Ce
dimanche après-midi, l’atmosphère dans le salon était un peu pesante pour Robin
comme pour Edouard. Tous les deux pris
en flagrant délit, l’un de mauvais comportement à l’institut et l’autre de
débauche caractérisée, se trouvaient soumis aux fessées de recadrage que les
deux femmes de la maison estimaient nécessaires au maintien de la discipline
domestique.
Robin
avait pris une légère avance sur son beau-père, Il venait tout juste de se
prendre sa première fessée de l’après-midi par sa mère. Edouard attendait la
sienne qui n’allait pas tarder à claquer.
Gladys
et Patricia, faisaient une pause thé. L’une en profitait pour se détendre la
main, avant de reprendre le cours normal des fessées prévues au programme des
festivités et l‘autre patientait en attendant de s‘y mettre aussi. Charmant tableau dominical qui reflétait un
rituel ordinaire, presque banal, renouvelé tout au long de la semaine pour
monsieur et, chaque week-end pour Robin qui devait affronter les conséquences
fâcheuses de ses performances scolaires.
Ces
séances fessées se déroulaient toujours en famille mais aussi en public,
lorsque Gladys invitaient ses amies, à y assister et souvent même à y
participer. Ces dames étaient, bien évidemment, toutes, ardentes adeptes de la
fessée comme méthode de discipline éducative et pratiquaient avec assiduité.
Elles venaient la plus part du temps accompagnées de leur mari ou leur fils,
parfois les deux, qui apportaient leurs fessiers en renfort, contribuant ainsi
à varier les plaisirs en diversifiant les surfaces à corriger.
Gladys
en maîtresse de cérémonie et Patricia, fervente disciple de sa maman,
officiaient au quotidien dans n’importe quelle pièce de la maison. Là où
s’imposait naturellement l’administration d’une fessée sur le lieu de la faute
commise ou la simple nécessité d‘une fessée d‘entretien en rappel d’autorité.
Les deux tabourets placés au milieu du salon constituaient un lieu fréquemment
occupé qui permettait un choix intéressant de positions selon les exigences de
leur utilisatrice. Le canapé, souvent
fréquenté lui aussi, offrait un espace de confort apprécié pour la conduite des
fessées longue durée. Les séances de fessées se déroulaient sans états d’âme,
justifiées par la nécessité de faire respecter les règles de comportement
convenues avec ces messieurs. Ces accords passés, Ils n'avaient d’autre choix
que de s’y soumettre en allant obligeamment présenter leurs fesses à la demande
et dans les délais imposés par leurs correctrices.
Les
fessées étaient distribuées sans concession et menées systématiquement à leur
terme, quel que soit l’état de cuisson de leurs fesses après plusieurs
déculottées successives. Elles étaient, commentées, justifiées et administrées
après un bilan détaillé des écarts de comportement de la semaine. Robin à Ste
Marie, Edouard au bureau comme à la maison.
Le
nombre de fessées correspondait à la quantité de fautes répertoriées dans la
journée, avec des variantes d’ajustement en fonction de l‘humeur et la forme de
ces dames. La remise en mémoire des notions élémentaires de respect et
d‘obéissance passait ainsi par la cuisson et la couleur de leurs fesses. Ils
séjournaient en général à trois ou quatre reprises sur leurs cuisses pour
autant de fessées par séance en changeant à chaque fois de partenaire pour
varier les effets.
Mis
à part la fessée du matin pour commencer la journée par un rappel à la
discipline, les corrections de recadrage se déroulaient la plupart du temps
avant le dîner. Ces messieurs fraîchement fessés, passaient régulièrement à
table le postérieur en feu, rouge et gonflé de claques. Déculottés, fesses nues
posées sur leur chaise cannelée, ou solidement reculottés le slip
douloureusement tendu sur les fesses.
Autant
dire que ça ne bronchait pas devant les assiettes. La menace d’un supplément de
fessée au dessert, se révélait en général très dissuasive et personne ne
trouvait jamais à redire sur la qualité de la cuisine dont témoignait
d’ailleurs le physique épanoui de ces dames. L’intense activité et l’énergie
qu’elles déployaient à travers la pratique régulière de la fessée compensaient
par la dépense de calories. Elles se faisaient un devoir de rester toujours en bonne forme physique pour
administrer les solides corrections qu’elles distribuaient si généreusement. La
fille comme la mère en avaient, comme on dit,
sous la main et disposaient des capacités de ressources nécessaires pour
claquer longuement sans faiblir, les fessiers agréablement endurant de ces
messieurs.
