samedi 21 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 09 h 15

J’avais maintenant ma réponse. Si j’en croyais ce qu’elle disait, manger la bouche ouverte serait maintenant systématiquement puni et je savais comment. La fessée que j’avais reçue n’était pas la plus grosse qu’elle m’ait administrée, mais elle était à prendre en compte, comme l’une de celles qui comptaient. Dix minutes après, j’en sentais encore les effets.

Elle m’avait promis les orties si je recommençais. Sans doute était-ce dans sa façon de le dire, mais alors qu’elle m’avait déjà annoncé une prochaine fessée avec ces végétaux par le passé, sans tenir son engagement, j’avais tendance à la croire cette fois-ci. Le temps des provocations était sans doute passé. Il était temps, si je ne voulais pas recevoir la mémorable correction qu’elle m’avait prédite, de faire attention à la façon dont je mangeais.

J’en étais là de mes réflexions quand je fus sorti de mes pensées par l’exclamation de ma compagne.

« Mais ce n’est pas vrai ! »

Je revins à la réalité. C’était moi qu’elle regardait. Il n’y avait pas de doute, j’avais fait quelque chose qu’elle n’admettait pas. Je mis un peu de temps à comprendre ce qu’elle me reprochait. Tout en songeant à la nouvelle donne que la fessée que je venais de recevoir avait instaurée, j’avais continué à prendre mon petit déjeuner.

Machinalement, j’avais mangé sans faire attention, malgré la résolution que j’avais prise, à la façon dont je m’y prenais. Et ma compagne m’avait pris la bouche ouverte alors que je venais de recevoir une fessée pour le même motif. Il était évident qu’elle me surveillait. J’aurais dû m’en douter. Et j’aurais dû faire très attention à fermer la bouche.

« Viens ici ! »

Je me levai et fis les deux pas nécessaires pour me présenter devant elle. Elle délaça mon short et le laissa tomber sur mes pieds.

« Mais, Maman, je n’ai pas fait exprès !

– J’espère bien que tu ne l’as pas fait exprès, il ne manquerait plus que ça ! »

En moins d’un quart d’heure, j’allais prendre deux fessées et je ne doutais pas que la deuxième serait au moins aussi difficile que la première.

« Je ne me suis pas rendu compte.

– C’est bien le problème. Tu ne te rends pas compte de ce que tu infliges à ceux qui mangent en face de toi. Mais n'aie crainte, je vais t’aider à prendre conscience de ce que tu fais ! »

Elle me courba sous son bras. Je la laissais me positionner comme elle l’entendait. Il n’était pas question de m’opposer à elle. Cela aurait été bien pire après. Je ne fus nullement surpris quand je sentis ma culotte descendre. De sa main libre, elle me déculottait. Cette fessée serait donnée sur mes fesses nues. C’était ce à quoi je m’attendais. C’était ce que j’avais mérité.

Elle avait pris la mesure de ce que devait être une fessée qui devait m’apprendre à renoncer à une mauvaise habitude. Dès la première fois qu’elle appliqua sa main sur mes fesses, je marquai la douleur qu’elle venait d’y faire passer.

« Aïe, Maman, aïe ! »

Il n’y eut pas de moment d’adaptation, ni pour elle, ni pour moi. Sa main claqua sur mes fesses. Elle prenait son temps, mais je sentais chacune des fessées qu’elle y appliquait. Afin de bien rester courbé sous son bras et ne pas risquer d’augmenter son courroux, je m'agrippais de mes deux mains à son pantalon.

Je n’avais pas encore vraiment récupéré de la précédente fessée. Celle-ci fit l’effet d’un catalyseur qui amplifia les effets de la première. Il ne fallut que peu de temps avant que je ressente la même cuisson que celle qui avait embrasé mes fesses un quart d’heure auparavant. Mais cette deuxième fessée n’était pas finie.

Les fenêtres étaient ouvertes. Je ne sais pas si mes cris de douleur parvinrent à en franchir la limite, mais, à ce moment-là, ce n’était pas ce qui comptait pour moi. Je ne pouvais faire autrement que d’accompagner sa main qui tombait sur mes fesses par un cri sonore.

