samedi 10 décembre 2016

Fabien - chapitre 19

Les deux filles me laissèrent récupérer au coin. Si j’en juge par la conversation que j’entendais, après les quelques minutes où elles se congratulèrent d’avoir si bien réussi leur coup, elles se désintéressèrent de moi. Elles étaient occupées dans un premier temps autour de l’ordinateur puis à d’autres activités que ma seule ouie n’arriva pas à identifier. Cela me convenait très bien.
L’après-midi passa ainsi.

- »Oh la la, il est temps que je rentre ! Je ne vais jamais arriver à faire tout ce que je dois achever avant de manger. Allons, Fabien, on y va ! »
Je me retournais, n’osant pas me reculotter sans en avoir reçu l’autorisation.
- »Tu l’emmènes comme ça, cul nu ? »
La proposition de Corinne me fit blêmir. Lucie était-elle capable de relever le défi ? Il n’y avait pas qu’un jardin à traverser. Cela je l’avais déjà fait, culotte baissée que ce soit chez madame Leblanc ou lorsque Maman m’avait expédié cueillir une badine pour renforcer l’effet de la punition. Non, il y avait là plusieurs centaines de mètres à parcourir dans une rue passante où je ne manquerais pas de faire sensation.
- »Ce serait une bonne idée, mais je pense que cela viendrait aux oreilles de Maman et j’ai peur qu’elle n’apprécie pas. Ce serait bête de tout gâcher la suite pour quelques minutes d’humiliation supplémentaires. »
- »Oui, tu as raison, il faut se montrer raisonnable. »
Sur ces bonnes paroles, je reçus l’ordre de me reculotter. Lucie me prit par le bras, et me reconduisit à la maison en marquant ainsi son autorité et moi mon obéissance.

Lucie m’expédia dans ma chambre et gagna la sienne. Je fus surpris qu’elle ne profitât pas des dernières minutes où elle me tenait sous sa coupe. Allongé à plat ventre sur mon lit, j’attendais le dîner, redoutant à chaque instant l’irruption de ma cousine, signifiant la poursuite de mon châtiment. Il n’en fut rien.
Elle se contenta de m’ordonner de me rendre à table. Le repas se passa sans nouvel incident. Tante Maud se renseigna sur mon degré d’obéissance. Lucie me donna un satisfecit.
Je n’y comprenais plus rien, étonné que Lucie se satisfasse de cette journée incomplète de domination de ma personne.

