mercredi 1 avril 2020

Benoit chez Tatie - chapitre 3

Benoit rentre donc à la maison avec Tatie, et doit lui donner la main.
D’abord pour traverser une rue, puis une fois sur le trottoir, il essaie de se dégager et reçoit une claque sur une cuisse.
« -Benoit, il y a du monde sur le trottoir, donc tu donnes la main ».

A la maison, Tatie l’informe que, en attendant demain la réunion avec l’enseignante, elle va le faire un peu travailler.
Et après lui avoir retiré ses chaussures, elle le force à mettre la même blouse d’ écolier que portent ses cousins aujourd’hui.
« - Tatie, c’est vraiment nécessaire ? A mon âge quand même
« - C’est absolument nécessaire pour tes devoirs et leçons et je te dis la même chose qu’à Bertrand. La prochaine fois que tu reparles de ce sujet, ce sera le martinet. Compris ?
« - Oui Tatie »

Elle commence par une dictée et lui apprends que depuis plusieurs années, ses garçons ont droit tous les soirs à une petite dictée, quels que soient les devoirs donnés par l’école. Ils sont d’ailleurs maintenant assez performants en orthographe et grammaire.
Après la dictée et avant de la corriger, Tatie fait mettre Benoit debout et lui demande de réciter la table de multiplication par 8. Et il fait une faute. Et la table des 9. Stressé et humilié, il fait deux fautes.
Cela se traduit par des coups de règle sur ses cuisses nues et l’ordre de copier cinq fois ces tables sur le cahier.
Quand c’est fait, il doit les réciter cette fois sans faute, mais une mauvaise nouvelle arrive.
« - Ta dictée est un torchon. Sur vingt lignes, il y a trente fautes et en plus c’est mal écrit. Tu auras une fessée tout à l’heure. En attendant tu recopies la dictée corrigée deux fois. Si tu ne fais pas un effort pour écrire proprement, je te ferai refaire des pages d’écriture comme à l’école primaire. »

Une fois le pensum effectué, Benoit, les larmes aux yeux avant même d’être frappé, doit s’allonger sur les genoux de Tatie et reçoit une fessée sévère. C’est un gamin en larmes qui est ensuite mis au coin, fesses nues, les mains sur la tête.

Après environ une heure de punition, Tatie emmène Benoit faire pipi et annonce qu’elle va aller chercher les petits.
« - Comme je ne veux pas m’encombrer d’un gamin désobéissant, tu iras m’attendre chez la voisine ».

Et Benoit réalise qu’il a sa blouse bleue.
« - Tatie, je peux enlever la blouse ?
- Il n’en est pas question. Tu gardes ton tablier et tu emmènes ce texte de La Fontaine à apprendre par cœur. Tu réciteras ce soir».
Il remarque également que si lui ou Bertrand parlent de blouses, Tatie parle de tablier, terme qu’elle préfère.

« - Rebonjour, madame Voisin, vous pouvez garder le petit 20 minutes ?
- Bien entendu.
- Il ne va pas vous déranger, il a une leçon à apprendre. Benoit, tu dis bonjour et tu embrasses Madame Voisin »
Ce que fait Benoit en rougissant.
Il s’assoit avec sa leçon à apprendre mais, surprise, la jeune fille de la maison est là. Elle a son âge, a eu le bac comme lui il y a quelques mois et va rentrer en fac.

« - Bonjour, tu t’appelles comment ?
- Bonjour mademoiselle, je m’appelle Benoit
- C’est vrai que tu as ton bac ?  Je n’arrive pas à le croire
- Oui j’ai eu mon bac, pourquoi ?
- Parce qu’avec tes culottes courtes et ta blouse, c’est difficile à croire. »
Elle éclate de rire; Benoit est tout rouge, mort de honte. Pourvu qu’en plus elle ne voit pas les traces rouges sur ses cuisses !