La position dans laquelle elle me tenait ne me laissait que peu de possibilités de bouger. Tout au plus pouvais-je tordre le bas de mon dos quand, alors qu’elle insistait au même endroit, je ne pouvais plus supporter la cuisson qu’elle m’infligeait. Quand elle décida que ma fessée devait inclure le haut de mes cuisses, je me mis à hurler. C’était insupportable et je n’en pouvais plus. Il me fallait pourtant rester en place aussi longtemps que ma compagne l’avait décidé.

Elle asséna une dizaine de très fortes claques au milieu de mes fesses, puis elle mit fin à la correction. Elle me relâcha et je me redressai. Elle prit ma culotte et la remonta, couvrant mes fesses, puis elle s’occupa de mon short. Pas de mise au coin ? C’était étonnant et pas trop dans ses habitudes.

« Tu vas finir de déjeuner, puis tu iras cueillir des orties.

– Oh non, Maman !

– Quoi ? Tu discutes mes décisions ? Est-ce que tu veux une autre fessée ? »

Je baissais la tête. Elle avait raison. Si elle avait décidé de me donner une fessée avec les orties, je n’y pouvais rien. Je m’assis devant mon bol et je le vidai.




 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

12 commentaires:

  1. Bonjour Josip.
    La fessée aux orties ça fait vraiment très mal et on en ressent la brûlure très longtemps. Tu as beau frotter tes fesses, Je ça ne change rien, bien au contraire.Ma compagne m’a donné la fessée aux orties lorsqu’elle m’a trouvé au fond du jardin sans culotte, fesses nues. Je t’ai déjà raconté et ça m’a servi de leçon je t’assure. Depuis qu’elle m’a grondé plus question de sortir dans cette tenue. Et à l’intérieur c’est pareil, c’est interdit, et si par hasard je me laisse aller elle m’attrape aussitôt par un bras et elle me fesse. Et cette désobéissance est souvent châtiée au martinet surtout si elle se renouvelle. Ma compagne arrive derrière moi sans que je l’entende et les lanières rentrent en action. Ma compagne est adepte du martinet dont elle dit le plus grand bien pour mon éducation. Moi je le redoute plus que tout et le voyant suspendu à son clou dans la cuisine, je sais qu’il est pour moi. Tu sais, la fessée aux orties je l’ai aussi reçu parfois étant gamin chez mon copain Cédric. C’est son père qui nous l’avait donnée, tous les deux l’un après l’autre sous son bras déculottés et frictionnés avec le bouquet d’orties. Il nous remontait le slip et le short et laissait des orties dans le slip a même les fesses. Je peux te dire qu’on ne s’attardait pas, on filait, trop pressés que nous étions de baisser la culotte et de faire disparaître les orties.
    Sortir en simple teeshirt et sans culotte dans le jardin il m’arrive quand même de le faire par dépit lorsque ma compagne est absente pour plusieurs jours. J’enfile alors un teeshirt un peu long je vaque à mes occupations dans la maison et je sors dans le jardin sans même y faire attention, sachant que je ne risque rien. Un jour j’étais dans le jardin avec les fesses à l’air et quelqu’un sonne au portail qui est assez loin de la maison. C’était un livreur… Panique… je me précipite dans la maison et j’enfile un petit short en nylon sans slip dessous et j’ouvre le portail par la télécommande à distance. Livreur s’avance vers la maison et me fait signer le bon de livraison. Puis je raccompagne le monsieur jusqu’au portail. oufff. Je fais demi tour et retourne à la maison. J’hésite à garder le petit short mais par bravade je dénoue la cordelette qui sert de ceinture et me voici à nouveau fesses à l’air. Je resterai ainsi jusqu’au début de l’après-midi parce que je dois aller faire des courses. J’enfile alors mon slip et mon petit short en nylon dont je noue à la taille la fine cordelette. Et me voilà parti…
    Pascal

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  2. Bonsoir josip.
    Y a-t-il dans ta famille ou dans ton entourage des personnes qui savent ou qui se doutent de la manière dont ta compagne te punit.
    Éric