Robin,
nez au mur près de la bibliothèque, slip aux cuisses, pantalon sur les
chevilles, tortillait en gémissant et à défaut de pouvoir y toucher, une
reluisante paire de fesses que sa mère venait de sévèrement corriger. La
première fessée de l'après-midi d’une série de trois, pour son manque de
travail et son comportement inadmissible à l’institut Ste Marie. C'était son
week-end à Robin !
Edouard,
quant à lui, très cher Edouard, attendait son tour en silence sur son tabouret
à fessée. Le cuisant épisode de la nuit et la fessée dans la cuisine au saut du
lit s’étaient révélés efficaces et l’avaient calmé dès le matin. Ses frasques nocturnes et son retour aviné plus que tardif lui
avaient déjà valu un magistral retour de fessée que Gladys lui avait mise sans
traîner, dès son arrivée vers une heure du matin. Une fessée ça n’attend pas,
il s’était pris celle-là par surprise, les fesses cueillies à la volée, sans
sommation. Tout s‘était passé rapidement mais avec une redoutable efficacité.
Gladys,
n’était pas encore couchée. Elle était dans la cuisine pour finir de remplir le
lave-vaisselle lorsqu’elle avait entendu les roues de la voiture crisser
lentement sur le gravier de l’allée. Cela laissait supposer l’intention
précautionneuse d’amortir le bruit des roues. Elle décida d’aller attendre le
mari dévergondé dans l’entrée et l’entendit jurer en marmonnant au cours de ses
tentatives infructueuses à rentrer sa clé dans la serrure. Les yeux au ciel,
sourire en coin, elle put évaluer sans peine son niveau d’alcoolémie. Il finit par réussir à ouvrir la porte qu’il
poussa pour entrer en titubant. Il eut à peine le temps de s’étonner de trouver
la lumière allumée. Avant de réaliser ce qui lui arrivait il s’était senti
immédiatement tiré d’une main ferme par la cravate et courbé en deux sous le
bras de son épouse en colère. Le dialogue fut bref, mais stimulant pour Gladys,
bien décidée à corriger sévèrement son époux en situation plus que
répréhensible.
« Ah quand même, te voilà ! Tu tombes
bien mon ami, j’attendais tes fesses...
avec impatience ! »
S’était
écrié Gladys en passant immédiatement la main sous son ventre pour défaire la
boucle de sa ceinture.
« Ah… c’est… c’est toi Gla...Gladys… tu n’es pas cou...couch…
qu’est-ce...
–
Non figure toi, je ne suis pas couchée et je viens de te le dire. J’attendais
tes fesses! Ivrogne !
– Mais... mais qu’est-ce… qu’est-ce que...que
tu...tu fais ?
– Qu’est-ce que je fais? Mon pauvre ami, tu es
tellement ivre que tu ne te rends même pas compte que je suis en train de te
déculotter ! Vu l’état dans lequel tu rentres, tu n’imagines tout de même pas
que je vais laisser passer ça. C’est la fessée mon cher! La fessée déculottée,
immédiatement !
–
La… la fessée ? … Mais… Mais pourquoi la … la fess… la fessée ?
–
Et bien mon cher, tu en tiens vraiment une sévère pour oser demander pourquoi
! »
Son
équilibre instable dû à son état ébriété avancé lui avait ôté toute possibilité
de résistance ou même de protestation. Elle n‘eut aucune difficulté à lui
descendre son pantalon et le déculotter pour le mettre en position de recevoir
la fessée amplement méritée qu’elle lui préparait. Elle fit rageusement claquer
l’élastique de son slip sur ses cuisses, sans qu’il réagisse. Il était à moitié
anesthésié par l’alcool. Elle allait devoir taper fort pour lui faire ressentir
l’effet de sa fessée. Ce qui ne changeait pas grand-chose à sa manière
habituelle de le corriger.
