mercredi 30 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 27 juillet 2025 – 12 h 55

Évidemment, avec ma tête de linotte et mon habitude de ne pas faire attention, les choses n’en sont pas restées là. C’est bien mon problème, je ne fais que très peu attention à respecter les règles que ma compagne a édictées. C’est bien pour cela qu’elle dit que je ne me comporte pas comme un adulte responsable et qu’elle est obligée de fermement corriger mes étourderies.

S’il n’y avait que mes étourderies ! Mais il y a aussi mes désobéissances, mes mauvaises habitudes que ma compagne a décidé d’éradiquer, mes impolitesses et mes insolences et j’en oublie… autant de situations que ma compagne sanctionne d’une bonne fessée déculottée. Je sais qu’elle a raison de le faire. Toutes les fessées sont difficiles à supporter. Elles font mal aux fesses, mais c’est fait pour. Les plus déroutantes, c’est quand je ne m’y attends pas. Être déculotté et fessé quand on ne l’a pas vu venir, c’est, il me semble, le plus difficile pour moi.

lundi 28 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 26 juillet 2025 – 11 h 45

À la maison, ma compagne a établi des règles que je dois suivre. Quand on y réfléchit bien, ce sont des usages simples, de bon sens, que toute personne vivant dans la maison n'aurait pas de mal à respecter, pour peu qu’elle soit un adulte raisonnable et qu’elle y fasse un peu attention.

Le problème, avec moi, c’est que je m’affranchis souvent des prescriptions qui s’appliquent aux adultes et que j’oublie parfois que je suis un adulte qui doit suivre les principes qui s’appliquent à toutes les grandes personnes. Ma compagne le sait. C’est pourquoi elle a décidé de me déculotter et de me donner la fessée à chaque fois que je ne les suivrai pas scrupuleusement, quel que soit le motif de ma désobéissance. Bien évidemment, avoir oublié ces règles n’est pas un motif valable pour m’épargner une bonne fessée.


Cela avait commencé le samedi. Je revenais de faire les courses et j’avais pas mal de sacs pleins dans ma voiture. J’entrepris de les décharger et de les déposer dans la maison. Avec ma compagne, nous tombâmes dans les bras l’un de l’autre. Nous aimons bien nous faire des bisous dans le cou quand nous nous retrouvons à chaque fois que nous avons été séparés, même si cela n’a pas été très long.

J’avais déposé tous les sacs dans la cuisine et ma compagne et moi commencions à ranger tous ces achats. Puis, comme c’était l’heure, nous nous mîmes à préparer le repas. Ma compagne s’arrêta au bout de quelques secondes.

« Qu’est-ce que c’est que ça ? »

Elle désignait mes pieds. J’y avais toujours les chaussures que j’avais mises pour aller à l’extérieur.

« Alors que je viens de laver par terre ? »

Cela faisait partie des règles simples qu’elle avait instituées : les chaussures, c’était pour aller dehors, quand nous étions à l’intérieur il fallait mettre des chaussons. C’était devenu une coutume facile à respecter. Nous changions de souliers avant de rentrer dans la maison. D’habitude, je ne l’oubliais jamais, mais là, cela m’avait échappé.

« Je vais les changer ! »

Ma compagne tenta de m’intercepter en m’attrapant par la main, mais je fus plus rapide. Je ne sais pas ce que j’espérais. Il était certain que j’allais mettre mes chaussons pour circuler dans la maison. Cela ne faisait aucun doute pour personne. Mais il était aussi certain qu’une fessée allait me rappeler qu’il était interdit de déroger aux mesures qu’elle avait ordonnées. Me faufiler hors de la pièce pour prendre en compte ce que je devais respecter ne m’épargnerait pas la correction que je savais avoir méritée.

Je me dépêchais de changer de chaussures, mais ma compagne m’avait suivi. Elle attendit que j’eus enfilé mes charentaises, avant de me faire pivoter et de me planter devant elle. Sans dire un mot de plus, elle comme moi savions pourquoi elle devait me punir, elle tira sur le cordon qui retenait mon short. Puis elle me courba sous son bras.

« Mais, Maman, ce n’est pas ma faute, je ne l’ai pas fait exprès ! J’ai oublié ! »

Comme si cette piètre excuse était de nature à me faire pardonner mon oubli ! Au contraire !

« Eh bien, moi, je vais t’aider à te rappeler de changer de chaussures quand tu rentres dans la maison ! Je pense qu’une bonne fessée s’impose ! »

Joignant le geste à la parole, elle baissa mon short qui, une fois descendu sur mes cuisses, tomba de lui-même sur mes pieds.

« Non, Maman, pas la culotte ! »

Elle ne tint, évidemment, pas compte de ma supplication. En général, quand elle me donnait la fessée, elle baissait ma culotte. Elle tenait à ce que je prenne conscience, en me déculottant, que comme je n’avais pas été capable de me comporter comme un adulte responsable, j’avais perdu tous les privilèges qui sont habituellement ceux d’une grande personne. Il était de sa responsabilité de me punir sans tenir compte de mon âge et pour cela une fessée déculottée était ce qu’il y avait de plus efficace.

Elle saisit l’élastique de ma culotte et elle la descendit jusqu’à mes genoux. J’étais prêt pour la punition que j’avais méritée, je ne pouvais pas en disconvenir. Sa main tomba sur mes fesses. Dès les premières claques, je ne pus qu’exprimer bruyamment ma douleur. Heureusement, cela se passait dans la maison et bien que la porte fût ouverte, personne ne pouvait entendre mes cris de douleur.

« Une bonne fessée déculottée, et je suis sûre que la prochaine fois tu t’en souviendras ! »

Elle ne marqua même pas une petite pause pour me faire cette remarque. Elle poursuivit la correction malgré mes cris. Ce ne fut pas une grosse fessée. La culotte baissée lui laissait libre accès à mes fesses nues et sa main y imprimait sa marque suffisamment fortement pour que je pense, une prochaine fois, à ne pas pénétrer dans la maison avec les chaussures que j’avais mises pour aller dehors. Quand elle estima que j’avais appris ma leçon, elle mit fin à la fessée et elle me relâcha.