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    1. Bonjour Eric,
      Non, je ne crois pas qu'il y ait des personnes de mon entourage ou de ma famille qui savent comment ma compagne me punit. Nous avons établi une séparation entre ces deux situations et j'espère qu'elle restera étanche. Les seules personnes qui savent que ma compagne me donne la fessées déculottée, sont celles qui, en venant ici, l'ont également reçue. Ma compagne cherche des personnes (homme ou femme ou couple) qui pourraient avoir autorité sur moi et me donner la fessée. Cela se fera sans doute. Ma compagne, sur la suggestion d'une commentatrice, a également parlé de me mettre au piquet dans la chambre après m'avoir baissé la culotte alors que des amis seraient dans la pièce à côté, mais cela ne s'est pas encore fait.
      Si des proches, famille ou entourage, savaient, je ne sais pas comment je gèrerai cette situation.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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    2. Bonjour Josip.
      Merci pour ta réponse si rapide. Ouf personne ne sait c’est rassurant. Mais je suis surpris qu’ils ne se doutent de rien vu les attitudes et la sévérité d’ailleurs justifiée d’Huguette. Si des proches savaient c’est sûr que ça te ferait bien honte. Mais ça accroîtrait l’efficacité de la correction. Je suis sûr que tu t’y habituerais peut-être le souhaites-tu en ton fort intérieur et la même chose pour la fessée en public… Je sais que ça ne se fait pas. Encore un tabou… Désolé je m’avance beaucoup et je me trompe peut-être…
      Au plaisir de te lire.
      Eric

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    3. Bonjour Eric,
      La sévérité d'Huguette ne se montre pas en présence de personnes non averties. Ils ne voient pas cet aspect de sa personnalité. Je pense donc qu'ils ne se doutent de rien.
      En ce qui concerne la fessée en public, c'est à Huguette d'en décider, mais je pense qu'il est, aujourd'hui, impossible de déculotter et fesser un adulte en public (pareil que pour un enfant, mais pas pour les mêmes raisons) sans avoir le consentement explicite de tous les témoins. C'est très difficile à obtenir, même si ma compagne fait l'hypothèse que bien des personnes (toutes dit-elle) seraient d'accord avec la façon dont elle ne punit.
      Je pense que recevoir une fessée en public renforcerait considérablement l'effet punitif et dissuasif d'une fessée. Je ne crois pas que je la souhaite, mais c'est à ma compagne de décider et je n'aurai pas mon mot à dire.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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    4. C’est vrai qu’il est vraiment difficile de reconnaître qu’étant adulte on est encore immature et parfois irresponsable et qu’on a encore besoin d’une bonne correction pour respecter les règles élémentaires. Beaucoup d’adultes sont dans ce cas. Bien peu reçoivent sûrement la fessée et je pense que ceux qui la reçoivent ne s’en vantent pas. Ils se prennent leur correction en catimini en rentrant à la maison, fessée, martinet ou autres et c’est tout. C’est un tabou auquel on n’échappe pas et c’est bien dommage. Et je ne parle même pas de la fessée en public qui serait pourtant tellement efficace. Huguette a raison. Tout au plus peut-elle être donnée en présence de personnes averties… mais c’est rarement le cas…
      Au plaisir de te lire.
      Eric

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    5. Eric,
      Je crois déceler dans votre écrit une certaine nostalgie, mais je ne sais pas 'il s'agit de ne pas pouvoir la donner ou de ne pas la recevoir, alors qu'elle est méritée. Est-ce que je me trompe ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    6. Oui tu as raison Josip. Tu as bien vu la question. Il y a une réelle nostalgie de ne pas recevoir la fessée alors que je la mériterais vraiment…
      Au plaisir de te lire.
      Éric.

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    7. Eric,
      Il faudrait maintenant que tu te présentes un peu plus : quel âge as-tu ? Quelle taille et quel poids fais-tu ? Dans quelle région habites-tu ?
      Peut-être serait-il préférable, pour des raisons de confidentialité, que nous passions à des courriels ? Tu trouveras mon adresse en cliquant dans le champ en haut à droite de cette page, sous le dessin.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    8. Eric,
      Encore une chose : il faudrait que tu racontes ton expérience en matière de fessée.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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  3. Josip.
    Oui j’ai une expérience de la fessée mais j’ai un peu de mal à en parler.
    Au plaisir de te lire.
    Eric

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  4. Eric,
    Un peu court comme réponse et qui ne couvre pas tout le champ de mes questions. En tant qu'enfant, en tant qu'adulte ? Qui te l'a donnée ? As-tu eu la culotte baissée ? Etait-ce fréquent ? ... Tu vois il y a beaucoup de sujets à aborder?
    Si tu as du mal à en parler pour des raisons de confidentialité, passe au courriel. Je t'ai indiqué comment il fallait faire dans mon précédent message.
    Au plaisir de te lire.
    JLG

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