« - Tu as une leçon à apprendre ?
- Oui mademoiselle
- Tu peux m’appeler Martine. Il parait qu’on a le même âge »
Nouvel éclat de rire;
Sa mère intervient
« - Martine, laisses le tranquille. Il a une leçon à apprendre. Il pourrait être puni par ta faute.
- Ta tante te punit, Benoit ?
- oui, ça arrive
- De quelle façon ?
- Ça dépend
- Martine, laisse-le étudier. »

Benoit essaie de se concentrer pour apprendre la fable. Elle n’est pas très longue mais ça fait longtemps qu’il ne fait plus de « par cœur » et sous le regard moqueur de Martine, ce n’est pas facile

Tatie et les cousins finissent par arriver.
« Rebonjour. Le petit a été sage ? »
Sourire de Martine
Sa mère répond
« - oui, pas de problème, c’est un gentil garçon.
- Benoit, tu as appris ta leçon ?
- Oui Tatie
`- Va remercier et embrasser madame Voisin
- Merci madame. Au revoir madame. Au revoir Martine »

Ils rentrent donc et immédiatement Bertrand et Michel se laissent retirer leurs chaussures et sont emmenés faire pipi.
Puis un goûter à la cuisine et une fois la table débarrassée, c’est le temps des devoirs et leçons.
Tout d’abord, comme tous les soirs en année scolaire, une dictée. Cette fois ils sont trois.
Puis Tatie examine les cahiers de texte pour voir les leçons. Bertrand a déjà une rédaction à rendre après-demain. Michel, des exercices arithmétiques en révision du cours de sixième.


« - Bertrand, commence ta rédaction. Michel, tu vas faire tes exercices et Benoit va faire les mêmes. J’ai cru voir des lacunes cet après-midi »

Benoit rougit et copie les énoncés des problèmes.
Silence pendant une heure.
Puis Tatie relit le brouillon de rédaction de Bertrand, corrige les exercices de Michel et Benoit. Pas de faute.

« - Benoit, récite ta fable s’il te plait. Mets-toi debout »
 Benoit n’est pas capable de la réciter parfaitement.
De plus, Tatie donne les résultats de la dictée. Michel trois fautes, Bertrand deux fautes, Benoit douze fautes.
Michel et Bertrand doivent copier 20 fois les mots erronés.

Benoit, lui, se retrouve une nouvelle fois sur les genoux de sa tante.
« - Tatie, non pas encore une fessée
- Leçon non sue, dictée scandaleuse. Non seulement tu vas avoir une fessée, mais tu auras aussi le martinet. Je veux des enfants qui travaillent, tu entends. Prends exemple sur tes cousins »

Les cousins s’aperçoivent que Benoit a déjà reçu une fessée dans la journée. Celle-là est moyennement sévère, mais elle est suivie d’une correction au martinet qui le fait hurler, gigoter, pleurer…
Sa tante le remet debout, le mouche, et bien sûr sans le reculotter le mets au coin.

A 18h30, c’est l’heure du bain.
Déshabillage, WC, bain et pyjama. Benoit geigne quand on le met sur la cuvette, est un peu soulagé quand il est mis dans la baignoire mais geigne de nouveau quand sa tante lui claque les fesses pour ne pas s’être relevé assez vite.

Les trois garçons partent ensuite pour la cuisine et se mettent debout, sans bouger, devant leur place en attendant Maman/Tatie.

Quand celle-ci arrive, ils s’assoient, et Benoit fait une grosse grimace en posant ses fesses sur la chaise. Comme d’habitude, serviette autour du cou, Tatie qui coupe les aliments comme pour des bébés.
 A la fin du repas, Bertrand et Michel peuvent aller jouer, alors que Benoit est remis au coin.

Un peu avant 20h, Bonne nuit les petits et l’ordre habituel :
« - Mes chéris, pipi et au lit ».

Une fois les enfants couchés,
« Bonne nuit mes bébés »,
Benoit se couche sur le ventre pour atténuer la douleur sur ses fesses. Ça fait mal le martinet ! Et il a honte d’être fouetté à 18 ans…

Le lendemain matin, cérémonial habituel. WC, douche en commun, habillage par maman/tatie.
Habillage classique pour des petits garçons: chemisette, culotte courte, socquettes pour tous les trois.

Nouveau passage aux toilettes pour les deux cousins, laçage des lacets pour les trois enfants, « tabliers » d’écolier pour les deux plus jeunes et tous partent en direction du lycée, Benoit compris. Benoit soulagé qu’on ne lui ait pas mis la blouse comme ses cousins.
Il revient à la maison, fermement tenu par la main et Tatie lui enlève ses chaussures… et lui met son « tablier ».