Je me redressais devant elle, attendant qu’elle prenne l’initiative de la suite. Je n’étais jamais certain qu’une fessée était terminée avant qu’elle me reculotte. Je n’étais pas à l’abri qu’elle décide que cette fessée n’avait pas été suffisante pour me corriger et qu’elle doive en donner une deuxième plus sévère. Heureusement, ce ne fut pas le cas.

Je dois reconnaître à ma compagne un grand discernement en matière de punition. Elle sait ajuster une fessée à la faute qui l’a justifiée. Là, il s’agissait simplement de me rappeler une règle que j’observais ordinairement. Il n’aurait pas fallu que j’échappe à la punition, cela aurait été un encouragement à recommencer. Mais une grosse fessée n’était pas utile. Il n’y avait ni intention de désobéir de ma part, ni récidive. Une sérieuse, mais pas trop longue fessée déculottée suffisait. Je l’avais reçue, il était donc possible de passer à autre chose.

Elle remonta ma culotte, puis mon short et elle renoua le cordon autour de ma taille.

« J’espère que tu as appris ta leçon !

– Oui, Maman, je ne recommencerai plus !

– À la bonne heure ! Si tu oublies encore de changer de chaussures, la fessée sera plus sévère ! Est-ce bien compris ?

– Oui, Maman !

– Bien, allons finir de préparer le repas de ce midi ! »

Je la suivis. Elle me regarda pour jauger de l’effet de la fessée. Je gardais une expression neutre, mais il était certain que je n’avais aucune envie de tester sa résolution. Je savais que ma compagne n’hésiterait pas à mettre sa menace à exécution. Elle avait, fort justement, sévi suite à une étourderie de ma part. Les fesses encore cuisantes de la récente fessée, je ne pouvais que reconnaître le bien-fondé de sa façon de faire.




 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

jeudi 10 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 6 juillet 2025 – 13 h 15

 Il ne faudrait pas croire que parce que Georges n’est plus là que je n’ai plus aucune fessée. Si ma compagne l’avait contacté, c’était pour qu’il apporte sa touche de punition à mon égard et non pour la remplacer. Son absence n’a pas empêché ma compagne de me punir.

Il ne faudrait pas, non plus, penser que je ne reçois la fessée que parce que je me promène les fesses nues et parce que je mange la bouche ouverte. Certes, c’est surtout pour l’un de ces deux motifs que j’ai été corrigé ces derniers temps, mais ma compagne n’oublie pas qu’il y a beaucoup d’autres choses qu’elle exige de ma part et quand je la déçois, la fessée n’est jamais loin.

mardi 8 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 5 juillet 2025 – 17 h 10

« Ta mauvaise foi est vraiment insondable ! Quand tu me réponds insolemment comme tu viens de le faire alors que tu sais parfaitement que j’ai raison, j’ai l’impression d’avoir affaire à un petit garçon que je devrai punir. »

Au début de notre relation avec ma compagne, j’avais convenu avec elle qu’elle devait prendre en main mon éducation et s’efforcer d’éradiquer tous les petits défauts qui, l’âge aidant, faisaient maintenant partie de mon comportement. Nous avions échangé sur la difficulté qu’il y avait à modifier ses habitudes quand il s’agissait d’adultes. Ma compagne m’avait expliqué que, pour changer, je devais trouver bien plus d’inconvénients à continuer qu’à modifier mon comportement. J’ai acquiescé.

Elle a bien voulu me prendre en charge à condition de disposer de toutes les prérogatives d’une maman et en particulier du droit de me punir quand elle le jugeait nécessaire. Elle était partisane des méthodes traditionnelles qui avaient fait la preuve de leur efficacité.

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 5 juillet 2025 – 16 h 55

J’avais bien sûr déjà reçu la fessée en présence d’autres personnes. A chaque fois, je savais qui elles étaient et pourquoi elles étaient là. Cette fois-ci c’était différent. Ma compagne ne m’avait pas mis au courant au préalable et j’ai découvert que le monsieur que je ne connaissais pas venait pour me donner la fessée quasiment au moment où je me suis trouvé placé sous son auorité. Ma compagne avait sans doute tout négocié sans moi.

J’avais déjà reçu la fessée par un homme, une personne en fait. Mais il venait, lui aussi, pour y revcevoir une fessée de la part de ma compagne. Cela donnait une situation trop compliquée pour être durable. D’ailleurs, elle n’a pas duré. La surprise de sa présence, la fessée déculottée reçue alors qu’il était là et que je ne m’y attendais pas et celles qu’il m’a donné par la suite, tout cela ne m’a pas laissé le temps d’absorber cette nouvelle donne.

lundi 7 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 5 juillet 2025 – 16 h 45

Je me passerais volontiers de tenir ce blog. Je trouve vexant et très désagréable de devoir tenir au courant tous les lecteurs du blog, environ un millier chaque jour, des fessées que je reçois. Que je sois déculotté et fessé dans l’intimité familiale, c’est déjà difficile à admettre à mon âge, mais avec ma compagne, je n’ai pas le choix. Qu’en plus je doive en faire part, sans savoir qui sont les personnes qui le lisent, c’est vraiment extrêmement désagréable. Depuis avril 2023, je dois pourtant le faire, c’est une obligation que m’impose ma compagne pour utilement prolonger la punition.

Je me serais encore plus aisément passé de raconter les fessées que j’ai reçues ce samedi. C’est la première vraie fessée déculottée en public que je reçois et la suite est encore pire. Je savais que ma compagne avait cette hypothèse dans la tête, mais je pensais qu’elle n’arriverait jamais à la concrétiser. J’ai dû déchanter et reconnaître que tout adulte responsable peut me punir au vu de mon comportement. Il n’y a pas que ma compagne qui trouve certaines de mes habitudes détestables et infantiles. Je ne pensais pas que d’autres personnes envisageraient la fessée comme une solution adaptée à mon attitude. C’est pourtant ce qui s’est passé.

