’occuper de moi. Le nez contre le mur, je ne voyais rien de ce qu’elle faisait. Je me sentais alors comme un petit garçon puni, mais je crois que c’est ce qu’elle souhaitait.
Ce n’est qu’après lui avoir demandé pardon pour ma désobéissance qu’elle remonta ma culotte et mon pantalon.
« Va te raser, maintenant ! »
Sûr que j’obéis sans attendre.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal racontée ici
Un grand merci pour partager votre témoignage.
RépondreSupprimerEncore une sacrée fessée, bien méritée.
RépondreSupprimerVous avez quand même de la chance de pouvoir être remis dans le droit chemin par votre épouse. J'aurais bien besoin de cette autorité.
Bonjour Laurent du 91.
SupprimerIl te faut trouver une compagne qui ait l’autorité dont tu as besoin et qui t’impose des règles de discipline à respecter. Et qui au besoin sache te corriger et t administrant une bonne fessée déculottée.
Pascal
Bonjour Laurent du 91,
RépondreSupprimerPrésentez-vous un peu plus : quel âge avez-vous, quelle taille et quel poids faites-vous, dans quelle région habitez-vous, quelle est votre expérience en matière de fessée.
J'attends votre réponse,
Huguette
Bonjour Madame,
SupprimerJ'ai 52 ans, 1m74 pour 80 kg. Je suis de région parisienne, de l'Essonne. En matière de fessée, j'en ai reçu enfant puis quelques unes avec mon ex femme. Mais depuis mon divorce, plus du tout et j'avoue que cela me manque. Surtout la menace, qui généralement, me calmait rapidement.
Bonjour Laurent du 91,
SupprimerSans doute serait-il préférable, pour aller plus loin, de passer au mail ? Vous trouverez mon adresse en haut à droite de cette page, sous la photo.
J'attends votre message
Huguette
bonsoir , alain pour ma première fessée
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