La table débarrassée, Lucie me prit par l’épaule et me poussa devant elle.
- »Je vais vérifier qu’il se lave bien les dents, déclara-t elle à la cantonade. »
Cette tâche ne me prit que quelques minutes durant lesquelles Lucie ne me quitta pas des yeux. J’étais éberlué : pas la moindre claque sur les fesses. Je dus, toutefois passer mon pyjama devant elle.
- »Ouste, fit-elle, dans ma chambre ! »
Nous y voila, pensais-je. Lucie me fit asseoir sur son lit, à ses cotés.
- »Alors, mon petit Fabien, qu’as-tu pensé de cette journée ? »
Comme je ne répondais pas, elle poursuivit :
- »Pas mal, non ? Je m’en referai bien une deuxième, pas toi ? »
Je la regardais effaré. Où voulait-elle en venir ? Elle ne comptait tout de même pas que je me soumette de mon plein gré à son bon vouloir une autre journée et que je la laisse m’administrer la fessée aussi souvent qu’elle le jugerait bon.
- »Tu ne dis rien ? Alors c’est que tu dois être d’accord ! »
Je me gardais bien de la contredire, sachant que ce serait le prétexte à une fessée.
- »Voila ce que nous allons faire. Je vais crier un peu après toi, puis nous irons ensemble dans le séjour où je te donnerais une fessée. »
Je baissais la tête, sachant que je n’avais pas les moyens de contrecarrer ses plans. Il me fallait patienter toute la soirée et subir les corrections qu’elle déciderait.
- »Seulement, quand tu commenceras à avoir sérieusement mal aux fesses, tu mettras ta main pour protéger tes fesses. N’aie crainte, je te l’enlèverai après m’être plainte auprès de Maman. Une fois que la fessée aura repris depuis quelques minutes, ce sera avec le martinet, tu te débattras et tu te lèveras de mes genoux. »
- »Non ! » répondis-je effaré.
- »Oh si, mon petit garçon, tu vas le faire. Et sais-tu ce qui arrivera alors ? Maman prolongera ta punition jusqu’à demain soir. »
- »Non, répétais-je, je ne le ferai pas ! »
- »Je crois que tu n’as pas bien compris. Tu n’as pas le choix. Viens voir ! »
Lucie alluma son ordinateur, elle consulta son courrier électronique et s’exclama :
- »Voila, c’est là ! »
Elle ouvrit un courrier et cliqua sur la pièce jointe. Un diaporama s’ouvrit. J’étais au premier plan, culotte baissée écoutant le sermon de ma cousine, puis tout le film de cet après-midi défila montrant sans équivoque mon obéissance et comment ma cousine me punissait de façon très efficace au vu de mes réactions, ma révolte vite réprimée, mes fesses rouge vif au fur et à mesure que la règle était appliquée sur mes fesses.
Puis, ma partenaire changea. Corinne venait d’entrer en scène. Mon déculottage occupait un temps considérable. Il était visible que je n’obéissais pas de bonne grâce, mais je m’y soumettais. Les marques imprimées par le martinet étaient nettement apparentes. Ma mise au coin ne faisait que compléter le tableau sans dépareiller. Nous étions tous les trois facilement reconnaissables. Il était clair que la punition était réelle, et que j’y étais contraint par la volonté et l’autorité des deux jeunes filles auxquelles je ne tentais pas de me soustraire.
- »Que penses-tu que vont croire tous tes copains quand ils vont recevoir ce courrier ? Et toutes les filles que tu connais ? Je crois qu’il nous suffit de l’adresser à deux ou trois personnes judicieusement choisies pour que cela fasse le tour de la ville avant demain soir. »
Elle me laissa quelques instants de réflexion puis elle reprit :
- »Que préfères-tu ? Recevoir la fessée de ma part et de celle de Corinne bien sûr, demain ou bien … que toute la ville …, tous tes copains …, et toutes les filles … Tu imagines, dès que tu vas faire quelque chose qui ne leur plaira pas, elles vont te menacer d’une bonne fessée. J’en connais quelques unes qui n’hésiteront pas à passer aux actes, sachant que tu y es habitué. »
Elle laissa sa phrase en suspend.
- »C’est simple. Soit tu fais ce que j’ai décidé ou alors les photos partent dès ce soir. C’est toi qui décide. »
Elle laissa passer une bonne minute, sans doute pour me donner le temps d’imaginer les conséquences de ma désobéissance.

Alors, élevant la voix, Lucie commença à me gronder. Puis elle me poussa devant elle et nous fîmes irruption dans le séjour où Tante Maud et Marie regardaient la télévision, chacune assise dans un fauteuil.
- »Décidément, fit Lucie, il est impossible ce soir. Pas moyen de le laisser seul sans qu’il fasse une bêtise. »
Elle prit place sur le canapé et me baissa la culotte de pyjama. Alors, elle m’allongea au travers de ses genoux. Sa main commença à claquer sur mes fesses nues. Très vite la punition me fut intolérable, je l’accompagnais de mes cris, puis de mes pleurs.
C’est sans l’avoir vraiment décidé que je couvris mes fesses de ma main droite laissée libre par la position que j’occupais. La première scène du scénario qui m’avait été exposé quelques minutes auparavant venait de commencer. J’y jouais consciencieusement mon rôle.
- »Maman, regarde ! s’écria Lucie, il ne me laisse pas lui donner la fessée. »
- »Fabien, tu es puni jusqu’à ce soir, mais si tu recommences, je prolonge la punition. »
Lucie saisit mon poignet et recourba mon bras dans mon dos. Elle m’avait administré deux claques quand sa mère l’arrêta.
- »Non, Lucie, je ne veux pas que tu lui tienne la main dans le dos. Il doit se soumettre à la fessée puisque je l’ai puni. S'il recommence, il sait ce qui l’attend. »
Lucie libéra mon bras que je m’empressais d’ôter du trajet qui permettrait à Lucie de continuer ma punition.
- »Par contre, continua Tante Maud, je pense qu’il faut lui donner le martinet pour sa désobéissance. Marie, va le chercher et donne le à ta sœur. »