« - L’enseignante arrive à 9 heures. Elle va évaluer ton niveau pour mieux t’orienter. Je veux un garçon obéissant, poli, attentif. Je n’hésiterais pas à te punir si elle a à se plaindre de toi.
- Oui Tatie
- En attendant, tu recopies la dictée d’hier et tu révises la fable que tu n’as pas su réciter. »


On sonne à la porte à 9 heures moins cinq et Tatie envoie Benoit ouvrir.
« - Bonjour, je viens pour voir un étudiant nommé Benoit
- Oui madame, bonjour madame, c’est moi Benoit »
Elle avait déjà bien sûr parlé avec Tatie, mais elle est un peu surprise de voir son « étudiant » en culottes courtes et blouse d’écolier.

« - Bien , donc c’est lui le jeune garçon qu’il faut évaluer ?
- Oui c’est bien lui. Je ne suis pas sûre du tout de son niveau
- Vous m’aviez dit qu’il avait le bac, pourtant ?
- C’est exact, mais j’ai déjà identifié quelques lacunes qui me font penser, ainsi qu’à sa mère, que l’université est prématurée.
- Nous allons voir cela »

Pendant tout ce temps, Benoit se tient debout, très gêné par la tournure que prend la conversation et également mal à l’aise en remarquant les coups d’œil constants de l’enseignante vers ses jambes nues.

Il est maintenant invité à s’asseoir non sans que Tatie demande
« - Benoit, pas besoin de faire pipi ?
- Non, Tatie
- Tu es bien sûr ?
- Oui Tatie »    
Pour le mettre en confiance, c’est mal parti. Il est déjà tout rouge.

Le test d’évaluation action commence par une dictée (encore!), des questions sur l’histoire de France, sur la géographie (« nommez moi les fleuves français »), des questions de grammaire, des exercices d’abord arithmétiques, puis des maths du niveau première/terminale, puis un texte anglais à traduire…….

Cela dure près de trois heures. L’enseignante continue les tests en gardant Benoit pendant que Tatie va chercher les petits.
L’enseignante s’en va ensuite en laissant des exercices à faire par Benoit et en donnant rendez-vous demain matin pour l’évaluation.

Comme toujours, les petits sont emmenés aux toilettes, le déjeuner est servi, une demi-heure de récréation pour tous, de nouveau. Les toilettes pour Bertrand et Michel et Tatie se prépare à les ramener au lycée.
Et Benoit est de nouveau emmené chez la voisine, avec une leçon à apprendre.
« - Bonjour, je vous amène le petit. Je serai de retour dans vingt minutes. Benoit, dis bonjour
- Bonjour madame Voisin
- Bonjour Benoit » et elle l’embrasse.
Il est toujours très gêné d’être en blouse, mais que peut-il faire ? Apparemment Martine n’est pas là et ne pourra pas se moquer de lui.

Tatie revient chercher Benoit
« - Benoit, tu sais ta leçon ?
-Oui Tatie
- J’espère pour toi
- Il a été sage ?
- Comme une image.
- Benoit dit au revoir »
Et Benoit va se faire embrasser en disant au revoir.

« - Benoit, viens faire pipi
- J’ai pas envie Tatie
- Ne discutes pas »
 Tatie l’emmène, lui fait faire pipi comme s’il avait 3 ans, et lui claque les fesses pour avoir dit qu’il n’avait pas envie;

Il doit ensuite faire les exercices laissés par l’enseignante évaluatrice.
Pas tous faciles. Mais il a l’impression de s’en sortir correctement.

Il peut ensuite aller jouer ou lire; Tatie lui retire son horrible blouse.

Puis Ils s’en vont chercher les deux lycéens. Benoit est soulagé de ne pas avoir son « tablier », mais voit bien des regards de passants, surtout de jeunes, sur ses culottes courtes.


De retour à la maison, enlevage des chaussures pour les trois garçons, séance pipi pour Bertrand et Michel, goûter et, une fois la table débarrassée, devoirs et leçons. Benoit doit remettre sa blouse.
Dictée évidemment, devoirs pour tous. Benoit termine les exercices laissés par l’enseignante.
Benoit doit ensuite réciter sa leçon, révisée quand il était chez la voisine. Il ne s’en sort pas trop mal et ne récolte qu’une claque sur chaque cuisse pour avoir hésité.

Les enfants ont ensuite le droit d’aller jouer, après que leur blouse leur ait été retirée.

