Ma compagne exige que je lui obéisse sans tergiverser, ni discuter ce qu’elle décide, et encore moins montrer mon mécontentement même si je ne suis pas d’accord. Elle tient à être la seule à décider de ce qui me concerne, de ce qui est bien pour moi ou pas. Parfois, elle me demande de lui donner mon avis, mais elle n’en tient compte que s’il lui paraît raisonnable. La plupart du temps, elle n’en tient pas compte. C’est absolument normal. Je n’ai pas toujours en tête l’ensemble des éléments qui me permettraient d’avoir un jugement sensé.
Il est un domaine où elle ne requière jamais mon opinion : c’est quand elle a décidé de me punir. Elle attend alors de moi une obéissance totale et comme je reconnais son autorité, je ne résiste pas quand elle entreprend de me déculotter et de me fesser, aussi douloureuse, parfois, qu’ait pu être la correction. Elle est la seule juge des bienfaits que cela m’apportera.
En cette fin d’après-midi, c’est moi qui venait d’arriver. Comme à mon habitude, j’ai déposé les sacs que je portais et je les ai amenés dans la cuisine. Elle m’a pris dans ses bras et nous avons échangé de nombreux bisous. Nous ne nous étions pas vus de la journée, j’attendais donc ce moment depuis longtemps.
Alors, je l’ai vue qui fronçait les sourcils.
« Dis-moi, Josip, qu’est-ce que c’est que ça ? »
C’étaient les chaussures que j’avais aux pieds qu’elle désignait d’un index pointé.
« Euh… eh bien… ce sont mes chaussures ! »
Elle me donna une claque sur le fond de mon short. Avec la double épaisseur de tissu qui recouvrait mes fesses, cela ne ma fit aucun mal. Mais cela montrait le sérieux avec lequel elle considérait sa question.
« Je vois bien que ce sont tes chaussures, mais qu’est-ce qu’elles font là ? »
J’avais compris où elle voulait en venir. Je n’avais pas le droit de rentrer dans la maison en chaussures. Je devais d’abord mettre des chaussons afin de ne pas salir. Instinctivement, je fis celui qui ne comprenait pas.
« Elles sont à mes pieds… pour marcher ! »
Cette réponse, tout à fait déplacée dans le contexte, ne lui plut pas du tout. Elle me donna une nouvelle claque sur les fesses. Bien qu’elle y eut mis toute son énergie, je ne sentis quasiment rien, mais je savais que j’avais atteint la frontière au-delà de laquelle une réelle fessée s’imposerait pour me guérir de mon insolence.
« Josip ! »
J’interprétais cette interpellation comme le dernier avertissement.
« Oui, bon, ça va. Je vais les changer ! »
Cette réponse, faite en râlant, déclencha une réaction de sa part. J’avais franchi la frontière et une punition était nécessaire. Elle fit les deux pas qui lui permirent de ma rattraper et de m’empêcher de sortir de la pièce. Elle m’attrapa la main et me fit revenir dans la pièce où s’était déroulé notre échange. Là, elle prit une chaise qu’elle positionna afin d’avoir le champ libre pour ce qu’elle projetait. Elle s’y assit.
Je savais que j’avais été trop loin, mais je ne pouvais plus rien y faire. Elle avait pris sa décision. Elle me plaça devant elle, entre ses deux genoux qu’elle avait écartés. Puis elle tira sur le cordon qui encerclait l’élastique de mon short. Alors, elle le baissa et il tomba sur mes pieds. Puis, ce fut le tour de ma culotte qu’elle fit descendre jusqu’à mes genoux.
Alors, en me tenant par le coude, elle m’amena à sa droite et elle me coucha à plat ventre, en travers de ses genoux. Il ne fallait pas être sorcier pour savoir ce qui m’attendait. Sa main claqua sur l’une de mes fesses, sèche, forte. Puis elle fit la même chose de l’autre côté.
« Aïe ! »
Il n’y avait plus les épaisseurs de vêtements pour protéger mes fesses. J’avais bien senti la cuisson que ma compagne avait entreprit d’installer sur mes fesses. Il ne s’agissait plus d’un avertissement, mais d’une vraie fessée pour me punir. Je n’eus pas le temps de penser à ce qui m’arrivait avant qu’elle ne fit tomber sa main là où elle l’avait appliquée la première fois.
« Aïe… non, Maman ! Je vais... »
Je ne pus aller plus loin dans ma plaidoirie. La fessée qui continuait ne m’en laissa pas le loisir. J’abandonnais bien vite l’idée de défendre ma cause. Nous n’en étions plus là et rien n’arrêterait ma compagne avant qu’elle estimerait que la punition avait porté ses fruits.
