Ce n’était décidément pas ma journée. Ma compagne avait sans doute décidé de ne rien me laisser passer. Cela ne faisait pourtant que neuf jours depuis que j’avais reçu ma dernière fessée. Ce n’est pas que je le lui reproche. Je sais que quand elle me punit, c’est pour mon bien et parce que je l’ai mérité. Je ne lui en fait pas le reproche, bien au contraire.
C’est juste que, comme toute personne je crois, je préférerais qu’elle utilise un autre mode de punition. La fessée déculottée, c’est infantilisant et j’ai toujours peur que d’autres personnes sachent de quelle manière elle me punit. Mais je sais que si elle a choisi de me déculotter et de me fesser, c’est bien pour que je prenne conscience que si je me comporte de façon irresponsable et infantile, c’est que j’ai besoin d’une punition qui dénie mon statut d’adulte, malgré l’âge que j’ai.
Ma compagne a l’habitude de me mettre au coin après m’avoir donné une fessée. Il est vrai que de devoir réfléchir, sans pouvoir faire autre chose, à l’écart que j’avais commis et à la punition qui s’en était suivie, est salutaire. La culotte baissée, alors que les bruits de la vie normale reprennent leur cours dans mon dos, alors que plus personne ne semble faire attention à moi comme s’il était normal qu’un adulte soit mis au coin, montrant à tout le monde ses fesses récemment punies, tout cela constitue une suite bienvenue à la fessée. Cette fois-ci, ce ne fut pourtant pas le cas.
« Tu vas aller au coin, me dit ma compagne ! »
Je pris la direction du lieu où devait se dérouler ma pénitence.
« Mais, Maman, lui dis-je, si tu me mets au coin, qui va préparer à manger ? »
Elle ne mit que quelques secondes à réfléchir.
« Mais dis-moi, tu ne devais pas prendre rendez-vous ce matin ?
– Oui, Maman, mais je n’ai pas eu le temps.
– Eh bien moi je vais prendre le temps, après le déjeuner, de te donner une autre fessée et tu iras au coin ! Pour le moment, nous allons manger. »
Je n’étais pas certain d’y avoir gagné grand-chose : une autre fessée, un séjour au coin… rien de très réjouissant. J’avais juste réussi à repousser le temps que j’allais passer au coin. Maigre bilan ! Je continuais à préparer le repas.
Ma compagne et moi faisions des aller-retours entre le lieu où cuisait notre déjeuner et le lieu où allait se dérouler le repas. Mes fesses me cuisaient toujours et je ne pouvais m’empêcher d’y porter mes mains pour tenter d’en soulager la douleur. Évidemment, ma compagne n’était pas d’accord. Si j’avais mal aux fesses de façon persistante après avoir reçu une fessée, je n’en garderait le souvenir que plus longtemps. Il n’était donc pas question d’en atténuer les effets. Alors que je portais une main à mes fesses pour enlever le contact de ma culotte avec l’endroit où avait dû s’abattre la baguette, je me fis gronder.
« Josip, tes mains ! Encore une fois et tu vas prendre une fessée ! »
Je me doutais bien qu’elle n’hésiterait pas à mettre sa menace à exécution. Mais la douleur sur les fesses était trop prégnante. Je réussis plusieurs fois à empêcher mes mains d’aller soulager la brûlure que je ressentais. Hélas, ce n’était pas durable. Sans y penser, alors sans doute qu’un élancement plus aigu traversa mes fesses, je glissai un doigt entre ma culotte et ma peau. Ma compagne devait être à l’affût de ma distraction.
« Je t’avais prévenu, gronda-t-elle ! »
Elle fondit sur moi et me plaça face à elle. Alors elle passa son bras gauche autour de ma taille, m’obligeant à me courber sous son bras. Elle pesa sur mon dos.
« Mets-toi à genoux ! »
Je tombais un genou de chaque côté de son pied. Tout en me maintenant en place avec son bras, bien que je ne cherchais pas à en bouger, de sa main libre elle retroussa l’arrière de mon tee-shirt, puis elle le coinça sous son bras. Alors, elle me baissa la culotte, l’abandonnant en bas de mes cuisses.