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 5 juillet 2025 – 16 h 35

Il y avait une atmosphère étrange que je n’arrivais pas à définir. Ma compagne semblait attendre quelqu’un ou quelque chose, ce qui ne manquait pas de m’inquiéter. Elle insista sur ma tenue, exigeant que je porte un short alors qu’il n’était pas question que nous sortions. C’était inhabituel. J’aime bien les nouveautés, seulement quand je sais de quoi il s’agit.

Elle commença à s’impatienter vers 16 h 00. Il devenait de plus en plus évident qu’une personne allait venir. Je me posais plein de questions : qui était-ce ? Pourquoi ne m’en avait-elle pas parlé ? J’étais perplexe. Ma compagne n’avait pas l’habitude de faire autant de mystères.

dimanche 6 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 3 juillet 2025 – 9 h 15

J’aime bien quand nous prenons nos repas ensemble, avec ma compagne. Ce n’est pas tout le temps. Souvent, elle travaille et elle n’est pas là pour manger avec moi. C’est l’une des choses auxquelles on s’habitue vite : ne plus déjeuner seul. Je fais la cuisine pour elle, elle fait la cuisine pour moi.

Bien sûr, cela n’a pas que des avantages. Je dis souvent à ma compagne qu’il n’existe pas de situation qui n’ait que des avantages ou que des inconvénients. Parfois les uns prennent le pas sur les autres, mais les autres sont toujours présents. Pour moi, dans ces situations, l’inconvénient, c’est que ma compagne surveille comment je me comporte pendant le repas. Et il n’est pas rare qu’elle doive me déculotter et me fesser en plein repas, quand je mange la bouche ouverte, par exemple.

Journal d’un grand garçon fessé – mercredi 2 juillet 2025 – 12 h 25

Je savais que ma compagne allait bientôt être de retour, mais c’était plus fort que moi. J’étais persuadé que je pouvais l’entendre quand elle arriverait et que j’avais le temps de me rhabiller correctement avant qu’elle ne puisse constater que j’avais recommencé à rester sans culotte dans la maison.

Compte tenu de la chaleur, c’était bien plus confortable d’être habillé aussi légèrement et puis je voulais me prouver que j’avais encore une marge de décision malgré ce que ma compagne avait décrété. Ce n’était pas que je considérais sa disposition comme déraisonnable. Considérer que, à mon âge, je ne devais pas me conduire comme un petit garçon, est tout à fait pertinent. Non, mais il fallait que je me prouve à moi-même que je pouvais prendre des initiatives que j’avais décidé seul.

samedi 5 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 1ᵉʳ juillet 2025 – 9 h 25

Je crois que cette fois, ça y est. Ma compagne a décidé réellement d’éradiquer, chez moi, l’habitude de manger la bouche ouverte. Elle m'en avait longuement parlé, elle m’avait menacé, mais elle n’était que peu passée à l’acte ou alors de façon si discontinue que je pouvais difficilement renoncer à cette manie.

Il y a encore peu de temps, je faisais exprès de manger la bouche ouverte. Ma compagne, parfois et pas toujours, m’en faisait la remarque et cela s’arrêtait là. Après avoir abordé le sujet avec elle, j’ai convenu que c’était très désagréable pour les personnes qui mangeaient en face de moi et que je devais absolument changer ma façon de faire sur ce point. Elle a résolu qu’elle serait maintenant intraitable. Cela a pris quelques temps, mais je pense qu’elle met maintenant ses actes en accord avec ses dires. Ce sont mes fesses qui en font les frais.

vendredi 4 juillet 2025

Un témoignage d'Arno

Comme j'ai déjà eu l'occasion de vous l'écrire à de nombreuses reprises, je partage sincèrement votre conception et votre approche de l'éducation d'un adulte ayant besoin d'un bon recadrage.
Et j'ai terriblement besoin de cette éducation ferme, sévère et juste.
J'ai récemment rencontré celui que j'appelle Tonton, je ne vais pas m'appesantir sur le comment, c'est sans intérêt.
En-tout-cas Tonton a accepté de me recevoir pour parfaire mon comportement et mon éducation.

Voici donc mon témoignage :

jeudi 3 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 1ᵉʳ juillet 2025 – 9 h 10

Je suis admiratif de la patience et de la persévérance de ma compagne. Je crois qu’en acceptant la responsabilité de rectifier dans mon comportement ce qui n’avait pas été acquis de façon satisfaisante durant les soixante premières années de ma vie, elle a endossé un rôle difficile. J’ai contracté, durant toute ma vie, des habitudes dont j’ai énormément de mal à me défaire. Je sais que quand ma compagne exige que je modifie mes manières d’être et de faire, c’est qu’elle veut que je m’améliore. Elle ne perd pas sa constance, même si de temps en temps elle laisse passer des attitudes problématiques.

Ce que j’admire le plus, c’est comment elle n’hésite pas à remettre sur le métier quelque chose sur laquelle elle est pourtant intervenue très souvent. Elle recommence, sans cesse, oserais-je dire, aussi souvent que je retombe dans les mêmes travers. Ce qui s’est passé ce mardi matin en est un bon exemple et je pense qu’elle devra y revenir encore plusieurs fois.

mercredi 2 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 30 juin 2025 – 18 h 10

Ce lundi 30 juin restera-t-il dans les mémoires ? Il est à craindre qu’il soit bientôt dépassé par une autre journée bien plus chaude. Nous sommes en Bretagne, heureusement, il y a toujours un peu d’air, mais tout de même, 37 ° au plus chaud et une température qui s’est maintenue au-dessus des 30° jusqu’à 22 h, cela reste exceptionnel en Bretagne. Pourvu que ça le reste.

Cela a posé un problème à ma compagne. Bien qu’elle ait identifié plusieurs situations où me donner une fessée était une évidence, elle ne s’en sentait pas la force. Rien qu’à la pensée de devoir me coucher sous ses genoux ou de me coller contre son flanc, son énergie diminuait. L’augmentation de chaleur qu’impliquait cette promiscuité ne lui semblait pas envisageable. Moi, ça m'allait très bien.

mardi 1 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 25 juin 2025 – 18 h 20

Ma compagne est très stricte quant à l’habillement que je porte. Elle n’est pas d’accord pour que je m’habille trop léger même quand il fait chaud. Elle dit que je dois porter des vêtements décents qui vont à un adulte responsable. Si ce n’est pas le cas, c’est que je ne suis pas capable d’en assumer les contraintes. La fessée n’est alors jamais loin.