Et toujours la même routine vers 18h30. Déshabillage, WC, bain, pyjama.
Rien de particulier au dîner. Serviette, couverts pour enfants…
Ils retournent dans la salle de jeux jusqu’au moment où ils sont appelés pour leur émission. Benoit est toujours boudeur d’avoir à regarder une émission pour tout petits, mais il doit obéir.
A la fin de l’émission
« - Mes chéris, pipi et au lit ».
Ils sont donc couchés juste après 20h, comme tous les soirs.
Tatie les embrasse et éteint la lumière
« - Bonne nuit mes bébés « .
Benoit a du mal à s’endormir. Juste quelques jours chez Tatie et, au lieu d’être un étudiant en bac ou école, libre et jeune adulte, le voilà revenu en enfance. Et même petite enfance !
Il n’a pas mis de pantalon depuis une semaine, il est couché à 8 heures, il ne peut ni se laver, ni s’habiller ni même aller aux WC tout seul. Il doit aussi porter une blouse d’écolier. Et il est fessé, tous les jours depuis son arrivée. Comment est-ce possible ?

Lendemain matin, réveil et comme d’habitude, déshabillage, WC, douche et habillage par Tatie.
Petit déjeuner, de nouveau passage aux toilettes pour Bertrand et Michel, comme à chaque fois qu’ils partent à l’école, blouses pour tous les deux, et Tatie comme toujours leur mets à tous les trois leurs chaussures qu’elle lace elle-même.
Départ pour le lycée. Benoit soulagé de ne pas avoir sa blouse.
Mais au retour, fermement tenu par la main par Tatie.

Arrivés à la maison,
« - Benoit, pas besoin de pipi ?
- Non, Tatie
 - Tu es bien sûr ?
- Oui Tatie
- Bon, viens mettre ton tablier
- Mais Tatie, je n’ai pas de cours
- Ton évaluatrice va arriver; elle aura peut-être d’autres tests. Et ne discutes pas, ou tu as une claque »

On sonne à la porte; c’est Benoit qui va ouvrir à l’enseignante.
«- Bonjour mon grand
- Bonjour madame
- Tu as fait tes exercices ?
- Oui madame
- C’est bien. Je vais les vérifier et ensuite discuter avec ta tante. »

Benoit est envoyé dans la salle de jeux. Tatie et l’enseignante discutent du futur à court terme de Benoit. Il n’ a pas besoin d’être présent !
« - Alors, que pensez-vous de mon neveu ?
- C’est assez surprenant qu’il ait eu son bac. Il est de façon évidente très immature.
- Je l’ai toujours dit et j’en ai parlé avec sa mère. C’est encore un gosse.
- Je suis d’accord avec vous. Et il doit lui-même se sentir enfant. Le fait qu’il accepte culottes courtes et blouse à 18 ans…
- Il a comme mes garçons la fessée quand il désobéit
- Ah oui, évidemment. J’ai peut-être une solution à vous proposer pour l’année qui vient ».

Et les deux femmes discutent de l’avenir de Benoit, avant de l’appeler.

« - Benoit, nous avons discutés en comparant l’expérience de Madame et ce que je connais de toi. J’en ai aussi parlé avec ta mère hier soir quand tu étais couché. Il est très clair que tu ne peux pas actuellement t’adapter à une vie dans une université ou une école spécialisée. Tu es beaucoup trop immature, sans parler des lacunes scolaires.
 - Mais Tatie…
- Tais toi. On n’interrompt pas les grandes personnes, je te l’ai déjà dit. Nous avons discuté de deux solutions: Soit te réinscrire en terminale dans une autre section pour compléter ton éducation…
- Tatie j’ai déjà le bac
- Oui mais tu as des lacunes. La prochaine fois que tu m’interromps, tu auras une paire de claques. La deuxième solution, qui est celle que nous avons décidé pour toi, est de te faire suivre à la maison, ici chez moi, des leçons particulières pour te mettre à niveau et te permettre ensuite de poursuivre tes études. Madame m’a proposé de rencontrer une professeure, à la retraite donc très disponible, qui pourrait venir te donner des cours tous les jours. Je déciderai du programme avec elle. Nous lui avons parlé et elle est très heureuse de s’occuper d’un élève unique.
Tu la rencontreras dès demain car elle veut te voir au plus vite pour établir ton programme. Tes cours pourraient commencer lundi.
- Mais Tatie, ça veut dire quoi ? Quels cours ?
- Tu verras ce que nous aurons décidé. Maintenant tu vas dire au revoir à madame et la remercier de s’être occupé de toi ».