Elle m’avait prévenu que désormais, c’est ainsi que, la plupart de temps, elle me donnerait la fessée sous son coude. Elle me trouvait trop grand quand je me tenais sur mes jambes. Comme cela, mes fesses étaient à la bonne hauteur pour que sa main puisse me punir.
Elle me fessa alternant ses claques à droite puis à gauche, mais elle finit par une longue série du même côté, puis, elle équilibra sa punition sur l’autre fesse. Sur ma peau bien enflammée par la précédente fessée, cela eut un effet immédiat. Je criais à chaque fois que sa main s’abattait sur mon postérieur. Il n’y avait aucun doute sur l’effectivité de la correction.
« Est-ce que tu as bien compris, cette fois-ci ?
– Oui, Maman, je ne le ferai plus ! »
Elle m’avait gardé dans la même position durant ce bref échange. Cela n’augurait rien de bon.
« Si seulement je pouvais en être sûre ! »
Sa main claqua encore une bonne dizaine de fois sur mes fesses, puis elle me relâcha.
« Remets-toi debout. »
Je me relevais sans chercher à remonter ma culotte. Bien que mon tee-shirt soit retombé cachant derrière mes fesses et devant mes attributs sexuels, il n’y aurait eu aucun doute pour une personne qui ne serait arrivée qu’à ce moment-là. Je me tenais debout face à ma compagne, la culotte toujours baissée jusqu’aux genoux.
« Encore une seule fois et tu auras une grosse fessée. C’est bien compris ? »
Elle souligna son admonition par une claque sur le haut de ma cuisse.
« Aïe ! Oui, Maman, j’ai compris. »
Seulement alors, elle remonta ma culotte. Je savais qu’elle resterait attentive à mes gestes. Il ne fallait surtout pas porter ma main à mes fesses pour en soulager la douleur, aussi cuisante soit-elle. Une seule fessée avait suffi, du moins l’espérais-je.
Tout avait ét mis à cuire. Il restait à attendre que ce soit prêt tout en surveillant afin que cela ne brûle pas. Nous parlions de la future récolte de fruits.
« Moi, me dit ma compagne, ce que j’attends, ce sont les petites prunes qui sont mûres plus tard. »
Je savais de quoi elle parlait.
« Les mirabelles, fis-je ?
– C’est cela, les mirabelles ! Il y en aura cette année ?
– Je pense, viens voir ! »
Nous commençâmes un tour des arbres fruitiers du jardin. Nous en étions à la moitié quand elle me dit.
« Mais dis donc, ça ne va pas brûler si tu ne les tourne pas ? »
Je saisis tout de suite l’ampleur des dégâts et je retournais en courant vers le barbecue, sur la terrasse. Je tournais nos aliments, mais ils avaient noircis. Ils étaient un peu brûlés. Ma compagen m’avait rejoint et elle constatait les dégâts.
« Tu ne pouvais pas faire attention ? »
Elle attrapa ma main et me rapprocha d’elle. Elle me fit passer sous son coude, puis elle releva mon tee-shirt. Ma culotte ne resta pas plus longtemps sur mes fesses. Elle la fit glisser le long de mes cuisses.
Puis sa main claqua sur mes fesses.
« Il va falloir que tu apprennes à faire plus attention ! »
La fessée ne fut pas trop sévère. Je n’émis que des gémissements. Heureusement qu’elle n’avait pas décidé de me corriger sévèrement. Je n’aurais pas pu retenir mes cris et les voisins auraient sûrement entendu. Déjà, comme cela, la main claquant régulièrement mes fesses, avait dû les alerter. Le bruit d’une fessée me semblait assez caractéristique et je ne voyais pas avec quoi il était possible de le confondre. Je ne le savais pas encore, mais les voisins, fort heureusement, n’étaient pas chez eux à ce moment-là.
