samedi 23 janvier 2021

Fabien, saison 2 - chapitre 40

 Dix minutes s’écoulent comme dans un rêve éveillé, cela a à peine suffit à calmer les sanglots de Lucie qui sont devenus presque silencieux.

- Allez ma fille, nous n’avons pas toute la nuit devant nous et il est temps que tu goûtes aux effets tonifiants des orties, relève-toi et approche.

La malheureuse peine à se redresser, sur un signe de la main de la maîtresse des lieux, Sylvie et Béatrice se précipitent pour l’aider, la prennent par les aisselles et l’encadrent jusqu’à ce qu’elle se trouve plantée devant madame Leblanc, elle est désormais parfaitement domptée et s’empresse de croiser ses mains sur sa jolie tête presque aussi rouge que ses fesses. Elle contemple avec horreur les trois bouquets d’orties qu’on vient de finir de confectionner à son usage et qui reposent sur un guéridon à portée des mains gantées de notre logeuse.

- Mets- toi à plat ventre sur mes cuisses chipie.

C’est fait, Lucie, non sans mal est parvenue à s’installer comme on vient de le lui ordonner, sa bourrelle la cale en avant en lui arrachant de petits cris de douleur quand elle lui touche son flanc droit sur lequel les lanières se sont égarées en bout de course, de sorte que ses pieds ne reposent plus à terre, j’observe que pour assurer un peu mieux son équilibre, elle serre de ses menottes les pieds de la chaise sur laquelle repose la forte corpulence de celle qui s’apprête à la supplicier à nouveau. La lumière crue distillée par la lampe d’appoint me fait découvrir à nouveau les fesses de ma cousine, qui ont par endroit d’ores et déjà virées au violet.

 

La mère Leblanc en fesseuse confirmée sait que sa « patiente » va avoir du mal à conserver la position qui lui est assignée et la ceinture de son bras gauche, prend un bouquet d’orties et appuie son coude à mi-dos. Les fesses de Lucie se resserrent étroitement le long de la fente fessière et font bloc en prévision de la frottée, notre logeuse lève son bras à mi-hauteur, mais ne frappe pas avec vigueur, elle vient frôler les fesses, les cuisses, les mollets, ensuite elle relève légèrement sa victime pour que sa poitrine soit aussi touchée.

Sur l’instant, Lucie ne montre aucune réaction, au second passage du sommet de la croupe aux chevilles, elle commence à remuer, arque son dos et pousse de petits cris, madame Leblanc renouvelle l’opération, cette fois elle donne des coups plus francs, plus appuyés, en insistant sur certains endroits, elle l’oblige de sa main à écarter largement ses jambes, nous donnant une nouvelle fois la vision terriblement affriolante de son entre-cuisses et lui passe à plusieurs reprises les orties à l’intérieur de sa raie culière, sans oublier son sexe glabre.

La peau qui vient d’être « caressée » par les feuilles rosit à travers les zébrures du martinet toujours bien visibles, à mesure que le bouquet se promène sur le corps, à présent c’est tout le dos qui y a droit, nous apercevons que de petites cloques se forment sur l’ensemble de la zone punie.

Lucie craque progressivement, ses gémissements se transforment en cris de plus en plus vifs et elle commence à supplier qu’on cesse de la tourmenter ce qui laisse bien sûr notre hôtesse de marbre, au contraire, elle la remet sur ses pieds

Le spectacle est d’autant plus de qualité qu’il est rare, j’ai subi cet abominable traitement devant les pensionnaires à plusieurs reprises et Kevin y a eu droit également,  mais c’est la première fois que c’est une fille qui en est la victime, de plus pour ajouter à l’attrait de la torture, car après une fessée au martinet, à la règle, voire à la baguette, c’est véritablement de cela qu’il s’agit, la victime est entièrement nue et épilée ! je me répète, mais il y a du drap mouillé dans l’air, sans parler des culottes.