La
tête en bas, les fesses relevées à la
bonne hauteur, prêtes à claquer, Edouard plus ou moins conscient, bredouillait,
une main devant sa bouche pour étouffer ses hoquets, l‘autre posée parterre en
appui.
« Pas… Pas trop fort… la … la fess… la
fess… la fessée ! S’il… S’il te pl… plait... ché...chérie ! »
–
Tu vas voir si elle ne va pas être forte la fessée ! Répondit Gladys en serrant les dents. Elle
prit son élan, la main haut levée au-dessus de sa tête et démarra aussitôt à
grandes claques retentissantes.
« Pas trop fort la fessée… Non mais tu
plaisantes ! »
« Aïiiie ! Ouille! Arggg… arrête,
Glad...Gladys tu... Tu fais maaaaal ! »
Gladys,
ulcérée ne répondit même pas et accentua aussitôt la force et la rythme des
claques qui retentissaient de plus en plus fort. Elle n’avait aucun scrupule à
réveiller qui que ce soit. Qui plus est, ça n’aurait pas dérangé Patricia d’être réveillée par le claquement d’une
fessée. Elle serait plutôt descendue pour participer. Et puis une fessée se
doit de claquer fort, quelles que soient les circonstances.
Faute
de temps nécessaire au vu de l‘heure tardive, elle dura un peu moins longtemps
que d‘habitude mais menée au train, avec une exceptionnelle énergie. Une solide
fessée qui retentit pendant un bon quart d’heure dans l’entrée, exactement
comme celles de Robin quelques heures plus tôt. C’était décidément l’espace
fessée de prédilection du jour, et même de la nuit. La belle résonance du
carrelage n’y était pas pour rien et de toute manière Gladys avait décidé de le
fesser sur place, en flagrant délit, dès le pied posé dans la maison.
« Alors
! C’est – à – cette– heure – ci – qu’on
– se – dé– cide – à – ren – trer, le sermonna- t-elle tout en fessant,
ponctuant chaque syllabe de rageurs allers et retours d’une fesse à
l‘autre !
Emportée
par la colère et l’exaspération, elle tapait très fort et lui monta les fesses
au rouge en un temps record !
« Et non seulement monsieur passe la nuit
au pub, mais en plus, il se permet de conduire en état d’ivresse pour rentrer !
Rien que pour ça, les fesses vont te cuire mon cher ! Et elles n’ont pas fini
de claquer !...Je te garantis que tu vas t’en souvenir ! »
Elle
était presque obligée de crier pour se faire entendre à cause du niveau sonore
élevé des claques qu’elle lui allongeait à toutes volées sur le derrière.
Il
se débattit faiblement un moment, trépignant sur place, s’étranglant dans ses
hoquets et finit par perdre son équilibre pour s’écrouler à genoux les fesses
en l’air. Pour son plus grand malheur encore mieux exposées à la main claqueuse
de sa terrible épouse. Non seulement
elle ne mit pas fin pour autant à sa correction, mais elle accompagna sa chute
en continuant à lui pilonner le sommet des fesses. Un genou au creux des reins,
elle lui fit cambrer le derrière pour l’obliger à le maintenir ferme, tendu,
bien claquant. Elle savoura ce moment de
fessée à pleine main. Le malheureux complètement sonné, déjà bien étourdi par
ses excès de boisson, empêtré dans son slip et son pantalon baissés, perdit
définitivement son équilibre lorsqu’elle le lâcha. Il finit par s’écrouler et finit à plat ventre sur le carrelage.
« Ah
tu ne t’attendais pas à te faire reluire les fesses comme ça dès en arrivant,
n’est-ce pas mon chéri ! Et ce n‘est rien à côté de la manière dont je
vais te les astiquer demain ! »
Dit
Gladys, la mine réjouie. Elle souffla sur sa paume brûlante, satisfaite de sa
fessée. Elle avait tapé très fort, avec toute la sévérité nécessaire pour bien
lui faire comprendre qu’il allait devoir maintenant payer cher son attitude
intolérable.
A
quatre pattes sur le sol, pantalon aux chevilles, le slip sur les cuisses,
Edouard avait eu du mal à se relever, bien que cette fessée l’eût un peu
dégrisé.