« La prochaine fois que tu es négligent comme cela, ce sera une grosse fessée ! »
Elle ponctua sa promesse par une bonne série de claques sur mes fesses. Certes, ce n’était pas une grosse fessée, mais j’en sentais tout de même la cuisson qui avait fait plus que naître sur mes fesses. Ma compagne avait raison. Je devais faire plus attention. J’espérais qu’elle ne serait pas obligée d’en venir à m’administrer une grosse fessée pour que je l’apprenne.
Le déjeuner se déroula normalement. C’est-à-dire que je ne reçus pas de fessée. Nous déjeunions sur la terrasse et je craignais qu’au moindre prétexte ma compagne ne m’administre une fessée sans savoir ce que les voisins auraient pu en penser. Il n’y eut qu’un seul incident. Alors que j’allais chercher un plat dans la cuisine, je laissais mes chaussures d’extérieur à l’entrée et je marchais nu pieds jusque dans la cuisine. Ma compagne s’en aperçut.
« Je ne veux pas que tu marches sans chausson à l’intérieur de la maison ! Est-ce compris ?
– Oui, Maman, j’ai compris.
– Je ne te le redirai pas ! »
Je savais ce que cela signifiait pour la prochaine fois. Je devais faire plus attention. Ce n’était pas la première fois que ma compagne me faisait cette même remarque. Au début, je pris bien la précaution de mettre des chaussons à chaque fois que je rentrais dans la maison. Puis, il en est de cela comme du reste. Il ne faut pas bien longtemps pour oublier.
Nous débarrassions la table tous les deux. Nous faisions donc des aller-retours entre la terrasse et la cuisine. Je crois bien que je fis les deux ou trois premiers pieds nus, avant que ma compagne ne s’en aperçoive.
« Josip, où sont tes chaussons ?
– Ils sont là, je vais les mettre.
– C’est certain que tu vas les mettre, mais ce sera après une fessée ! »
Ma compagne m’intercepta alors que je m’empressais d’aller chercher mes chaussons. Elle me ramena devant elle. Aussitôt, elle me ceintura de son bras gauche, me courbant sous son bras. Je savais ce que cela voulait dire et je n’avais plus aucun moyen atteignable pour l’éviter.
« A genoux, gronda-t-elle ! »
Je me laissais tomber. Sans plus attendre, elle retroussa mon tee-shirt et son pouce se glissa sous l’élastique de ma culotte. Elle la baissa.
« Tu as les pieds tout sales, me sermonna-t-elle. Je veux que quand je te dis quelque chose, tu obéisses et que tu y penses à chaque fois ! »
Sa main claquant mes fesses m’aidait à prendre au sérieux ce qu’elle disait et à être attentif à ses demandes. En me déculottant et en me fessant, elle savait que je garderai bien plus longtemps le souvenir de ses desiderata. Elle insista aussi longtemps qu’elle estimât que cela me permettrait de m’en souvenir.
Cela ne fit pas une grosse fessée. Mais elle fut suffisante pour que je me rappelle les ordres de ma compagne sur ce sujet. Il m’avait fallu une punition pour y prendre garde. Je l’avais eue. Quand elle eut remonté ma culotte, je filai mettre mes chaussons.
Quand tout fut rangé, elle m’annonça une sieste que nous allions faire ensemble. Elle m’emmena dans la chambre et nous nous mîmes au lit. Je n’en revenais pas. Elle m’avait pourtant bien promis une grosse fessée et une mise au coin après le repas pour avoir oublié de prendre le rendez-vous. Je ne savais pas si elle avait oublié ou si elle avait changé d’avis. Toujours est-il que je n’ai pas eu de fessée pour cette raison, alors que j’avais failli en prendre une pour ce même motif le jour d’avant. Même si c’était incompréhensible pour moi, je ne m’en plaignis pas.
Je n’en avais pas tout à fait terminé avec la sévérité de ma compagne pour la journée. Elle devait s’absenter et je devais la rejoindre. Pendant qu’elle préparait ses affaires, je restais dans la maison. J’avais, bien entendu, l’intention de retomber dans ce qu’elle m’interdisait dès qu’elle aurait tourné le dos. Il allait de soi, pour moi, que après toutes les fessées que j’avais reçues, ma culotte n’était pas à sa place et que j’allais libérer mon postérieur de sa présence dès que je le pourrai.