Elle tient à ce que j’aie toujours une culotte, pour cacher mes parties génitales. Je suis assez d’accord avec elle, mais seulement si je risque d’être vu par une personne qui ne tient compte que de mon âge. Quand ce n’est pas le cas, j’ai toujours tendance à m’habiller le plus léger possible. La culotte n’est alors pas indispensable. Ce n’est pas l’avis de ma compagne et elle n’accepte pas de discussion sur ce point.

lundi 30 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 25 juin 2025 – 10 h 35

Ma compagne s’est aperçue que, pendant qu’elle travaillait, je ne faisais pas grand-chose. J’ai effectivement tendance à reporter à demain, ou à plus tard, ce qu’il aurait été plus pertinent de faire le jour même. Quand elle me reprochait ma paresse, je prétendais que je n’avais prévu de faire que le lendemain ce qui n’avait pas été fait.

Elle a donc décidé que je devais faire un planning prévoyant toutes les tâches que je devais faire et de noter leur échéance. Ainsi, elle saurait ce que j’avais fait et surtout ce que je devais faire et que je n’ai pas fait. Bien entendu, elle m’a promis une fessée à chaque fois qu’elle estimerait que j’avais procrastiné.

dimanche 29 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 25 juin 2025 – 9 h 15

Il va vraiment falloir que je change mes habitudes. Je ne peux plus être aussi inconséquent et continuer à manger la bouche ouverte, sans m’inquiéter de ce qu’en pensent les personnes qui sont attablées avec moi. Je sais que c’est très désagréable pour elle. Jusqu’à maintenant, je ne m’en rendait même pas compte.

Il n’y a que depuis que ma compagne m’en a fait la remarque que je sais que, souvent, quand je mastique, j’ai la bouche ouverte. Les premiers temps, ça a duré pendant trois ans, elle s’est contentée de me montrer son agacement. Évidemment, ça n’a rien changé. J’ai continué comme si de rien n’était. Bien sûr j’étais irrité que ma compagne m’en fasse le reproche bien plus que par mon attitude. Jusqu’au jour où elle a décidé de me faire changer de force puisque je ne la faisais pas volontairement.

mardi 24 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 22 juin 2025 – 12 h 45

Quand ma compagne n’est pas là, je prends plein de liberté avec les interdits et les obligations qu’elle a posés. Bien sûr, je sais que si je suis pris à le faire, j’aurai une fessée dont la vigueur dépendra du nombre de fois où ma compagne aura pu constater mes transgressions. Je crois qu'elle sait que je prends des libertés avec ses consignes aussi souvent que je le peux. Je pense que c’est pour cela que, quand nous sommes ensemble, elle n’hésite plus à me donner une grosse fessée quand elle constate une désobéissance.

Je ne crois pas qu’elle prend ces latitudes que je me donne comme une atteinte à son autorité, ce que ce n’est pas. Je pense qu’elle considère que c’est une étape normale dans l’éducation qu’elle me donne. Il s’agit de tester les limites. Tous les enfants le font plus ou moins. Compte tenu de mon immaturité, il n’est pas étonnant que je fasse aussi.

lundi 23 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 20 juin 2025 – 10 h 10

Avec la chaleur qu’il a fait ces dernières nuits, il est difficile de dormir, donc de récupérer. C’est valable pour tout le monde, mais quand, comme ma compagne, on travaille encore, il n’est pas possible de se reposer en journée. Alors que moi, je le peux.

Le gros inconvénient de cette situation, c’est qu’il lui était plus difficile d’assumer son rôle maternel. L’attention constante qu’il demande et l’énergie qu’il faut mettre pour donner une fessée qui compte deviennent une difficulté. J’avais bien vu, ce matin-là, que ma compagne n’avait plus la volonté nécessaire pour assumer les engagements qu’elle avait pris à mon égard.

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 13 h 10

Je n’avais plus vraiment besoin de preuve de l’attention que ma compagne mettait à éradiquer mes mauvaises habitudes. Si on peut dire, la fessée aux orties reçue le matin m’avait rassuré et inquiété sur le sujet. J’étais rassuré car je savais maintenant qu’elle était attentive à mes manques et qu’elle n’hésiterait pas à m’en punir, et inquiet car je voyais le nombre de fessées que je devrai prendre avant d’arriver à me débarrasser ce cette manie.

J’étais aussi inquiet parce que je me doutais qu’un jour ou l’autre, elle se consacrerait à d’autres de mes détestables coutumes habituelles. Comment me fesses pourraient-elles supporter toutes les fessées qui s’annonçaient ? Il me faudrait abandonner beaucoup de ces manies, faute de quoi je devrai me résigner à avoir les fesses cuisantes quasiment en permanence.

dimanche 22 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 10 h 25

C’est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle pour moi, que ma compagne ait décidé d’éradiquer les habitudes que j’ai prises depuis de nombreuses années et qu’elle juge inappropriées pour une personne adulte.

C’est une bonne chose, car je suis bien persuadé que les manies que ma compagne a décidé de me faire passer ne sont pas admissibles pour une grande personne. Je ne sais pas exactement ce qui va faire l’objet de son attention, mais il faut admettre que si, à l’avenir, je ne mange plus la bouche ouverte ou si je ne mets plus mes doigts dans mon nez pour le curer ou encore si je ne mets que des tenues décentes, je n’aurai rien perdu, au contraire.

Mais je comprends que ce sera difficile, car je sais comment ma compagne s’y prendra pour que je change mes façons de faire : une bonne fessée déculottée à chaque fois que je me laisse aller. Ni elle ni moi ne connaissons d’autre méthode efficace pour y arriver et celle-là a fait ses preuves depuis longtemps et elle fonctionne très bien avec moi.

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 09 h 25

Évidemment, se faire déculotter et fesser par sa compagne sans avoir son mot à dire, ce n’est pas commun. Pourtant, depuis que j’ai admis que j’avais besoin de cette supervision pour corriger mes comportements enfantins et mes mauvaises habitudes, je dois avouer que mes écarts sont moins nombreux ou qu’ils durent moins longtemps. Les fessées que je reçois n’y sont pas pour rien.