« Quand je te dis de faire quelque chose, je veux que tu obéisses tout de suite et sans rouspéter ! Est-ce bien compris ?
– Oui, Maman, j’ai compris, j’ai compris !
– Je vais m’en assurer ! »
Sa main continua à claquer sur mes fesses nues. J’émaillais cette avalanche de coups par des cris sonores qui ne laissaient aucun doute sur l’efficacité de la punition qu’elle m’administrait. Je criais autant par désespoir qu’à cause de la cuisson qui embrasait de plus en plus mon postérieur.
Je ne sais pas combien de temps dura cette correction, mais ce ne fut pas une grosse fessée. En me déculottant et en me fessant, ma compagne avait juste voulu me montrer ce qui arrivait aux grands garçons quand ils n’obéissaient pas sans renacler. Elle voulait que je ressente les affres de la fessée durant quelques minutes, ce qui, à ses yeux, était bien suffisant pour que je comprenne ce qu’il fallait que je fasse à l’avenir. Elle y avait parfaitement réussi. Cette correction maternelle avait parfaitement rempli son office. Elle me releva.
« Est-ce que, maintenant, tu vas aller mettre des chaussons sans maugréer ?
– Oui, Maman, j’y vais ! »
Elle remonta ma culotte et d’une petite claque sur les fesses, elle m’envoya vers le lieu où je changeais de chaussures. J’eus le temps, avant de me diriger vers où elle m’envoyait, de voir un petit sourire sur son visage. Elle n’était pas fâchée après moi et elle était satisfaire du devoir accompli.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal relatée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Bonjour Josip.
RépondreSupprimerPrendre en charge l’éducation d’un adulte ce n’est pas chose facile il faut de l’autorité et de la persévérance. Il est vraiment difficile de faire disparaître les mauvaises habitudes qui persistent depuis des années. Lorsque ma compagne a accepté de me prendre en charge c’est elle qui a fixé les règles auxquelles je dois me tenir. Elles étaient strictes et me faisaient un peu peur mais je savais que j’en avais besoin. Je les ai acceptées parce qu’elles sont dans mon intérêt. Je sais que sans ces règles j’aurais souvent tendance à déraper et à faire n’importe quoi. Moi aussi j’ai confié à ma compagne le soin de décider pour à peu près tout. Ça me rassure. De mon côté je sais que je dois lui obéir sans sourciller. Ma compagne dit souvent que j’ai un comportement de gamin immature. Je reconnais qu’elle a raison. Mais comme le dit ma compagne il ne suffit pas de fixer des règles il faut les faire respecter. Et ma compagne s’y entend. Elle exerce son autorité sans faiblesse. Elle est juste mais sévère et ne me corrige jamais sans raison. La punition la plus fréquente c’est la fessée déculottée et le martinet pour les bêtises les plus graves. D’autres méthodes punitives sont parfois appliquées mais plus rarement, les verges ou les orties…. Je peux te dire qu’au moindre écart la culotte est vite baissée. C’est ma compagne qui décide de la punition qu’elle doit m’appliquer selon la faute commise. En aucun cas je ne m’aviserais de quoi que ce soit. Je sais que la punition qu’elle me donne je la mérite toujours amplement. Je sais que je suis souvent désobéissant, paresseux et que mon attitude confine parfois à l’insolence. Ce comportement ma compagne ne l’admet pas et ça me va souvent une bonne fessée. Presque toujours culotte baissée et en travers de ses genoux ou ployé sous son bras gauche. C’est un méthode qui a fait ses preuves. Lorsque c’est possible elle tache de me punir dès que la bêtise est faite. Elle considère que c’est beaucoup plus efficace. À la maison c’est facile et immédiat. En extérieur elle n’hésite pas à le faire lorsque c’est possible mais c’est elle qui en juge. Elle regrette de ne pouvoir le faire plus souvent parce qu’elle me dit que je le mérite. Mais en extérieur, bien sûr, il faut prendre quelques précautions. Elle trouve toujours des solutions, un endroit un peu abrité loin des regards. Ça me fait bien honte et j’ai toujours peur que quelqu’un surgisse et me voit alors que je reçois la fessée… tu te rends compte, puni comme un gamin. Enfin je crois que personne n’a jamais rien vu mais je n’en suis pas totalement sûr. De toute façon si je ne connais pas les personnes, ça n’a pas d’importance. Je te raconterai si tu veux la dernière fessée reçu le week-end dernier pour une insolence et un gros mensonge.
Bien à toi et au plaisir de te lire.
Pascal