« Tu as entendu ce que je t’ai dit
Edouard, insista Gladys d’un ton menaçant. Ça ce n’est qu’un petit échantillon
de ce qui t’attend. Les fessées ça continue demain. »
« Ah non chérie… non... Ça suffit,
je...je t’en prie ! Tu viens de me
corriger… J’ai... j’ai fait une erreur… Je ne recommencerai pas. »
– Mais oui, bien sûr. C’est trop facile mon
cher. Ne crois pas que tu vas t’en tirer à si bon compte ! Un tel
comportement nécessite une correction exemplaire. Nous n‘avons pas fini de
régler ça! Ce qu’il te faut, c’est une bonne séance de fessées déculottées pour
te remettre les idées en place ! »
Elle
l’avait enjambé avec désinvolture, le laissant allongé par terre,
larmoyant, déculotté, les fesses en feu
et dans un claquement de talons aiguille s‘était dirigée vers l‘escalier.
« Prépare plutôt tes fesses pour demain,
avait-elle ajouté sans se retourner, d‘un ton joyeux, comme si elle annonçait
une bonne nouvelle. Tu vas accompagner Robin. Il a encore trois fessées à
prendre. Vous faites la paire tous les deux, ça va chauffer, c’est moi qui te
le dis. Maintenant tu ferais mieux de monter te coucher, au lieu de pleurnicher
dans l’entrée. Il est tard ! Tu devras être en forme. »
Effectivement,
le lendemain matin avait commencé comme s‘était terminée sa lamentable virée
nocturne. Par une magistrale fessée, cette fois dans la cuisine. Il était
descendu, mal réveillé pour prendre son
petit déjeuner avec un mal de tête tenace et les fesses encore sensibles de sa
raclée de la veille. Il existait bien
des cachets pour calmer les maux de tête mais rien de semblable pour atténuer
un retour de fessée douloureux.
Gladys
et Patricia déjà levées dégustaient des toasts grillés avec leur café.
« Ah
voilà notre fêtard du Samedi soir ! S’était exclamé Gladys d’un ton plein d’une
joyeuse ironie. Qu’est-ce qu’il t’arrive mon chéri, tu n’as pas l’air en forme
?
–
Il a la gueule de bois oui ! Balança Patricia en tartinant son toast. Pas
étonnant avec ce qu’il a picolé cette nuit !
–
Patricia, parle correctement s’il te plaît ! Tu veux dire : avec ce qu’il a bu.
–
C’est ça maman, ce qu‘il a bu. Si tu préfères.
–
Oui, je préfère ! Attention à tes fesses toi aussi, je te l‘ai déjà dit, pour
tes écarts de langage. En attendant, je sais ce qu’il faut pour l‘aider à
récupérer.
–
Oui… moi aussi ! Confirma Patricia avec un sourire entendu.
– C’est radical tu vas voir ! »
Gladys se leva et écarta la chaise de la table pour se faire de
la place. Elle avait toujours besoin d’espace pour fesser à l’aise avec la
prise d’élan nécessaire pour pouvoir taper fort. Tortillant des hanches, elle
retroussa sa jupe sur ses hanches, toutes jarretelles dehors, pour pouvoir
lever haut la jambe et claquer son talon aiguille sur le siège. L’ordre,
péremptoire, claqua comme une main sur un derrière déculotté.
« Edouard, tes fesses ! »
Edouard
émit un couinement craintif.
« Oh chérie… je t’en prie pas tout de
suite… J’ai… »
Elle
le coupa sèchement indifférente à ce qu’il allait dire.
–
J’ai dit... tes fesses ! Edouard ! Tes fesses, au déculottage,
Immédiatement ! Je ne te le répèterai pas une autre fois, insista la maîtresse
femme en indiquant d’un doigt autoritaire la position à prendre sur sa cuisse
montée à l‘horizontale. »
Une
des positions fesses en l’air qu‘elle commençait à utiliser de plus en plus
fréquemment depuis un certain temps. Certainement aussi pour la fessée à venir
de Robin.
Pendant
que sa mère déculottait son beau-père, Patricia, fidèle à son habitude, y était
allé de son couplet d’ironie grinçante.