Les orties maniées avec adresse par notre tutrice sur le corps tourmenté, je n’ose écrire supplicié, qui n’épargne aucune partie de chair, vont laisser des souvenirs cuisants durant pas mal de temps, au moins quarante-huit heures, sinon davantage, la brûlure sera permanente, très difficile à endurer, puis elle s’atténuera progressivement, restant toutefois présente, lancinante, à chaque fois que les mouvements du châtié amèneront l’épiderme meurtri au contact d’une matière quelconque et cela durant trois ou quatre journées, la souffrance, certes largement atténuée au fil du temps, restera présente, elle rappellera le souvenir de la punition initiale et ses motifs et compte que tu ne seras pas près de recommencer les mêmes erreurs. Dans l’idéal, il faudrait rester nu, le temps que les brûlures s’estompent, ce qui ne va évidemment guère être possible.

Avant qu’on la redresse, Lucie ne se débattait pas vraiment, mais ses pieds battaient irrégulièrement ; se croisaient, elle commençait à écarter ses cuisses, avant que madame Leblanc l’oblige à ouvrir au maximum son compas, j’observais que sa tête dodelinait et que les sanglots commençaient à poindre, alors que son bassin bougeait à peine au contact des bouquets urticants, elle avait seulement un petit geste instinctif de retrait.

Elle est à présent debout face à sa bourrelle, les mains croisées sur sa tête et elle sanglote à gros bouillons.

- La même chose devant et ce sera terminé.

- Oh non pitié, pardonnez-moi, madame Leblanc, c’est trop dur, je n’en peux plus, pas ma poitrine, je vous en supplie.

Tu parles que cela ne trouble guère notre logeuse, elle lui caresse à présent le haut du devant de ses cuisses à l’aide du second bouquet, dessinant trois longues lignes de cloques qui les barrent sur toute leur largeur, l’effet est quasi immédiat, les hurlements et les pleurs redoublent.

Je me dis que Lucie doit prendre beaucoup sur elle pour ne pas s’enfuir, car à présent la main qui lui entoure la taille ne la retient que symboliquement. Madame Leblanc sent cependant qu’elle est au bout de sa résistance et lui glisse avant de terminer son ouvrage.

- Tiens-toi tranquille, tu sais ce que tu risques, si tu bouges, je te flanque à la porte et tu te débrouilleras avec ta mère, il convient que tu te souviennes longtemps de cette punition, sache que ta correction ira à son terme.

Les orties sont à présent passées sur les seins, le ventre et le pubis de ma cousine, y laissant des traces que je sais pour l’avoir cruellement vécu, extrêmement douloureuses, d’une petite tape, on l’incite à écarter à nouveau les cuisses aux fins que les feuilles urticantes puissent bien frotter sur la chatte chauve, voire la pénétrer, sans parler de son clitoris qui doit y avoir droit également.

Là, Lucie n’y tient plus, elle se met à hurler de plus belle et saute sur ses pieds.

- Calme-toi ma belle c’est terminé, continue à faire la folle et je t’en remets une couche.

Madame Leblanc s’est remise debout et elle traîne la malheureuse par l’oreille jusqu’à la cloison que nous avons surnommé entre nous le mur des lamentations.

Ma cousine qui on ne sait comment, a réussi à garder ses mains sur la tête, suffoque à présent, hoquette même, mais se laisse néanmoins entraîner jusqu’à son lieu de pénitence.

- Tu vas y rester une demi-heure, je t’épargne l’agenouillement, mais je suis trop bonne, le temps de méditer sur tes fautes et que je ne te vois pas sautiller ou te tordre, sinon tu auras droit à une nouvelle fessée qui risquerait de faire éclater les cloques. Lucie, cette frottée ne doit pas te faire oublier comment on doit se tenir au coin. Resserre tes jambes ! Je les veux bien jointives, comme d’habitude. Et cesse de pleurer bruyamment ! Si je te mets au coin, c’est pour que tu t’y fasses oublier, pas pour que tu empêches toute conversation. Silence tout de suite ! 

Je revois parfaitement la scène, la poitrine de Lucie est toujours soulevée par des sanglots, mais ils sont maintenant plus ténus, presque silencieux, jusqu’au moment où après un long moment, interminable, que nous avons passé à diverses occupations, tout en zieutant en douce, la pénitente, notre logeuse nous dit en tapant dans ses mains.