Ma compagne sait donner la fessée. Même les plus courtes sont toujours cuisantes. Je les crains toutes, mais j’ai une véritable terreur quand elle décide que j’ai besoin de sentir la brûlure des orties sur mes fesses. Ces végétaux ne présentent aucun risque de blessure ou de provoquer un bleu. Elle peut donc les appliquer aussi longtemps qu’elle le juge nécessaire et je les sens au moins pendant une journée entière. Ma compagne dit que c’est tout à fait ce qu’il me faut et qu’ainsi je garde longtemps en mémoire ce qui m’a valu la fessée aux orties et ça me dissuade de recommencer. En général, elle a raison.

samedi 21 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 09 h 15

J’avais maintenant ma réponse. Si j’en croyais ce qu’elle disait, manger la bouche ouverte serait maintenant systématiquement puni et je savais comment. La fessée que j’avais reçue n’était pas la plus grosse qu’elle m’ait administrée, mais elle était à prendre en compte, comme l’une de celles qui comptaient. Dix minutes après, j’en sentais encore les effets.

Elle m’avait promis les orties si je recommençais. Sans doute était-ce dans sa façon de le dire, mais alors qu’elle m’avait déjà annoncé une prochaine fessée avec ces végétaux par le passé, sans tenir son engagement, j’avais tendance à la croire cette fois-ci. Le temps des provocations était sans doute passé. Il était temps, si je ne voulais pas recevoir la mémorable correction qu’elle m’avait prédite, de faire attention à la façon dont je mangeais.

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 09 h 05

Je n’ai eu la réponse aux questions que je me posais que le lendemain, mais elle fut extrêmement claire. Et la journée a confirmé ce dont je me doutais : ma compagne avait décidé de passer à la vitesse supérieure en matière d’éducation. Ce dont nous avions parlé et le courriel que je lui avais envoyé avaient porté leurs fruits.

Tout a commencé au cours du petit déjeuner. J’étais, à ce moment-là, encore dans l’incertitude et toutes mes questions n’avaient pas reçu de réponse. Je ne savais pas encore si ma compagne entendait s’attaquer à mes mauvaises habitudes. Je l’ai compris bien vite.

vendredi 20 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mercredi 18 juin 2025 – 09 h 15

Il est normal, pour toute personne, quel que soit son âge, qui est placée sous l’autorité d’une autre, de tester la validité des exigences qui lui sont imposées, comme il est normal, dans un processus d’éducation, de contraindre celui qui est placé sous la responsabilité d’une autre, de l’obliger à respecter certaines règles.

Ces contraintes doivent être judicieusement choisies parmi ce qui fait partie des difficultés rencontrées, mais qui dépendent de la volonté de celui qui doit les respecter. C’est ainsi que ma compagne a décidé que je n’avais plus le droit de mastiquer mes aliments la bouche ouverte. Je suis d’accord avec elle. Ce n’est pas quelque chose que je veux infliger à ceux qui mangent en face de moi.

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 17 juin 2025 – 18 h 15

Ma compagne exige que je lui obéisse sans tergiverser, ni discuter ce qu’elle décide, et encore moins montrer mon mécontentement même si je ne suis pas d’accord. Elle tient à être la seule à décider de ce qui me concerne, de ce qui est bien pour moi ou pas. Parfois, elle me demande de lui donner mon avis, mais elle n’en tient compte que s’il lui paraît raisonnable. La plupart du temps, elle n’en tient pas compte. C’est absolument normal. Je n’ai pas toujours en tête l’ensemble des éléments qui me permettraient d’avoir un jugement sensé.

Il est un domaine où elle ne requière jamais mon opinion : c’est quand elle a décidé de me punir. Elle attend alors de moi une obéissance totale et comme je reconnais son autorité, je ne résiste pas quand elle entreprend de me déculotter et de me fesser, aussi douloureuse, parfois, qu’ait pu être la correction. Elle est la seule juge des bienfaits que cela m’apportera.

jeudi 19 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 16 juin 2025 – 10 h 05

Je n’ai pas beaucoup dormi de la nuit. Je suis resté éveillé dans notre lit jusqu’à très tôt le matin. Bien sûr, il y avait la brûlure sur les fesses qui ne voulait pas s’atténuer. Je crois que c’est uniquement quand elle est devenue moins vive que j’ai enfin pu m’endormir. Le matin, elle était encore présente, comme pour m’obliger à me rappeler de la fessée et de ce qui l’avait provoquée. Rien que de très normal, j’avais reçu une fessée et j’étais habitué à ce qu’elle soit prolongée par des fesses douloureuses, sauf que la cuisson, avec des orties, est bien plus persistante.

Mais je pense que si je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit-là, c’est aussi parce que je n’arrêtais pas de penser à la nouvelle donne que cette correction avait créée. Comment allaient désormais se passer les repas que nous allions partager ? Je ne croyais pas une seule seconde qu’une unique fessée, aussi rigoureuse ait-elle été, me permettrait d’éradiquer cette mauvaise habitude de manger la bouche ouverte.

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 15 juin 2025 – 18 h 45

 Il est rare que ma compagne me donne une fessée de façon différée, pour une bévue commise il y a déjà quelques temps. Elle préfère les corrections administrées au moment où la faute est commise, là où elle est commise et quelles que soient les personnes présentes.

Évidemment, elle ne fait pas n’importe quoi. Il y a des endroits, des moments et des personnes où il ne serait pas souhaitable de me déculotter pour me fesser. J’ai bien plus de doutes si elle ne me baisse pas la culotte, mais c’est une autre histoire.

Ce soir-là, sans doute je l’avais trop exaspérée et elle voulait radicalement calmer mes protestations.

mercredi 18 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 15 juin 2025 – 17 h 22

Ma compagne considère que parmi les valeurs que doit inculquer l’éducation, le respect dû aux grandes personnes fait partie des aspects fondamentaux. Il n’est donc pas admis une quelconque forme d’insolence. Elle doit être punie aussitôt qu’elle se manifeste afin de montrer à celui ou celle qui l’a commise, que cela représente un comportement inadéquat.

