jeudi 12 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 10 juin 2025 – 12 h 31

J’aurais bien dû me douter que cela allait finir par une bonne fessée déculottée. En fait, je m’en doutais, mais cela fait partie de la relation filiale. Il est normal qu’un garçon, quel que soit son âge, teste les limites que lui donne sa Maman. Cela fait partie du processus d’éducation et s’il ne l’a pas fait quand il était petit, il est naturel qu’il le fasse quand il est devenu adulte. Comme il est normal qu’une Maman sanctionne par une bonne fessée quand ces limites sont dépassées volontairement.

Je ne suis pas certain que le terme volontairement soit le bon. Je ne fais rien de volontaire pour recevoir une fessée. C’est bien trop dissuasif. Se retrouver avec les fesses cuisantes, voire avec quelques marques, n’a rien d’amusant. Mais cela fait partie du fonctionnement d’une relation filiale. Je cherche à dépasser les limites sans me faire punir et ma compagne exige que je m’y tienne et elle me punit quand je ne le fais pas.

Ce matin-là, j’étais seul à la maison. Je pouvais donc y faire tout ce que ma compagne me défendait de faire habituellement. Je savais que si j’étais pris sur le fait, la fessée déculottée serait immédiate. Ce n’est pas que j’aime la recevoir (en fait, je pense que ceux qui disent aimer recevoir une fessée, c’est parce qu’ils n’en ont jamais reçu une réelle), mais cela me donne un sentiment de liberté de pouvoir enfreindre les règles que ma compagne a édictés. Cela fait partie du jeu.

Je ne crois pas que le mot jeu soit bien approprié à la situation. Quand ma compagne me baisse la culotte pour me donner une fessée, cela n’a rien d’un amusement et encore moins quand mes fesses me cuisent. Mais je crois qu’il est normal qu’un enfant, même si selon sa carte d’identité il est adulte, sachant qu’il est placé sous la responsabilité d’un autre adulte en raison de son comportement, cherche à examiner quelles sont les limites qu’il ne doit pas dépasser. C’est ce que je fais et jusque-là j’avais parfaitement réussi. Il suffit de mentir à ma compagne, avec suffisamment d’aplomb, si elle pose la question.

Si vous avez lu mes précédents témoignages, vous savez que je ne m’en prive pas. Pourquoi le ferais-je ? Même si je suis pris sur le fait, je ne suis jamais puni pour avoir menti. Cela fait sans doute partie des interdits que ma compagne énonce en tant que grande personne, mais que je ne suis pas obligé, bien que je doive lui obéir, de prendre en compte. Je ne le fais donc pas.


Ce matin-là, ma compagne n’était pas encore présente. Je savais qu’elle devait arriver vers 12 heures, 12 heures 30. J’avais donc largement le temps. J’ai donc enfilé mon tee-shirt… et c’est tout. Pas de culotte. Ma compagne m’a formellement interdit d’aller dans le jardin les fesses nues. Il suffirait, quand je l’entendrai arriver, d’enfiler rapidement une culotte et le tour était joué. Ce n’était pas la première fois que je le faisais. Je ne voyais donc pas de raison que cela se passe autrement de jour-là.

J’ai fait ce que j’avais à faire dans le potager. Je surveillais l’heure. J’avais encore largement le temps. Il était à peine midi. Bien sûr j’aurais pu remettre une culotte et tout aurait été normal à l’arrivée de ma compagne. Mais cela m’aurait ôté une grande partie de la saveur de la matinée. Il fallait braver l’interdit.

« Encore un quart d’heure, vingt minutes tout au plus et je vais mettre une culotte, me suis-je dit. »

Et je me suis mis à désherber. Il y avait de quoi faire pour faire passer plus vite ces 15 à 20 minutes. Il y avait un peu plus de vingt minutes quand j’ai leva la tête.

« Toujours personne. Encore 5 minutes. »

Je sentais un petit pincement au cœur, mais cela faisait le sel de la matinée. J’avais vraiment le sentiment de braver l’interdit avec succès. Je suis retourné à ma tâche précédente. Habituellement, quand elle arrive, ma compagne traverse la maison pour me rejoindre dans le jardin. Je l’entends arriver et cela me laisse peu de temps, mais suffisamment pour retrouver une tenue décente. Cette fois-ci, elle est entrée par la petite porte directement dans le jardin. Quand je l’ai entendue, elle était déjà là.

Ma stratégie était foutue. Je ne pouvais plus rentrer dans la maison pour me couvrir les fesses. En premier lieu, elle n’a pas prêté attention à ce que je faisais. Elle commença un tout du jardin, me laissant la voie libre. J’ai abandonné sur place l’outil que j’avais en mains et je me suis dirigé par la maison, abri salvateur. Je ne sais pas ce qui a attiré son attention.