Le ciel tombe sur la tête de Benoit. Une année ici, à suivre des cours à la maison, sous la férule de sa tante et donc rester un petit garçon encore un an ?

A suivre…



Voyons, voyons...

Si nous n'en sommes plus au premier chapitre, c'est qu'il y en a eu un autre avant. Mais où est-il ? Ah oui, le voilà : chapitre 2

La suite ? Eh bien elle est annoncée


Alors ? Vos impressions ?

Si je vous dis que Bruno les attend avec impatience, ça vous étonnera vraiment ? Vous pouvez également lui en faire part directement : Bruno

10 commentaires:

  1. bonjour Bruno
    Encor merci pour ce beau récit de fessée de martinet culottes courte et blouse ou tablier d'écolier comme j'aime
    Malgré mon âge j'en porte toujours ,pour ceux qui veule parler et me voir en blouse et culotte courte j'échange photo et dialogue sur mon mail bcr5955@yahoo.fr

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  2. Amis de la poésie et du pipi claques aux fesses (il y en a...la preuve!) ... Bonjour.

    La qualité de ce blog tient, entre autre, à son esprit d'ouverture, et à la diversité des sujets autour de la fessée, comme à l'expression de la différence...

    Etonnant récit sur un processus de régression, très précisément observé et développé minutieusement. D'autant plus étonnant que, malgré la démarche systématique d'infantilisation de Benoît par le processus de régression entretenu par Tatie la nourrisse, on se demande si le garçon n'a pas des problèmes de prostate!
    Comme on a rarement vu des petits enfants avoir ces défaillances de vessie on se dit que c'est à peu près tout ce qui reste au bachelier de son statut d'adulte... Et ça se passe aux toilettes!
    Ce serait presque pathétique si l'enchaînement rapide des séquences et et les descriptions détaillées des situations ne finissaient pas par rendre le récit parfois drôlatique.
    IL faut peut être penser à une part de vécu dans cette histoire qui décortique comme une mécanique de précision, le quotidien d'un personnage pratiquement adulte, replacé dans l'univers d'un enfant en bas âge et de son rapport aux grandes personnes. Il est alors soumis à l'autorité sans faille de sa tante, qui joue les mamans poule et claques aux fesses !
    L'école y a sa place avec les coups de règles sur les cuisses qui vont avec... à l'ancienne! Pour le moment on se demande comment Benoît a pu avoir son BAC ! Tout comme Martine la voisine qui doit entrer en fac! Mais ce n'est pas le plus important de l'histoire... à suivre, en couche culotte ou Baby gros !
    Cordialement
    Ramina

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  3. Re...
    Et bonjour jojobonno (amusant pseudo), qui brûle d'envie d'en parler...
    Et ce n'est quand même pas un poisson d'avril!
    Ramina.

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    1. Ramina, J'ai une idée sur le speudo
      Serait-ce Jojo de la bande à BONNO ? à ne pas confondre avec la bande à Bruno... Mais ce ne sont que des conjectures de ma part...
      Amitiés.
      Elena.

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  4. Fan de ce texte dans lequel je retrouve beaucoup de mes centres d'intérêt et un peu de vécu je remercie chaleureusement son auteur pour les sensations et émotions qu'il procure :) Guillaume

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  5. Je suis en contact avec Bruno. j'ai vécu cela et je suis né en 1978

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  6. Bonjour Elena qui se moque de moi mériterais une bonne fessée déculottée ,je la vois bien en blouse d'écolière rose bouton dos elle ferais moins la maligne au coin les fesses en feu
    BONNO le JOJO

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    1. Bonjour Jojobonno,
      Ce n'était pas une franche moquerie sur vous. Je ne vous connais pas. Juste un petit trait d'humour, un peu gauche, certes. Mais, je mériterais une fessée au martinet et le piquet à suivre, en effet... J'en mènerais moins large après ;-)
      Amitiés.
      Elena.

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    2. Bonsoir Elena

      Faute avoué à demi pardonnée ,mais tu mérite une bonne fessée déculottée au martinet quand même et le piquet après ,et tu copiera cinquante lignes
      Jojobonno

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  7. Bonjour jojobonno,
    Vous savez vous y prendre avec les jeunes femmes désobéissantes ou indisciplinées. Une bonne fessée est toujours donnée au martinet, culotte retirée, voire nue, ça dépend de la gravité de la faute...
    Amitiés.
    Elena.

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