J’ai souvent du mal à faire la différence entre de la plaisanterie entre adultes et de l’insolence dont je pourrai me rendre coupable envers elle. C’est pourtant simple. Elle est une grande personne raisonnable chargée de mon éducation. Donc moi, je n’en suis pas une. Nous nous sommes mis d’accord sur ce sujet au début où nous nous sommes rencontrés.

Depuis, elle comme moi, considérons qu’elle a le droit de me punir à chaque fois qu’elle estime que je l’ai mérité, sans avoir besoin de mon accord. Avoir été insolent envers elle fait partie, à ses yeux, comme une bévue dont il faut me corriger. La fessée déculottée, c’est fait pour ça.

mardi 17 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 15 juin 2025 – 16 h 56

Souvent, quand ma compagne ne travaille pas, nous allons marcher le long d’un plan d’eau. Nous sommes toujours à la recherche de lieux que nous ne connaissons pas. Nous prenons, la plupart du temps, la précaution de trouver un endroit où, si nécessaire, ma compagne pourra me déculotter et me fesser ou me changer quand j’en aurai besoin. En fait, quand elle a besoin de me changer, je ne coupe pas à une bonne fessée déculottée.

Je sais que ma compagne surveille mes passages aux toilettes. Elle ne me fait pas complètement confiance pour gérer mes mixtions. Il m’est déjà arrivé de faire pipi dans ma culotte au cours de nos promenades et je ne compte plus le nombre de fois où j’ai été puni pour avoir sali ma culotte. Ma compagne me considère, à ces moments-là, comme un petit garçon, mais elle n’admet pas que je ne sois pas complètement propre.

lundi 16 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 14 juin 2025 – 13 h 45

J’ai dit à ma compagne, ce week-end, qu’elle avait adopté une attitude plus maternelle vis-à-vis de moi. Je retrouve l’attention dont elle faisait preuve à mon égard quand nous n’habitions pas encore ensemble. Elle a reprit l’habitude de m’habiller et de me déshabiller, de me mettre sur les toilettes quand elle l’estime nécessaire, de m’essuyer les fesses… Il n’y a que la douche qu’elle ne fait plus, mais le lieu ne se prête pas à cet exercice, cependant, de temsp en temps, elle prend le temps de me sécher avec la serviette de toilette.

Malheureusement, tous ces gestes quotidiens incluent également la fessée déculottée et je peux vous assurer qu’il s’agit bien de punitions. Quand elle me punit, c’est toujours qu’elle a une raison valable. Je n’ai rien à dire sur ce sujet. Elle formule plus facilement des exigences, comme ses prérogatives de maman l’y autorisent, et quand je ne m’y conforme pas, elle me punit d’une bonne fessée. C’est l’inconvénient, mais je ne peux pas avoir l’un sans l’autre, alors je prends le tout.

dimanche 15 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 13 juin 2025 – 14 h 51

Honnêtement, j’avais craint, une fois convaincue que je lui avais sciemment désobéi, que ma compagne me donne une très grosse fessée, une de celles qui laisse des traces douloureuses sur les fesses durant plusieurs jours. Il n’en avait rien été. Certes, la fessée qu’elle m’avait donnée n’était pas anodine, mais j’étais certain de ne pas en souffrir plus de quelques dizaines de minutes. C’est d’ailleurs ce qui s’est passé.

Il est vrai qu’elle n’avait pas eu beaucoup de temps pour me punir. Nous étions attendus au restaurant et nous ne pouvions pas trop différer notre arrivée. Je ne savais pas si elle considérait que j’avais été suffisamment puni pour ma désobéissance ou si elle envisageait de reprendre la correction dès notre retour à la maison. Je n’osais pas lui poser la question, de peur que cela lui donne l’idée de continuer ma fessée alors qu’elle n’y avait pas pensé.

samedi 14 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 13 juin 2025 – 12 h 44

Très souvent, je profite de l’absence de ma compagne pour faire tout ce qu’elle me défend. Il s’agit pour moi, de goûter au plaisir de l’interdit, de faire ce qui est défendu, tout en le sachant, avec une boule au ventre qui me rappelle ce qui m’arrivera si ma compagne s’en aperçoit.

J’ai déjà évoqué cette question dans un précédent article. Ce n’est vraiment pas que j’éprouve du plaisir à recevoir une fessée. Certes, je n’ai plus du tout honte de montrer mes fesses nues en présence de ma compagne que ce soit dans l’intimité ou quand elle envisage de me punir, sans doute l’habitude. Cela-dit, c’est toujours ennuyeux quand elle me baisse la culotte avec l’intention de m’administrer une correction. Je n’ai plus du tout l’impression que nous avons une relation entre deux adultes, ce qui est vrai. A ces moments-là, elle dispose de toutes les prérogatives d’une maman, donc de me punir en me déculottant et en me fessant, et moi, je dois obéir. Elle considère qu’elle doit me donner une fessée quand je l’ai méritée et je dois avouer que je ne saurai m’y opposer.

vendredi 13 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 10 juin 2025 – 12 h 43

Ce n’était décidément pas ma journée. Ma compagne avait sans doute décidé de ne rien me laisser passer. Cela ne faisait pourtant que neuf jours depuis que j’avais reçu ma dernière fessée. Ce n’est pas que je le lui reproche. Je sais que quand elle me punit, c’est pour mon bien et parce que je l’ai mérité. Je ne lui en fait pas le reproche, bien au contraire.

C’est juste que, comme toute personne je crois, je préférerais qu’elle utilise un autre mode de punition. La fessée déculottée, c’est infantilisant et j’ai toujours peur que d’autres personnes sachent de quelle manière elle me punit. Mais je sais que si elle a choisi de me déculotter et de me fesser, c’est bien pour que je prenne conscience que si je me comporte de façon irresponsable et infantile, c’est que j’ai besoin d’une punition qui dénie mon statut d’adulte, malgré l’âge que j’ai.

jeudi 12 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 10 juin 2025 – 12 h 31

J’aurais bien dû me douter que cela allait finir par une bonne fessée déculottée. En fait, je m’en doutais, mais cela fait partie de la relation filiale. Il est normal qu’un garçon, quel que soit son âge, teste les limites que lui donne sa Maman. Cela fait partie du processus d’éducation et s’il ne l’a pas fait quand il était petit, il est naturel qu’il le fasse quand il est devenu adulte. Comme il est normal qu’une Maman sanctionne par une bonne fessée quand ces limites sont dépassées volontairement.