Le martinet aidant, la fessée devenait bien plus sévère. Tout en exécutant la danse fessière imposée par la correction que je recevais, je ne cessais de penser qu’il fallait que je passe à la phase suivante du plan élaboré par ma cousine.
C’est presque avec soulagement que, poussant sur mes bras, je me dressais suffisamment pour glisser des cuisses de Lucie et me retrouver agenouillé à ses pieds, interrompant ainsi la fessée.
- »Fabien, tu te remets en position tout de suite ! »
Lucie n’avait pas eu besoin de protester, Tante Maud avait réagit immédiatement. Je me hâtais d’obéir, me replaçant à disposition des lanières du martinet.
- »Je prolonge la punition jusqu’à demain soir et je te conseille de ne pas continuer comme ce soir. »
Lucie m’administra peut-être une vingtaine de coups de martinet, puis elle s’arrêta. Elle avait obtenu ce qu’elle voulait : elle me tenait sous sa domination une journée supplémentaire.

Plus tard, après un séjour au piquet, Lucie me raccompagna dans ma chambre pour me mettre au lit. Elle s’assit sur mon lit. Agenouillé entre ses jambes, couché sur sa cuisse gauche, Lucie m’appliqua la pommade qui soulageait effectivement la cuisson de la peau de mon postérieur et du haut de mes cuisses. La position était toujours aussi humiliante, mais je ne protestais pas. Lucie prit son temps, prenant au sérieux son rôle de baby-sitter, veillant à ne pas oublier le moindre centimètre de peau. Sa main caressait lentement mes fesses en un mouvement circulaire afin de faire pénétrer l’onguent dans mon épiderme qui avait été largement mis à contribution toute la journée.
- »Tu sais, Fabien, me dit-elle durant ce massage, je veux bien être plus clémente demain. Je ne te donnerai la fessée que si je pense que tu l’as réellement méritée. A condition que tu acceptes que nous refassions la même chose demain soir. J’aurai le droit de te fesser une autre journée. Qu’en penses-tu ? »
Je ne voyais pas quoi répondre. La situation était sans issue. Lucie avait parfaitement bien su retourner mon plan contre moi. Elle disposait de toutes les cartes maîtresses et je ne voyais pas comment m’en sortir, sauf à accepter que ma cousine puisse durablement me punir aussi souvent qu’elle le souhaiterait.
- »Bon, reprit-elle, je te laisse réfléchir jusqu’à demain. »
Lucie me mit au lit, avec douceur comme elle l’aurait fait avec un petit enfant. Elle déposa un baiser sur mon front. Après avoir éteint la lumière, elle demeura assise sur mon lit, me caressant les cheveux. Lorsque je recommençais à sangloter, elle glissa sa main sous l’élastique de mon pyjama, reprenant un léger massage de mon fessier endolori. Comme un petit garçon, consolé par la main qui venait de lui administrer la fessée, je m’endormis, apaisé.

Le lendemain, dès le petit déjeuner achevé, Lucie procéda à ma toilette. Puis, elle me replaça comme elle l’avait fait la veille afin de m’enduire les fesses de pommade. Elle reprit alors notre conversation interrompue lorsqu’elle m’avait mis au lit.
- »Alors, as-tu réfléchi ? Que préfères-tu ? Une journée de fessée en continue comme hier ou bien une prolongation de ta punition ? »
Je demeurais coi, refusant de choisir entre la peste et le choléra.
- »Fabien, si ce n’est pas toi qui choisis, ce sera moi. Dans ce cas, je vais choisir les deux : une bonne journée de fessée et la prolongation de la punition que j’obtiendrai ce soir. Je pourrai me contenter de te corriger en catimini lorsque personne ne le sait. Mais je préfère pouvoir te fesser avec l’assentiment de Maman. »
Je cédais. Je suppliais Lucie de ne pas me punir continûment toute cette journée.
- »Cela veut dire que tu recommenceras à désobéir pendant que je te fesserai ce soir. »
- »Oui, oui, je vais obéir à ce que tu veux. »

