vendredi 6 mars 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 3

Madame Dumon

Monique était arrivée très énervée à son cabinet, sa secrétaire en avait fait les frais, elle lui avait dit de ne lui passer les appels qu'en cas d'extrême urgence. Sa dernière cliente s'appelait Florence Costa, elle avait soixante-cinq ans, grande et élancée elle ne faisait pas son âge, cependant son air sévère trahissait son ancien métier de professeur de français dans une institution religieuse de la ville. La consultation était presque terminée quand le téléphone sonna, excédée Monique Dumon décrocha, un peu gênée.
Sa secrétaire lui expliqua que c'était Mademoiselle Sophie, l'assistante du salon de Madame Rose, elle avait déjà appelé trois fois et elle insistait beaucoup. Un peu inquiète Monique prit la communication. Au bout du fil, elle reconnut la voix sévère de Sophie.
- Une demi-heure pour pouvoir vous parler, c'est inadmissible, je ne pense pas que Madame Rose va apprécier !
Madame Dumon bafouilla une excuse sous les yeux étonnés de sa patiente.
- ce n'est pas le problème actuel, je vous appelle pour connaître l'état de vos fesses.
Monique, s'embrouilla dans ses réponses.
- euh, c'est à dire, euh, que voulez-vous dire ?
- oh, c'est très simple, je veux savoir si elles sont encore rouges et si elles vous brûlent encore.
- euh, c'est à dire je ne sais pas.
- comment vous ne savez pas, et bien c'est simple, vous baissez votre culotte devant une glace et vous me dites comment elles sont, allez vite, j'attends.
Complètement désemparée, Monique s'excusa auprès de sa patiente et se rendit dans sa salle de repos, comme une automate elle se déculotta et regarda ses fesses dans la glace, elles portaient encore les stigmates des corrections reçues en début d'après-midi. Rapidement après avoir arrangé sa tenue elle revint dans son bureau et repris le téléphone.
- oui elles sont encore un peu rouges
- parfait, et ça vous brûle encore j'espère ?
- euh oui.
- oui quoi, décidément vous voulez que je vienne moi-même vérifier.
- oh non, non ce n'est pas la peine, oui ça brûle.
- très bien, à demain Madame, vous pouvez préparer vos fesses !
Pendant toute la conversation Florence Costa avait été très attentive au propos de son ophtalmologue, dès qu'elle eut reposé le combiné elle attaqua
- alors comme ça, vos fesses sont encore rouges et elles vous brûlent ?
Interloquée, Monique Dumon rougit violemment puis se reprenant
- mais enfin qui vous permet, vous êtes folle !
- ne me parlez pas sur ce ton, pouvez-vous me dire ce qui peut être rouge et brûler et qui fait bredouiller d'en parler ?
Monique restait sans voix, ses joues étaient de plus en plus rouges. Madame Costa continua calmement
- d'ailleurs j'aimerais bien les voir ces fesses pour constater les effets de la bonne fessée que vous avez dû recevoir.
- non mais ça ne va pas, vous n'y pensez pas, sortez de mon bureau !
- certainement pas, à moins que vous ne souhaitiez que toute la ville sache que le Dr Dumon aime jouer à panpan cucul, je connais beaucoup de monde la nouvelle va se rependre très vite dans les dîners.
Cette fois-ci Monique blêmit, elle sentait le piège se refermer, elle regardait sa future maîtresse sans réagir. Florence Costa souriante s'était levée.
- alors vous vous décidez ?
- je.... que dois-je faire ?
- oh c'est très simple, vous vous levez, vous vous tournez et vous baissez votre culotte.