Je ne suis pas certain que le terme volontairement soit le bon. Je ne fais rien de volontaire pour recevoir une fessée. C’est bien trop dissuasif. Se retrouver avec les fesses cuisantes, voire avec quelques marques, n’a rien d’amusant. Mais cela fait partie du fonctionnement d’une relation filiale. Je cherche à dépasser les limites sans me faire punir et ma compagne exige que je m’y tienne et elle me punit quand je ne le fais pas.

lundi 2 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 1er juin 2025 – 10 h 12

Ma compagne a dû me donner une fessée déculottée. Encore une fois. J’ai bien essayé de l’éviter et j’ai réussi à en retarder l’administration jusqu’à dimanche matin, mais je ne me faisais pas trop d’illusions. Elle m’avait annoncé la fessée dès le samedi soir et j’avais peu d’espoir de passer au travers.

Elle m’avait ordonné de me raser et les préoccupations du samedi aidant, j’ai oublié de le faire. Nous étions couchés dans notre lit quand elle s’en est aperçue. Sans doute mon visage l’avait quelque peu gratté alors que nous étions en plein câlin.

mercredi 28 mai 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 25 mai 2025 – 19 h 08

Au cours d’un de nos moments d’intimité, lorsque nous ne sommes plus dans une relation filiale, mais que nous formons un couple d’adultes, nous sommes revenus sur ces fessées qu’elle m’avait données. Souvent, nous reparlons des moments où elle assure son rôle maternel.

Nous avons convenu que, certes, j’avais reçu une grosse fessée, mais que j’aurais pu m’attendre à plus. Les fessées qu’elle m’avait administrées n’avaient pas laissé de marques sur mes fesses, alors qu’en d’autres circonstances, c’était déjà arrivé. Par conséquent, je n’ai ressenti les effets de la fessée que jusqu’au lendemain matin.

mardi 27 mai 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 25 mai 2025 – 18 h 53

Moi, j’ai décidé de rouler le plus souvent possible en utilisant le régulateur de vitesse. Ce qui fait que je ne dépasse que très rarement les limites de vitesse autorisées. Mais je peux me faire avoir dans les entrées de villes et de villages, quand on doit diminuer rapidement l’allure à laquelle je roule. C’est ce qui s’est passé cette fois-ci. Je n’ai pas ralenti assez vite alors que le radar était là.

Ma compagne n’apprécie pas quand elle estime que je roule trop vite en voiture. Moi, je ne pense pas que ce soit le cas et je considère qu’elle a peur de conduire sur les petites routes dans la campagne. Comme vous le voyez c’est un sujet permanent de dispute entre nous.

Vous pensez bien qu’elle ne pouvait pas laisser passer alors qu’elle avait la preuve que je roulais trop vite. Je dois avouer que, comme je me fais un point d’honneur à ne jamais rouler au-delà de la vitesse autorisée, j’étais mortifié de m’être fait prendre. Cela valait bien une bonne punition.

lundi 26 mai 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 25 mai 2025 – 18 h 43

Quand j’ai vu ce que contenait la lettre que je venais d’ouvrir, j’ai su qu’une bonne fessée déculottée m’attendait. Comment aurait-il pu en être autrement ? Bien sûr, j’aurais pu tenter de dissimuler, à ma compagne, le courrier et ses conséquences. Ce n’était pas forcément très simple et si j’étais pris à le faire, la correction n'en aurait été que plus mémorable.

Évidemment, je n’hésite que rarement à mentir à ma compagne. Cela m’arrive souvent. Par exemple, alors qu’elle me l’a formellement interdit, je sors fréquemment dans le jardin sans avoir de culotte, les fesses nues. Elle ne s’en aperçoit jamais et je ne reçois jamais de fessées pour cette raison. J’ai déjà abordé ce sujet sur ce blog.

Aurais-je dû faire pareil ? Peut-être, mais je dois avouer que, compte tenu du contenu de la lettre, j’ai tout de suite convenu qu’une bonne fessée s’imposait. Il s’agissait de l’avis d’une amende pour excès de vitesse.

mercredi 30 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 27 avril 2025 – 16 h 32

En général, lorsque ma compagne veut que je prenne pleinement conscience de l’écart que je viens de commettre, elle me baisse la culotte et elle me donne la fessée. Je ne me rappelle pas avoir été corrigé sans qu’elle ait eu une bonne raison de le faire. Elle peste contre mes comportements infantiles et je reçois une punition qui me fait régresser à l’état de petit garçon puni par sa Maman.

Dans notre couple, c’est elle la grande personne raisonnable et elle est très exigeante vis-à-vis de moi. Autant qu’une Maman peut l’être à l’égard de son rejeton. Quand elle me baisse la culotte, j’ai honte qu’elle soit obligée d’en venir à cette extrémité. Mais elle m’a souvent expliqué que, bien que je sois un adulte, je ne sais pas m’auto-discipliner. Il faut donc bien qu’elle s’en charge à ma place. C’est normal. Ce jour-là, elle n’a pas eu besoin de me baisser la culotte pour me corriger. Je vous explique pourquoi.

mardi 29 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 27 avril 2025 – 14 h 57

La fessée reçue le matin ne m’avait pas laissé de marques sur les fesses. Rapidement, je n’en ai plus ressenti les effets, sauf pendant une petite heure quand je m’asseyais, ce que j’ai évité de faire, du moins au début.