« Aller
Edouard, on obéit. On tend gentiment son gros derrière à son épouse pour
prendre sa fessée du matin ! »
La
journée d’Edouard avait donc commencé dans la cuisine, par une retentissante
fessée déculottée en complément de celle de la nuit et censée l’aider à
dessaouler. Un quart d’heure plus tard c’est une resplendissante paire de
fesses entièrement rouges qui redescendit, en feu, de la cuisse de la sévère
épouse, ravie de l‘efficacité de sa correction.
« Voilà
ce que j’appelle une belle fessée, bien cuisante comme je les aime ! C‘est bien
agréable d‘entendre claquer tes fesses comme ça dès le matin, s’était-elle
félicitée en rabattant sa jupe sur ses cuisses devant le malheureux, en larmes,
qui sautait sur place en se tenant les fesses à pleine main ! »
«
Oh tu peux sauter et danser autant que tu veux mon chéri. Encore une fessée que
tu as bien cherchée non? Et ça cuit bien, hein ?
« Pour
ça oui ! dit Patricia hilare. Il a l’air tellement content qu’il en saute de
joie !
– Comme
je le dis souvent, un peu d’exercice au saut du lit, ça ne peut pas faire de
mal ! Rien de plus stimulant que de commencer une journée les fesses bien
rouges et cuisantes après une bonne fessée déculottée. Il est bien placé pour
le savoir mon chéri ! »
Elle
ponctua sa phrase en l’expédiant directement au coin d’une formidable claque
bien ajustée en plein milieu des fesses. Marquées des cinq doigts en rouge plus
foncé, elles tressautaient encore quand il arriva face au mur. Il s’y cala en
sanglotant. Gladys revint tranquillement s'asseoir à table en se massant le
poignet,
« Un café par là-dessus et voilà une
journée qui s’annonce bien ! Il faut que j’appelle Robin, Il traîne encore au
lit celui-là ! »
Robin
était descendu presque aussitôt et, à son tour, avait inauguré la matinée par
une fessée administrée, encore, par sa mère pour avoir négligé de débarrasser
sa place après son petit déjeuner. Il attendait en pénitence à côté de son beau-père, comme lui, le nez au
mur, les fesses déculottées bien en évidence, exposées au regard goguenard des
deux femmes.
Calmes
et détendues, elles avaient fini tranquillement leur petit déjeuner en
discutant du programme de l’après-midi, devant les deux rutilantes paires de
fesses.
Gladys
estimait que les fessées qu’ils avaient déjà reçues ne suffisaient pas pour
sanctionner leur attitude irresponsable. Elle avait décidé qu'il était
nécessaire de poursuivre les corrections à la hauteur de la gravité des fautes
accumulées. Une nouvelle série de fessées s’imposait naturellement. Heureuse
occasion d’en faire profiter Patricia, qui attendait avec impatience
l’opportunité de mettre enfin une sévère déculottée à son beau-père. La journée se présentait sous les meilleurs
auspices en offrant à ces dames deux belles paires de fesses à leur entière
disposition, pour satisfaire leur légitime exigence de discipline domestique.
Ce
Dimanche après-midi, donc, après consultation du carnet de correspondance et
bulletin de notes de Robin, Gladys avait
ouvert les festivités par une première
fessée déculottée à la main pour le punir de son manque de travail à l’école.
En pénitence, dans un angle du salon, le slip en travers des cuisses il
attendait docilement la suite des opérations pendant que ces dames faisaient
une pause.
Ces
séjours prolongés, au coin après une correction, constituaient toujours des
moments forts d’humiliation mais en même temps un retour au calme bienvenu avec
une baisse de cuisson progressive après l’épreuve douloureuse des fessées. Les
maîtresses femmes ne manquaient pas d’en tirer bénéfice en récupérant des
paires de fesses plus détendues et en regain de réceptivité pour les fessées
suivantes.
Patricia
revint de la cuisine, portant à deux mains le plateau du service à thé qu’elle
posa avec précaution sur la table basse devant le canapé.
« Merci ma chérie, je te sers, dit Gladys
en emplissant les deux tasses ? »
Un
demi-sucre, une larme de lait. Elle sirota une gorgée et s’adossa au dossier du
canapé en caressant du regard le derrière enluminé de son fils.