Florence Costa avait dit ça sur le ton de l'évidence. Monique comme une automate se leva fit le tour du bureau et après avoir retroussé sa jupe, elle se déculotta. Madame Costa s'approcha pour examiner de plus près cette belle paire de fesses encore rouge des fessées précédentes.
- et bien mazette, je ne sais pas qui vous a administré cette correction mais c'est une spécialiste.
Elle posa sa main sur la croupe dénudée, Monique eut un mouvement de recul, une rapide tape sur les fesses la convainquit de ne pas bouger.
- vous êtes donc vraiment une vilaine fille, dans mon collège quand j'étais adolescente, une fessée à l'école valait une fessée à son retour à la maison.
Monique vivait un cauchemar éveillé, passe encore de devoir recevoir la fessée à l'institut mais maintenant dans son propre cabinet elle était obligée de présenter ses fesses à une presque inconnue qui la traitait comme une gamine désobéissante. Madame Costa prit une règle plate sur le bureau, Monique n'avait pas bougé, la main de Florence appuya un peu sur son dos pour la faire pencher sur le bureau de façon que ses fesses soient mieux présentées.
- je vous conseille de ne pas bouger et de ne pas faire trop de bruit si vous ne voulez pas que votre secrétaire vous voie dans cette position et cette tenue peu enviable.
La règle claqua le derrière tendu arrachant un petit cri étouffé à la pauvre Monique, son derrière encore douloureux des fessées précédentes était en feu après une cinquantaine de coups de règle. Satisfaite la nouvelle maîtresse se recula pour admirer son œuvre, une paire de fesses parfaitement rougie, un rouge très foncé qui descendait jusqu'à la racine des cuisses à la lisière des fesses, là où la peau est la plus sensible. Monique sanglotait en silence sous la cuisson, il ne fallait surtout pas alerter sa secrétaire, disciplinée par plusieurs séances à l'institut, elle ne bougeait pas et ne frottait pas ses fesses, attendant les consignes. Celle-ci ne tardèrent pas.
- je n'ai pas le temps de vous envoyer au coin, ce sera pour la prochaine fois, reculottez-vous.
La fin de la consultation se passa comme dans un rêve, si ce n'est la brûlure de son postérieur qui la rappelait à la réalité. Elle raccompagna sa fesseuse, jusqu'à la porte. Celle-ci en lui serrant la main lui dit.
- je vois avec votre secrétaire pour mon rendez-vous de vendredi ?
La secrétaire fit remarquer que le planning était complet à moins de la rajouter en fin de journée. Monique acquiesça un peu inquiète.
- c'est parfait, vous aurez un peu plus de temps à m'accorder.
Florence était souriante en sortant du cabinet de son ophtalmologue, quelle bonne surprise pensa-t-elle. Son attirance pour la fessée datait de sa jeunesse, elle en avait reçu des fessées quand elle était chez les sœurs, celle-ci avait la main leste et elle troussait et baissait les culottes des gamines mais aussi des adolescentes sans se soucier de leur pudeur, les fesses rougissaient et les pleurs et gémissements ne les arrêtaient pas. Quand elle avait fait ses études elle avait goûté au plaisir d'administrer à son tour des fessées déculottées à quelques amies. Quand elle était devenue à son tour professeur dans cette institution, les châtiments corporels publiques avaient disparu des classes mais ils avaient toujours cours lors des leçons particulières si les parents donnaient leur autorisation ce qui était toujours le cas. Florence ne s'était pas privé de déculotter ces jeunes filles de bonne famille, elle pouvait se vanter quand elle se promenait en ville de connaître l'anatomie postérieure de nombreuses dames, qui de nombreuses années plus tard la saluait avec déférence.