- Allez, tous au lit, j’espère que la démonstration a été salutaire et surtout exemplaire, allez Lucie, c’est fini, je ne te garderai nulle rancune, tu as payé tes fautes, on n’en parlera plus, viens me demander pardon.

Elle doit boire le calice jusqu’à la lie, après tout ce qu’elle a subi, il faut à présent qu’elle aille à Canossa et s’excuse !

Elle va s’exécuter, elle n’a pas d’autres choix et elle se retourne, marchant à petits pas, la démarche parfaite du canard, nous dévoilant une nouvelle fois son visage ravagé par les larmes et la souffrance toujours bien présente.

- A genoux et tu me baises les mains pour les remercier de t’avoir châtiée pour ton bien, j’espère que tu n’en doutes pas ?

C’est l’ultime humiliation, la mère Leblanc ne l’avait jamais fait avec aucun de ses punis, cela emporte ma conviction que pour je ne sais quelle obscure raison, elle déteste Lucie et fera tout non seulement pour la mater, la soumettre, mais pour l’abaisser définitivement, ce qui me semble bien pire.

Cette dernière n’a pas le choix et quitte à rendre gorge, elle va aller jusqu’au bout de la mortification, elle se traîne jusqu’aux pieds de celle qui la si durement corrigée, s’agenouille et glisse d’un ténu son de voix entre deux sanglots rentrés « merci madame Leblanc de m’avoir châtiée pour mon bien ».

- Répète, je veux que toute l’assemblée entende ta contrition.

Ma cousine n’en est plus à ça près et elle s’exécute, toujours avec des trémolos qui l’empêche d’articuler convenablement, on veut bien s‘en contenter et accepter le baiser qu’elle donne à la main qui l’a si sévèrement battue. Je vous garanti que c’est un grand moment, nous sommes tous complètement pétrifiés, pour ma part, j’en suis même gêné, ma cousine m’a fait subir bien des tourments, mais là c’est too much, mais elle se prend pour qui la mère Leblanc, ça lui est monté au cerveau cette autoritarisme, je me demande si je rapportais l’intégralité de cette soirée mémorable à ma mère et à sa sœur, si elle ne trouverait pas que l’on tombait dans l’excès et que l’éducation rigoureuse et les châtiments corporels qui allaient avec, avait ses limites et qu’on les avait franchies, j’espérais que dans la foulée nous échapperions tous les deux à la férule de notre impitoyable logeuse, je me réservais d’échanger à ce sujet avec Lucie qui était au moins aussi concernée que moi.

- C’est bien ma fille, tu es pardonnée, tu peux aller te coucher, même si tu vas avoir du mal à trouver le sommeil, mais rassure toi, au final les orties feront du bien à ta jolie peau.

Pour l’heure, elle se relevait difficilement, étrangement elle tremblait et semblait avoir froid, après avoir eu terriblement chaud aux fesses et ailleurs, encouragé par une mimique de la mère Leblanc, je m’approchais d’elle, la prit dans mes bras et l’habillais sommairement des fringues que me passaient Julie.

Je conservais son slip et son sous-tif en me disant que le seul contact avec sa jupe et son pull serait déjà très rude. Elle est complètement tétanisée la pauvresse et c’est Béatrice qui doit lui passer ses chaussures et lui poser sa doudoune sur les épaules, elle s’appuie sur moi et marche à petits pas, les cuisses largement écartées, complètement ridicule, on dirait une petite vieille, encore heureux qu’elle ne dépasse guère les cinquante kilos, car la montée de l’escalier qui mène à notre appartement est spécialement délicate.

 

Enfin arrivés à bon port, à peine la porte refermée, elle s’effondre dans mes bras et se remet à pleurer presque silencieusement se soulageant en me faisant le récit de ses souffrances, narrées plus avant, comme si je n’en avais été le témoin.