« Josip, viens-ici tout de suite ! »

J’ai fait celui qui n’avait pas entendu. Encore quelques pas…

« Josip, je t’ai dit de venir ici ! »

Elle avait élevé la voix et je ne pouvais plus faire comme si je n’avais pas entendu. Je me suis dirigé vers elle, cherchant bien ce qui pourrait me tirer de ce mauvais pas. Je n’ai rien trouvé.

« Qu’est-ce que tu t’apprêtais à faire ? »

Elle m’attendait pas vraiment de réponse à cette question. Mon tee-shirt était assez long pour dissimuler mes fesses. Dès que je fus à sa portée, elle en souleva l’avant.

« Pas de culotte ! »

Elle me prit sous son bras et elle remonta mon tee-shirt dans mon dos. Mes fesses nues étaient maintenant bien dégagées et je savais pourquoi.

« Combien de fois t’ai-je interdit de sortir dans le jardin sans ta culotte ? »

Elle accompagna cette question de deux claques, une de chaque côté de mes fesses.

« Et que t’ai-je promis si je t’y prenais ? »

Deux autres claques vinrent donner la réponse à cette interrogation.

« Eh bien j’attends ! »

Deux autres fessées, très fortes, vinrent souligner l’urgence qu’il y avait à donner une réponse.

« Une fessée, Maman ?

– Exact, une fessée ! »

Une dizaine de claques atterrirent sur mes fesses. Bien qu’elle n’ait utilisé que sa main, je sentais déjà la cuisson monter. Elle me redressa. J’étais étonné par la relative clémence dont elle avait fait preuve.

« Tu vas avoir une bonne fessée ! »


Elle m’entraîna derrière elle.

« Pas dans le jardin, Maman, les voisins... »

Le jardin est très isolé visuellement mais pas phoniquement. Le bruit régulier que ferait sa main sur mes fesses, augmenté de mes plaintes ne manquerait pas d’attirer leur attention. Ils se demanderaient ce qui se passait.

« Que m’importe ce qu’en pense les voisins ! Tu as mérité une bonne fessée, tu vas l’avoir ! »

Nous étions encore dans le milieu du jardin. Elle me courba de nouveau sous son bras et la fessée reprit. Je réussis à contenir mes cris alors que sa main s’abattait une bonne dizaine de fois sur mes fesses.

« Maman, pas ici ! Si les voisins entendent ?

– Ah parce que c’est toi qui décide ? »

Elle m’avait laissé me relever. Je savais qu’elle me tenait pas plus que moi à ce que les voisins sachent comment elle me punissait. Elle m’asséna encore trois ou quatre claques sur le haut de ma cuisse nue.

« Tu vas aller mettre une culotte et nous continuerons cette discussion. »

Elle souleva l’arrière de mon tee-shirt et elle me donna encore deux claques sonores sur les fesses.

« En vitesse, conclut-elle ! »

Je filais dans la chambre et je couvris mes fesses d’une culotte. Je me doutais qu’elle ne resterait pas longtemps à cette endroit. Je retournais dans le séjour.


Ma compagne regardait dans le sac où elle range les instruments qu’elle utilise pour augmenter la sévérité d’une punition. Dès qu’elle me vit, elle me prit par la main et je dus la suivre. Elle s’assit sur le canapé et sans dire un mot elle s’y assit. Je restais debout devant elle. Elle me désigan le sol à ses pieds.

« A genoux, là ! »

Elle me prit par le bras et m’obligea à me mettre dans la position qu’elle m’avait assignée. Je ne résistais pas. Ce n’était pas le moment. Il valait mieux faire profil bas. Elle m’allongea sur sa cuisse. Sa main claqua deux fois sur le fond de ma culotte. Le bref espoir qu’elle s’en tint à une fessée sur la culotte fut bien vite oublié. Elle ma baissa la culotte.

Sa main tomba sur mes fesses et je m’ai pas cherché à en tenir le compte. Il ne lui fallut bien longtemps pour que la cuisson sur mes fesses me contraigne à extérioriser ma douleur. Je criais et je lui demandais pardon entre deux « aïe ». Cela n’avait, évidemment aucun effet. Mes fesses étaient toutes brûlantes et certainement bien rouges quand elle arrêta. Elle me releva.

« Va me chercher la baguette ! »

La baguette ! Je ne sais pas comment dire. Elle cingle, elle pince et elle laisse rapidement des marques rouge sombre sur les fesses. Je l’avais déjà reçue, je savais ce qu’il en était. Je ne cherchais jamais à conserver une sorte de dignité quand ma compagne me donnait la fessée, Je ne cherchais ni à amplifier mes cris et ma gesticulation, ni à les retenir. Il fallait que ma compagne sache comment la punition portait ses fruits. Mes réactions y contribuaient. Mais je savais que même si je le voulais, avec la baguette, ce n’était pas possible.