Le vendredi suivant, elle se présenta au cabinet du Dr Dumon, la secrétaire la fit patienter et quand Monique appela sa patiente elle prit congé,
- je ferme la porte docteur, vous serez tranquille.
Monique Dumon acquiesça, se demandant si c'était une bonne idée, mais comme elle se doutait de ce qui allait lui arriver, elle se dit que c'était mieux que personne ne la découvre fesses à l'air en train de recevoir une fessée.
- bien, alors à quand remonte votre dernière fessée ?
Florence avait décidé d'entrer sans attendre dans le vif du sujet, Monique rougit une nouvelle fois, elle avait eu un rendez-vous au cabinet de Madame Rose le matin même et ses fesses étaient encore sensibles des quatre fessée reçues, la dernière donnée comme à son habitude par cette petite peste de Sophie devant les trois personnes qui attendaient, allongée en travers de ses cuisses comme une maman sévère l'aurait fait, sauf que la maman avait vingt ans et que la fillette était une dame de plus de quarante ans culotte descendue à mi-cuisse.
- euh, ce.... ce matin.
- et bien on va voir ça, venez ici.
En disant ça, Madame Costa s'était assise sur une chaise et elle faisait signe avec son doigt à Monique d'approcher. Dès qu'elle fut à sa portée elle lui prit la main et la fit basculer sur ses genoux, habituée à ce genre de situation Madame Dumon ne résista pas, à quoi bon depuis une semaine elle commençait à connaître les sensations ressenties, les mains posées par terre pour stabiliser la position, l'air frais sur ses cuisses signe que la jupe était retroussée et puis l'humiliation suprême la culotte qui glissait, les fesses étaient maintenant exposées à la vue de sa fesseuse. Et puis la brûlure de la première claque, mais elle n'arrivait pas, Florence examinait soigneusement ce fessier si bien tendu par la position, elle souriait, appréciant le spectacle que lui offrait bien malgré elle le docteur Dumon, la jupe retroussée sur les reins, la culotte descendue sous les fesses mettant bien en valeur ses deux globes rebondis, présentant encore les signes d'une sévère déculottée.
- et bien, on n'a pas dû être très sage pour mériter une si bonne fessée.
Tout en caressant les fesses Madame Costa employait le langage d'une institutrice sévère, se plaisant à faire retomber en enfance cette bourgeoise hautaine, elle insinua ses doigts dans la raie fessière ce qui provoqua une réaction de sa victime qui serra vivement les fesses, quelques vigoureuses claques eurent tôt fait de calmer cette petite rébellion.
- ma chère, vous n'êtes ni en position ni en tenue pour désobéir, donc vous allez écarter vos cuisses bien gentiment et desserrer vos fesses sinon il va vous en cuire.
Monique effectivement n'était pas en bonne posture, elle s'exécuta et laissa sa nouvelle maîtresse violer un peu son intimité. Jugeant l'humiliation suffisante, elle posa sa main sur les fesses pour en apprécier la chaleur.
- ça vous cuit encore un peu, mais vous connaissez la règle, une fessée à l'école, une fessée par maman à la maison, et aujourd'hui c'est moi la maman.
Elle leva la main et commença à claquer vigoureusement les deux fesses que lui présentait Monique. Celle-ci instruite par le séjour à l'institut se gardait bien de se dérober mais bientôt la brûlure intense la fit sangloter et supplier sa nouvelle maman. Celle-ci continuait toujours souriante d'appliquer le châtiment qu'elle jugeait nécessaire. Quelques instants plus tard, Monique en pleurs était conduite au coin tenue par l'oreille comme si elle était revenue 30 ans en arrière.
- Voilà une belle paire de fesses bien rouge, mettez vos mains sur la tête vilaine fille et que je ne vous voie pas bouger.
Florence avait coincé la jupe dans la ceinture pour bien dégager les fesses. Elle s'assit au bureau et contempla le spectacle. Elle laissa Monique au coin pendant 10 minutes. Puis elle la fit venir et se levant elle lui désigna une chaise.
- mettez-vous à genoux et tenez-vous droite, vous allez me raconter pourquoi vous avez mérité de recevoir toutes ces fessées chez Madame Rose, et n'oubliez rien, j'ai la règle à portée de vos fesses pour vous rafraîchir la mémoire s’il en était besoin.
Monique en pleurnichant du se confesser, les quelques coups de règles soigneusement appliqué sur son derrière tendu furent d'une aide précieuse.
- et bien c'est du joli, si votre mère savait cela, mais je vois que Madame Rose connaît son métier, je pense qu'à la fin de votre séjour chez elle vous n'aurez plus envie de recommencer. Je crois cependant que vous avez besoin que quelqu'un vous prenne en charge, je vous attends lundi soir chez moi, vous me raconterez votre journée et je contrôlerai l'état de vos fesses. En attendant comme punition supplémentaire vous me copierez 500 fois la phrase suivante :" je suis une vilaine fille qui mérite de recevoir régulièrement des bonnes fessées déculottées, je vous remercie Madame Costa de bien vouloir vous en charger" et vous me conjuguerez à tous les temps "je mérite la fessée déculottée" ça aussi cent fois. Vous m'amenez tout ça lundi soir, et bien écrit sans rature et sans faute.
Madame Dumon était sans voix, d'un seul coup elle était retombée en enfance quand elle était au collège, elle ne recevait pas la fessée mais elle avait souvent des lignes à copier, elle put enfin se relever et se reculotter.


Sylvie nous a déjà gratifié de plusieurs récits.

Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités

Et celui-ci comporte un épisode précédent

Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 2
Et si vous ne vous rappelez plus du début ou si vous l'avez loupé... le voici chapitre 1

Et il y a une suite...

... le chapitre 4.

Et toujours les commentaires

Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.

1 commentaire:

  1. Bonjour, Sylvie. Et bonjour à tous.

    Que voilà un coup de fil qui tombait mal! Ou plutôt très très bien. Cette pauvre Monique se trouve désormais entre les griffes d'une patiente qui ne s'en laisse pas compter. Et qui est bien décidée à profiter, pour son plus grand plaisir, de cette croupe qui lui tend les fesses. Va-t-elle seulement se contenter de leur donner, elle aussi, de belles couleurs? Pas seulement, non. Il va s'agir pour elle d'étendre son emprise sur sa "victime", de la ramener dans un passé qu'elle croyait définitivement révolu.
    Amicalement.
    François

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.