Lucie rhabillée au minimum, sans sous-vêtements avait du mal à marcher, se tenait les cuisses largement écartées en répétant sans désemparer « oh la salope, putain que ça fait mal, jamais comme ça, jamais je n’ai autant morflé », ressassait pour elle à mi-voix, le déroulement de sa terrible correction «  la garce, la fessée, plus la baguette, plus les orties, c’est vraiment trop », tandis que je l’aidais à prendre une douche très tiède pour ne pas irriter davantage une peau que je découvrais presque entièrement marquée, entre les zébrures du martinet et les cloques, avec de petites bandes de peau blanchâtres, causées par le frottement des orties, il n’y avait guère de parcelle de chair intacte, seuls sa figure, encore heureux, son cou, ses bras et le devant de ses mollets avaient échappés au massacre..  

- Bon Dieu, les premières minutes sont horribles. Rien ne semble vouloir faire diminuer le fourmillement qui emporte tes fesses et tes cuisses. Il est continu, uniforme et une chaleur intense rayonne depuis ton cul (je sais qu’elle va devoir patienter plusieurs heures avant d’en noter une diminution). C’était comme si des centaines d’aiguilles te piquaient la peau toutes en même temps et cela continuait sans fin.

De façon discontinue, imprévisible, mes fesses étaient parcourues d’une douleur plus aiguë qui les traverse dans un sens, puis dans l’autre, s’arrêtant, puis reprenant, disparaissant là pour renaître un peu plus loin. C’est incessant, cela dure, je pensais que je ne parviendrais pas à rester sinon immobile, du moins à ne pas trop remuer.

C’était difficile, mais Lucie y était parvenue. Tout était possible pour éviter une nouvelle confrontation avec les orties.

-Mes cuisses jointes étaient maintenant le centre de la douleur. Même en restant immobile comme c’était la règle au coin, elles frottaient légèrement l’une contre l’autre, provoquant à chaque fois des ondes de douleur.

 

- Allez c’est fini ce gros chagrin, je vais m’occuper de toi et ça va aller mieux, je vais te repasser sous la douche, ça éliminera les pointes résiduelles de ses saletés d’orties et cela te fera du bien, ensuite, je te passerai de la Biafine, d’accord.

Elle me donne son aval dans un murmure entre deux sanglots. Je dois dire qu’au-delà de la compassion et de la vraie tendresse que je ressens en ce moment pour ma cousine, je me réjouis perversement d’avoir son joli corps nu à mon entière disposition, elle ne s’est pas privée de son côté pour faire du mien tout ce qu’elle voulait, y compris d’user de mon engin comme une sorte de sex toy et de m’introduire ses doigts dans mon fondement.

Elle est trop abattue par ce qui vient de lui arriver pour ne pas s’abandonner complètement à mes soins et je ne prive pas de lui caresser les seins avec le gant de toilette, pareil pour ses fesses qui sont si tuméfiées que j’ose à peine passer le bout de mes phalanges dans sa raie, en revanche, je peux laisser libre court à ma lubricité concernant sa chatoune mignonne qui n’a pas été sollicitée par les lanières du martinet, ni les claques, mais que n’a pas ménagée le bouquet d’ortie, la peau de son pubis est complètement boursouflée et parsemé de petites cloques, je profite de l’occasion pour lui glisser mon doigt à l’intérieur de bas en haut à deux reprises.

Là, tout de même, elle réagit.

- Dis, tu ne trouves pas que tu profites un peu de la situation.

- C’est comme tu veux, si tu ne veux pas que je te touche, on ne parle plus de la Biafine, c’est dommage car c’est souverain pour soigner les brûlures.

- Non, ça va, oublie, je te remercie de t’occuper de moi, je ne t’aurais pas cru si attentionné, mais n’exagère tout de même pas.

- Sûr qu’après tout ce que tu m’as fait subir, tu ne pouvais imaginer que je serais aussi compatissant, non ?

- N’en parlons plus, veux-tu, disons que je regrette, j’ai été méchante, ça te va ?