J’en choisis une fine, pensant qu’elle ferait moins mal. Ma compagne me réinstalla en position, allongé sur sa cuisse. La baguette commença sa danse sur mes fesses. Je ne sais pas combien de temps cela a pu durer. Je sentais l’extrémité de la fine baguette qui laissait sa marque sur mes fesses. Je criais de détresse et de souffrance, mais aussi de remords. Pourquoi n’avoir pas mis une culotte ? C’était pourtant si simple ! Pourquoi avoir pris le risque d’une telle fessée ? J’étais indifférent à ce que pouvaient entendre les voisins. Certes, nous étions à l’intérieur, mais la porte-fenêtre était grande ouverte et je ne savais pas quels bruits pouvaient être audibles de l’extérieur. A ce moment-là, pour moi, cela n’avait pas d’importance.

Je devais faire un réel effort pour laisser mes fesses à disposition de la baguette. Certes, elle me maintenait en position et la façon dont elle m’avait installé lui permettait de limiter mes gesticulations. Pour mettre fin à cette punition, il aurait fallu que je mobilise toute ma force pour me relever. C’était probablement possible, mais je ne le tentais pas. Cela aurait remis en cause son autorité et notre relation en aurait souffert. Et puis je savais que j’avais mérité cette fessée et que si ma compagne me la donnait, c’était pour mon bien. Elle avait donc raison de le faire.

Ma compagne posa la baguette. Je ne m’en aperçus que parce que je sentis sa main prendre le relais. Une fessée à main nue, quand ma compagne la donne, cela n’a rien d’anodin. Je suis souvent surpris quand sur internet je vois des vidéos de fessée, combien les punis restent stoïques. C’est certainement qu’il ne s’agit pas de réelles fessées. Là, il n’était pas question de rester impassible. Même si la baguette n’avait pas fait son effet auparavant, la main de ma compagne était bien suffisante pour me faire regretter cette désobéissance.

Quand elle s’arrêta, jugeant sans doute que j’avais compris la leçon, elle me releva.

« As-tu bien compris ?

– Oui, Maman !

— Et qu’as-tu compris ?

– Que je ne dois pas aller dehors sans culotte. »

Elle me recoucha sur sa cuisse.

« Oui, et que je veux que tu m’obéisses ! »

Elle assortit cette déclaration d’une bonne dizaine de claques sur le haut de mes cuisses. Elle me releva et je restai à genoux entre ses pieds.

« Oui, Maman !

– Et sinon ?

– J’aurai une autre fessée.

– Exactement. Et celle-là je peux te la promettre très très très sévère ! »

Elle me remit debout et remonta ma culotte.

« Tu vas aller au coin ! »




 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

6 commentaires:

  1. Encore une sacrée fessée. En même temps, elle était tellement méritée !!!

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  2. Magnifique recueil de comment tester les limites et chercher une belle fessée

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  3. Bonjour FSliper,
    Je suis d'accord avec vous sur une partie de ce que vous écrivez. Tester les limites est une évidence, mais je crois que cela fait partie des réactions attendues face à des règles qui me sont imposées : jusqu'à où sont-elles valables.
    La réaction de ma compagne, en me donnant une fessée déculottée, est aussi normale, mais je ne crois pas que je cherchais une fessée. J'ai même cru que j'avais réussi à l'éviter.
    Tester les limites fait prendre le risque de recevoir une fessée... mais, comme l'écrit Laurent, elle était méritée.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG

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  4. Bonjour Josip,
    Merci pour votre réponse … peut être il fallait dire chercher de façon inconsciente une belle fessée 😊. Il devient un pari toujours gagnant, si votre désobéissance n´êtes pas découverte vous gagnez en explorant les limites et en vous sentir un grand garçon que peut faire ce qu´il veut et explorer l´interdit, si elle est découverte vous savez bien qu´est-ce que vous attend. En tout cas, encore des félicitations pour peindre si bien votre état d´esprit en poussant les limites établies, et, bien sur, des félicitations a Huguette pour sa discipline et pour peindre si bien votre derrière 😊.
    Je suis votre blog depuis longtemps, même que se sont mes premières commentaires publiques, j´ai était triste quand vous avez annoncé que vous arrêtiez les publications et content de que le blog a retourné à l´activité.
    Bien cordialement
    Fernando

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  5. Fernando,
    C'était sans doute inconscient, mais le fait est là : ma compagne m'a donné une fessée et je ne peux le lui reprocher tant celle-ci était méritée.
    Je vous remercie de vos compliments et je sais qu'Huguette a été sensible à ceux que vous lui avez adressés.
    Vous ne nous dites rien, ni sur vous ni sur votre expérience de la fessée. Est-ce trop demander que d'avoir quelques précisions ?
    Au plaisir de vous lire,
    JLG

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  6. Avec plaisir je vous ferai parvenir plus de informations sur mon experience par courriel

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