La journée se passa de façon acceptable. Corinne vint aux nouvelles l’après-midi. Elle trouva prétexte à me déculotter, puis à me fesser deux fois. Certes, cette situation était toujours embarrassante, mais je ne résistais pas plus que lorsque ma cousine décidait de me punir.
Lucie m’administra trois fessées : deux à main nue et une avec le martinet. Malgré la prudence que je mettais à ne pas me fourrer dans un mauvais pas, je dus reconnaître qu’elles étaient justifiées si on admet que la plus petite pacotille doit être sanctionnée par une fessée déculottée. Elle se comportait en permanence comme une grande personne, chargée de me surveiller. Ses froncements de sourcils suffisaient à déclencher une attitude immédiate de soumission et étaient bien souvent le prélude à la punition. Son attitude ne me permettait pas d’oublier la situation dans laquelle je me trouvais.
Il fut convenu le soir, que je me présenterai à table avec les mains sales, ce qui serait le motif suffisant à une nouvelle fessée durant laquelle je me débattrai jusqu’à mériter la prorogation de ma punition.
La réaction de Tante Maud dépassa les espérances de Lucie. A la première insoumission sa menace fut explicite.
- »Si tu recommences, Fabien, tu es puni jusqu’à la fin des vacances. »
Quelques minutes supplémentaires de fessée, et je fus soumis à l’autorité de Lucie jusqu’à la fin de mon séjour.

A mon grand étonnement, elle n’en abusa pas. Sûre de son fait, elle ne me punissait que lorsque je l’avais mérité. Il est vrai qu’il en fallait peu pour mériter une déculottée. Corinne, par procuration, bénéficiait à discrétion du même droit. Au bout de quelques jours, recevoir la fessée de l’une ou de l’autre, c’était comme la recevoir en famille ce dont j’avais l’habitude depuis presque un an. Cela ne me gênait pas plus, mais pas moins non plus, que d’être déculotté devant mes colocataires chez Madame Leblanc ou par Tante Maud. Elles savaient, l’une comme l’autre, me transformer en un petit garçon suppliant et sanglotant en attendant que la fessée soit achevée.
Toutes les fessées que j’ai reçues de la part de ma cousine me furent administrées dans une intimité relative. La présence de Corinne, de Tante Maud ou de Marie était habituelle, normale. Une fessée décidée était une fessée administrée sur le champ. Les spectatrices étaient habituées, chacune considérait ces situations comme légitime au sein de notre cercle restreint, n’hésitant pas à passer aux actes elle-même quand elle le pensait nécessaire. Il me fut, d’ailleurs, souvent rappelé que c’était pour mon bien. J’étais apparemment le seul à considérer que me déculotter devant plusieurs personnes pour recevoir une fessée de ma jeune cousine, était une situation anormale, bien que j’eusse pris très vite l’habitude de ne pas discuter ou hésiter à obéir. Lucie su me démontrer, en aggravant systématiquement le châtiment, qu’une telle attitude était insensée. Il n’était pas question de perdre le temps nécessaire à nous isoler des regards de ces témoins, la fessée m’était donnée en famille.

Il y eut une exception dont je garde un souvenir cuisant. Elle me servit de leçon.
J’avais remarqué que lorsque nous étions dans un lieu public, Lucie différait l’administration de la punition. J’en profitais, adoptant souvent une attitude à la limite de la provocation. Je savais que cela se terminerait par une fessée, une fois revenu dans un cadre familial, mais je jouissais de cette once de pouvoir, défiant en quelque sorte ma cousine de passer à l’acte en public. J’étais certain qu’elle n’oserait pas.
Ce jour là, Lucie, accompagnée de Corinne, m’avait amené à la plage où nous avions passé l’après-midi. Il était temps de prendre le chemin du retour si on voulait être arrivé à la maison à l’heure fixée par Tante Maud.
Depuis que Lucie avait autorité sur moi, la responsabilité de respecter les horaires lui incombait. Tante Maud prétendait, à juste titre qu’elle disposait de tous les moyens pour me faire obéir, la réciproque n’étant pas vrai. Qu’elle ait le droit de me fesser ne la dispensait pas de subir la même punition quand Tante Maud le jugeait approprié. Toutefois, la fessée ne lui était plus administrée que rarement, comme si elle avait acquis un statut de presque adulte qu’il est peu souvent nécessaire de corriger.
Deux jours auparavant, nous étions rentrés une dizaine de minutes après l’heure convenue. Tante Maud avait menacé, promettant de sévir si cela se reproduisait. Lucie et moi savions qu’elle tenait ce genre de promesse.