- C’est déjà ça, mais nous en reparlerons, tu ne crois pas que je vais passer l’éponge sur toutes ces avanies et le mot est très modéré, avec deux mots d’excuse. C’est bon, tu es bien sèche à présent, viens t’allonger sur ton lit et enlève ton peignoir de bain, tu sais tu n’as plus rien à me cacher à présent, non plus qu’aux autres pensionnaires, on a tout vu et nous te connaissons désormais par cœur, y compris au plus intime de ta personne. Ah, non, tu ne vas pas te remettre à chialer.

Du coup pour la consoler, je la couvre de petits bisous y compris sur sa bouche qu’elle ne me refuse pas.



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 39

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

4 commentaires:

  1. Amis de la poésie, de la fessée ortie-colle, et la santé par les plantes... Bonjour...les survivants.
    Bonjour Serge.

    Que voilà un chapitre qui ne manque pas de piquant! Vous avez aimé la soupe aux orties, vous allez adorer la dégelée aux plantes urticantes du même nom !
    La " Mère Le Blanc" n'y va pas avec le dos de la feuille. Après une terrible série de fessées, à la main, au martinet, à la règle, elle passe à l'Ortie-culture et te vous met l'Emilie punie, en cloques... recto-verso, intérieur-extérieur.

    Ouille, ouille ouille... ça brûle, ça pique et pique et co...latéral. Parce qu'on ne peut pas dire que l'amie Emilie se soit, auparavant, montrée très douce avec son cousin Fabien. Le petit revanchard en profite d'ailleurs, à la fin, pour lui tripoter la boîte à miel, et mettre le doigt à l'intérieur de ce qu'on ne voit pas en vitrine. Après le carnage, le chantage! Excursion digitale dans la forêt zônienne, sinon tintin pour la Biafine à calmer les boursoufflures aux fines herbes! Pas un pour rattraper l'autre!

    Il convient de souligner la précision et le réalisme des descriptions habilement écrites qui conduit l'imaginaire du lecteur vers une représentation très imagée des situations. On chercherait presque instinctivement la pommade adoucissante à la lecture de certains passages particulièrement explicites. Comme la pénible impression d'être assis sur une poignée d'Orties.
    Après un tel traitement, que peut on attendre d'une " Mère Leblanc", technicienne de surface à l'ortie blanche? La fessée au gant de crin ?
    On en frémit d'avance!
    Cordialement
    Ramina

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  2. Fabuleux, très bien raconté. C'est dur à dire, mais étant moi-même du sexe de notre ami Fabien, j'ai souffert pour lui, lors des épisodes où il était la victime de cette saleté de Lucie. Aussi, dans ces derniers récits où c'est elle qui devient la victime, j'ai eu du mal à la plaindre. C'est très mal, ce n'est pas charitable, mais je ne pouvais m'empêcher de me dire qu'elle l'avait bien mérité: bien fait pour elle, la vilaine. Comme Fabien , tout de même émoustillé par l'incroyable scène à rallonge, le supplice pour tout dire, j'ai moi été un peu excité! Peut-être changera t'elle de comportement? cela me surprendrait, le naturel revient au galop et il faut dire que Fabien est un voyeur certes, mais très bienveillant. J'ai hâte d'avoir la suite. Que va t'il se passer pour elle dans sa sévère institution scolaire ? Amitiés à tous

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  3. Merci à tous les deux pour ces compliments qui me vont droit au coeur, surtout venant de notre exemplaire Ramina qui sait de quoi elle parle et dont je désespère de parvenir un jour à effleurer ses chevilles.

    Bien sympathiquement .

    Serge

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  4. Hello, Serge...

    Je sais que mon pseudo est équivoque...( pour tout dire ça m'amuse) mais je suis un "il", genre masculin, des pieds à la tête et tout ce qu'il y a entre les deux. Ramina étant le diminutif de "Raminagrobis", le chat de la fable de Lafontaine " Le chat,la belette et le petit lapin".
    Bon, ceci dit qu'est ce que vous avez tous (Elena c'est pareil) avec mes chevilles ... J'ai autant de plaisir à vous lire que vous, avec ma prose.
    Amicalement
    Ramina

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