Je n’ai, sans doute, pas été assez discret sur mes intentions, à moins que ce ne soit l’intuition maternelle qui ait fait son office.
« Qu’est-ce que tu mijotes ?
– Moi ? Rien du tout ! »
Elle me regarda droit dans les yeux et, de peur qu’elle y lise mes intentions, je détournai le regard.
« Tu attends que je sois partie pour enlever ta culotte et retourner dans le jardin !
– Mais non, qu’est-ce que tu te fais comme idée ! »
J’étais stupéfait que mes intentions soient ainsi mises à jour. Ma plaidoirie de sincérité n’a pas dû être assez convaincante. C’est même le contraire qui s’est produit.
« J’en étais sûre ! Attention, je pourrai revenir, juste pour vérifier comment tu es habillé ! J’ai l’impression que tu as déjà oublié ce que cela pourrait te coûter ! »
Elle me prit la main et me rapprocha d’elle. Elle passa son bras dans mon dos, me ceinturant et m’obligeant à me courber sous son bras. Je ne connaissais que trop bien la position qu’elle me faisait prendre et, pour elle comme pour moi, ce qui allait suivre était limpide.
« Mais je n’ai rien fait, tentais-je de plaider !
– Pour le moment, c’est exact, mais cette fessée, c’est pour ce que tu préméditais de faire. Rappelle-toi, aller dehors sans culotte, ça mérite une bonne correction ! »
Elle remonta mon tee-shirt dans mon dos, mettant à jour ma culotte. Je la sentis glisser le long de mes cuisses et c’est de l’air plus frais qui vint caresser mes fesses dénudées. Avec ma culotte descendue jusqu’à mes genoux, le terrain était libre pour sa main.
Les claques qu’elle asséna sur mes fesses furent sèches et assez fortes. Je sentis, encore une fois, la cuisson monter.
« Si je te prends une nouvelle fois dehors sans ta culotte, je te promets une fessée magistrale ! »
Sa main claqua encore cinq ou six fois de chaque côté. Puis elle me relâcha.
« Que cela te serve d’avertissement ! »
Elle remonta ma culotte. Je n’avais plus du tout envie de tester sa résolution. Je ne savais pas ce que pouvait être une fessée magistrale, mais je ne tenais pas à le savoir.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal racontée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Décidément, Maman Huguette a la main leste. En même temps, Josip fait tout pour tester sa patience... Que j'aimerais une maman comme ça, sévère mais juste...
RépondreSupprimerLaurent,
SupprimerJe crois que tester la patience d'une personne qui a autorité sur moi, fait partie de mon apprentissage. Il s'agit d'explorer les limites qui me sont fixées par une personne plus responsable et plus raisonnable que moi. Cela fait partie du processus d'éduction. C'est donc une réaction normale autant de ma part que de celle de ma compagne.
Si vous avez bien lu le début de l'article précédent, j'ai essayé de l'y expliquer.
Au plaisir de vous lire,
JLG
C'est vrai, Huguette semble plus sévère que ce soit avec les garçons ou les filles
SupprimerCaroline,
SupprimerJe ne comprends pas ce que vous voulez dire. Je serai plus sévère ? Mais plus sévère que qui ?
Huguette
Bonjour Josip. J’ai bien compris en effet et en ce qui me concerne c’est un peu la même chose…
RépondreSupprimerAu plaisir de te lire.
Pascal
L’éducation nécessite en effet une vigilance et des reprises en main régulières.
RépondreSupprimerPascal
Bonjour comment allez-vous je me présente je m'appelle cedric j'ai 44 ans est je suis vraiment et sincèrement très heureux de faire votre connaissance met quand jetait petit je n'ai jamais recu de fessees déculottée est j'aurai vraiment et sincèrement aimez en recevoir une alors est ce que vous seriez d'accord pour me donnez une bonne fessees déculottée sur vos genoux si vous êtes d'accord bien sûr merci d'avance
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