« Dis-moi
chérie, je ne sais pas si c'est l'effet des fessées mais je trouve que Robin a
encore pris des fesses. Il en a une de ces paires ! Elles sont vraiment
superbes. Presque aussi rebondies que des fesses de femme. Au train ou ça va,
elles ne pourront bientôt plus rentrer dans ses slips! Il n‘y aura même
plus besoin de le déculotter pour le fesser ! »
Patricia
fait une moue dubitative
« Ça
serait tout de même dommage. C’est tellement agréable de déculotter une paire
de fesses !
–
En tous cas, je maintiens que ses fesses ont pris du volume, persista
Gladys. »
Elle
rit, amusée de sa propre remarque. Patricia approuva.
« Mais tu as certainement raison maman,
c’est grâce aux fessées qu’on lui administre régulièrement.
–
Mais bien sûr, les fessées régulièrement appliquées ça vous sculpte un derrière
!
–
Je me suis dit ça aussi quand je l’ai corrigé hier soir. J’avais l’impression
d’en avoir un peu plus dans la main que d‘habitude.
–
J‘ai eu la même sensation figure toi. Et c'est très bien ! C'est
nécessaire d'en avoir plein la main pour réussir une bonne fessée.
–
Excitant même, ajoute Patricia en croisant haut les jambes, faisant crisser le
nylon entre ses cuisses. Ça claque beaucoup mieux et plus longtemps. Je ne me
vois pas fesser un petit derrière sans envergure. »
Gladys
reprends une gorgée du bout des lèvres. Le thé est très chaud. Elle fait une
petite moue
« C’est vrai, il faut reconnaître qu’on
est plutôt portées sur les gros volumes. Et de ce côté-là, on n’a pas à se
plaindre. Nous avons tout ce qu’il faut à la maison.
–
Oui, il y a de la surface à rougir, gloussa malicieusement Patricia !
Les
deux femmes éclatèrent de rires. Gladys manqua d’avaler de travers. Elle se
racla un peu la gorge avant de répondre.
« Et comme ces messieurs paresseux et mal
élevés sont d’incorrigibles multirécidivistes ce ne sont pas les occasions qui
manquent ! D‘ailleurs les corrections ne sont pas terminées. Il nous reste
quelques fessées à distribuer d‘ici la fin de la journée. Ils en ont besoin
l’un comme l’autre.
– Pour ça oui, ça ne peut leur faire que du
bien ! »
Patricia
qui venait de jeter un œil sur son frère en train de se relâcher au coin,
interrompt la conversation.
« Robin, ta chemise, lui lança-t-elle
avec autorité. Tu l’as laissée retomber. Relève-la immédiatement et baisse
encore ton slip, pour qu’on voie bien tes fesses et tes cuisses rouges !
–
Et tu ne te retournes pas s‘il te plaît. Ajoute Gladys. Tu es toujours en
pénitence. »
Robin
murmure quelque chose d’incompréhensible. Patricia réagit immédiatement la main
levée, menaçante.
« Attention Robin, continue à protester
et je te remets aussitôt une fessée ! En plus de celles qui t’attendent »
Il
s’exécute, redescend son slip à la pliure des genoux et retrousse sa chemise en
la maintenant relevée sur ses reins pour bien dégager toute la surface de ses
fesses. Il se remet au garde à vous le long du mur.
Edouard, ne bronche pas. Il se fait tout petit
en essayant de se faire oublier sur son tabouret à fessée. Aucune illusion sur
son sort, après ses frasques de la nuit. Il sait qu‘il va passer une cuisante
fin d‘après-midi. Malgré ses efforts discrets à maîtriser ses réactions, il ne
peut empêcher ses fesses de frissonner nerveusement dans son slip et la
transpiration suinter entre les deux, dégoulinant le long de la raie.
Les
deux femmes sont décidées à leur faire monter la pression en prolongeant
l’attente de leur correction. Elles reprennent tranquillement leurs
commentaires, à voix haute, bien perceptible, accompagnée du bruit clair des
petites cuillères sur les sous-tasses en porcelaine. Elles papotent sans se
préoccuper d‘eux, parlent le plus naturellement du monde, de discipline,
fesses, fessées, déculottage et instruments de correction, comme s’il s’agissait de sujets de
conversation ordinaires.