Mais je savais que je n’étais pas tiré d’affaire. La perspective du retour de témoins potentiels « non avertis » ne laissait pas la possibilité à ma compagne de me punir comme elle l’entendait. Elle ne savait pas quand ils reviendraient, et elle ne voulait pas leur imposer la vue ni d’une fessée déculottée qu’elle serait en train de me donner, ni de mon exposition au coin, les fesses nues, comme elle aurait voulu le faire.

lundi 28 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 27 avril 2025 – 10 h 39

Ma compagne a décidé de prendre à bras-le-corps mes habitudes qu’elle juge inacceptables. Parmi ceux-ci, il y a, bien sûr, le fait de manger en ouvrant la bouche. Je suis d’accord avec elle. Je dois me débarrasser de cette détestable habitude qui n’est pas agréable pour ceux qui mangent en face de moi. Ma compagne dit que ce n’est pas digne de moi, un garçon qu’elle veut bien élevé avec de bonnes manières. J’en conviens et je voudrais bien m’en délivrer.

Mais chacun connaît le problème. Quand, en tant qu’adulte, on a pris une habitude, aussi exécrable soit-elle, il est très difficile de s’en défaire. Ce n’est pas seulement une question de volonté. Les mauvaises habitudes deviennent un réflexe, on le fait sans y penser. Il faut donc une contrainte très forte pour en changer. Ma compagne a décidé d’exercer cette contrainte et bien entendu, c’est la fessée déculottée qui lui permettra de me faire changer de façon de faire.

samedi 26 avril 2025

De quel type de fessée s’agit-il ?

Je reçois souvent des sollicitations, dans des commentaires suite à la parution d’un article ou directement par courriel, de personnes me demandant s’il serait possible qu’ils viennent ici, le plus souvent, pour y recevoir la fessée.

Sauf lorsque le message est trop laconique, en général j’y donne suite. S’engage alors un échange qui me permet de comprendre pourquoi mon interlocuteur, plus rarement mon interlocutrice, m’interpelle. On y retrouve de tout.

vendredi 25 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 21 h 34

Durant ce week-end, j’ai retrouvé les exigences de ma compagne dans son rôle maternel. Comme elle fait bien plus attention à moi, elle repère des habitudes et des comportements qu’elle juge inappropriés. Elle sait qu’il n’y a qu’une façon de les faire changer, c’est de me punir à chaque fois qu'elle le juge nécessaire.

Presque vingt-quatre heures sont passées depuis ma dernière fessée et j’en porte encore les marques. Bien que les fessées qu’elle me donne soient très cuisantes et, la culotte baissée aidant, soient très embarrassantes, je ne lui en veux pas. Elle ne fait que son devoir de Maman. C’est donc tout à fait normal.

jeudi 24 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 17 h 48

Ce fut un week-end de Pâques fantastique. Notre vie de couple est sur une pente ascendante. Je l’avais déjà écrit à ma compagne, suite à un des derniers que nous avions passés ensemble. Je lui avais fait remarquer que, elle comme moi, nous ne serions parfaitement satisfaits que lorsque notre relation filiale prendrait le même chemin.

Elle m’avait donné une fessée, la semaine précédente, alors que nous marchions sur le chemin de halage du canal, mais c’était une toute petite fessée, que, bien sûr, je l’avais sentie, mais à peine. Certes, elle avait baissé ma culotte en extérieur et cela était déjà une source de honte bien réelle, mais elle était loin d’avoir donné tout son potentiel de sévérité. À ce rythme-là, je ne pensais pas retenir durablement les leçons qu’elle voulait m’inculquer, comme c’était son devoir de Maman de le faire.

Ce week-end de Pâques, elle a rectifié la donne. Elle a assumé totalement son statut maternel et j’en sens encore les effets sur mes fesses. Notre relation fonctionne ainsi : sur deux pieds. Une, a trait à notre vie de couple et l’autre est de nature filiale… c’est pourquoi ma compagne n’hésite pas à me déculotter et à me fesser où que nous soyons.

mercredi 23 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 17 h 09

Après cette première fessée, notre promenade s’est poursuivie. Je sentais, sur mes fesses, la douleur, là où les baguettes avaient imprimé leurs marques. Je n’osais pas regarder plus avant dans quel état étaient mes fesses. Il aurait fallu baisser mon pantalon et ma culotte, et ça, ma compagne ne l’aurait pas permis. Elle faisait comme si ce dernier épisode avait clos le chapitre.

Elle avait totalement raison. Je n’étais pas prêt à m’occuper de nouveau des cailloux du chemin. Chaque fois qu’il y en avait un qui me semblait positionné pour être poussé par mon pied, je résistais à l’envie, sachant, si je le faisais, ce qui m’attendait. Les habitudes des adultes sont souvent profondément ancrées et il est difficile d’y résister. Je sais que, très probablement, il faudra plus d’une fessée pour faire disparaître cette manie. Si ma compagne avait décidé d’y arriver, je sais qu’à force de patience, elle atteindra son but. Mes fesses seront mises à contribution autant de fois que nécessaire, mais pour le moment, la leçon avait porté ses fruits. Plus de coups de pied dans les cailloux… du moins pour aujourd’hui.

mardi 22 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 16 h 45

Ce n’est pas que les fessées que me donne ma compagne aient vraiment cessé un jour, même si les récits n’en ont pas été publiés sur ce blog. Pour répondre à l’interrogation de quelques lecteurs, non, je ne suis pas devenu subitement sage et obéissant. Ma compagne a dû sévir à plusieurs reprises, mais elle n’avait jamais estimé que l’histoire devait en être publiée ici. Hier, après l’après-midi que je vais conter en détail ci-dessous, ma compagne a décidé que je devais en écrire le fil et le mettre à votre disposition sur le blog.

Je ne sais pas exactement quelles étaient ses intentions. Était-ce pour montrer que la fessée déculottée n’a pas disparu des pratiques éducatives, surtout quand il s’agit de parfaire l’éducation d’un adulte ? Était-ce pour accroître la honte que je ressens à l’idée de faire savoir à tous les lecteurs que recevoir la fessée déculottée est encore nécessaire, malgré mon âge ? Il est, en effet, toujours mortifiant de faire savoir à tout le monde que le seul moyen que ma compagne ait trouvé pour contrôler mon comportement et me faire renoncer à des attitudes irresponsables, c’est de me baisser la culotte et de me donner une sérieuse fessée.