Robin
entend encore évoquer son indiscipline, sa paresse, son insolence et ce qui
attend encore ses fesses. Edouard ses égarements nocturnes, sa conduite
inqualifiable et la sévérité des fessées qu‘il va recevoir en conséquence.
Elles en discutent de la répartition, de la durée et conviennent du postérieur
sur lequel chacune va commencer. Edouard a compris qu’il allait reprendre sur
les genoux de sa femme et Robin, tout de suite après, de retour sur ceux de sa
sœur. La suite reste une surprise. Pas certain qu’ils apprécient.
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerExcellent récit. Illustrations adéquates. L'ambiance baigne dans une sorte de clair-obscur. Ce qui entretien l'action musclée de ces dames.
Je n'avais pas remarqué mais Gladys porte une sorte de voilette, me semble t-il ?
Alors je rectifie donc: Dame Gladys Elisabeth Louise de la Chambrière. Voilà qui en jette...
On attend la suite qui promet une surprise...
Que va t-il arriver ? Voyons voir... une visite impromptue ?
Une vieille connaissance de passage à Synthol-sur-Mer ?
Hum, on suppute... Les paris sont ouverts.
Bonne journée. Peter.
Bonjour Peter pan,
RépondreSupprimerAh quel oeil ! Oui Gladys porte la voilette! On fesse fort mais avec élégance cher ami ! La claque aux fesses distinguée, le gant ajouré sur la paume pour les sensations, et dans la distinction.
La discipline est stricte, les fessées sont sévères mais c'est le prix d'une bonne éducation.
Bon, Gladys Elisabeth Louise de la Chambrière... Quel programme !
Et quelle imagination. Ah ces récits à tiroirs... Que va t-il arriver ? Vous le saurez en lisant le prochain épisode de " Ces Dames... Mais la visite c'est pour plus tard, il faut avant terminer ce merveilleux Week End en famille.
Cordialement.
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimer"Le prix d'une bonne éducation...": tout un programme.
Dame Gladys applique avec zèle les préceptes d'une éducation reçue certainement dans les meilleurs pensionnats d'Outre-Manche ou chez nos voisins helvétiques. Elle fesse avec panache et élégance, c'est juste. Gageons que Tapefort est le patronyme prédestiné que porte son incorrigible époux. Et la suite semble elle tout aussi prometteuse... Rires.
Bonne journée. Peter'.
Yes my dear!
RépondreSupprimerEn réalité et en femme accomplie de forte personnalité, Gladys née "Klakerspank " avait gardé son nom : d'origine plutôt Suisse allemande. Ach, die disciplinerei!!!
Ce nom, estimé marqué d'une résonance trop anglo-saxonne par la famille émigrée en France au milieu du 19è siècle, fut adoucit en "Klaquedur". Puis définitivement francisé au début du 20è en "Tapefort "
Aujourd'hui, Gladys et sa fille Patricia Tapefort perpétuent la tradition familiale d'une stricte discipline domestique, imposée sans faiblesse par la pratique systématique de la fessée déculottée.
C'est ainsi que, pour le plus grand bonheur des Dames, Robin le fils et Edouard " Faissaclaque " ( nom prédestiné) le deuxième mari, se font régulièrement rougir les fesses à chaque manquement aux règles de fonctionnement de la maison.
Ouahhh ! On s'amuse! Crises de rires!
Good Spanking!
Ramina
Guten Tag, mein Freund,
RépondreSupprimerAch ! Die strenge Mutter !
Voilà qui met du piment dans le récit. On comprend aisément l'attachement aux valeurs d'obéissance, de ponctualité , de travail et de respect dont fait preuve Gladys en bonne mère de famille et épouse dévouée. Et par extension sa fille Patricia Isabelle Mélanie, en digne fille de sa mère.
"Ah, ces hommes, ma chérie, quel que soit leur âge, il faut toujours les fesser pour obtenir un minimum de maintien ! Ton frère et ton cher beau-papa nous épuisent ! Sers-moi donc un scotch, Pat'chérie." Etc, etc... Rires.
Je lui conseillerais de les envoyer chez Mam'e Bellebourge et ses très chères sœurs. Ca pourrait chauffeeeeeeeer... pour leur matricule !
Bon WE. Peter'