- »Fabien, viens t’habiller, nous rentrons ! »
Elle avait adopté, devant les copains, un ton de commandement s’adressant visiblement à un petit enfant.
- »Ouais, je viens. Je vais juste me baigner une dernière fois. »
Sans attendre sa réponse, je partis en courant vers l’eau dans laquelle je pénétrais avec force éclaboussures. Je plongeais sous le premier rouleau. Lorsque j’émergeais, je fus agrippé par le bras. Certaine de sa légitimité, Lucie me tira derrière elle pour me sortir de l’eau, me faisant remonter la plage vers le lieu où était planté notre parasol.
- »Bon, ça va, je viens, calme-toi ! »
Elle ne disait pas un mot, mais je voyais à son air fermé qu’une fessée m’était promise dès notre retour à la maison. Elle se saisit de ma serviette et entreprit de me sécher. Ce geste montrait, à mon goût, beaucoup trop ouvertement l’ascendant qu’elle avait sur moi. J’avais réussi jusqu’alors à ce que cette situation ne soit pas trop évidente lorsque nous étions hors de l’intimité familiale.
- »Laisse, je vais le faire. »
J’arrachais la serviette de ses mains. Je crois que c’est cette goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
- »Ca commence à suffire ! »
Lucie me ceintura de son bras gauche. Je résistais un tout petit peu, puis l’habitude de me soumettre prit le pas. Je la laissais me courber sous son bras sans prendre conscience de la nombreuse assistance qui nous entourait. A ma grande honte, je sentis que sous mon ventre, de sa main droite, elle desserrait le lacet qui tenait mon maillot de bain. Dans mon dos, elle saisit alors le haut du seul vêtement que je portais, elle le fit glisser le long de mes fesses, puis de mes cuisses. Il tomba sur mes chevilles.
- »A genoux, m’ordonna-t elle. »
Je pris la position qui lui rendait l’administration de la fessée plus confortable.
C’est alors que je réalisais toute l’horreur de la situation : la fessée déculottée en public, devant tous les copains, était au programme.
J’allais protester quand la première claque retentit, je l’accompagnais d’un cri, montrant, s’il en était besoin, que mon châtiment était bien réel. Ce fut une petite fessée. Lucie ne fit pas durer la punition plus d’une petite minute, juste suffisamment pour me chauffer le derrière et probablement me rougir légèrement les fesses et obtenir quelques cris de douleur. Quand elle cessa, tout en me maintenant dans la même position, elle m’ordonna de soulever mes pieds l’un après l’autre, afin de m’ôter complètement mon maillot de bain.
Elle me relâcha alors. Je me redressais, me trouvant totalement nu sur la plage, au vu et au su de tous. Je n’osais pas regarder quelle avait été la réaction de l’assemblée qui avait assisté à mon déculottage, puis à ma punition mais les larmes qui coulaient sur mes joues montraient sans ambiguïté ma honte d’apparaître dans cette tenue.
Le temps qu’elle vaque à ses occupations, Lucie me laissa comme elle l’aurait fait pour un tout jeune enfant : mes fesses rougies et mon sexe exposés à tous vents. Un silence stupéfait avait accueilli la démonstration d’autorité de ma jeune cousine, faisant de notre couple le centre d’attraction de plusieurs dizaines de personnes, homes et femmes, adultes et enfants. Je sentais converger les regards incrédules de ce nombreux public vers mes parties intimes largement visibles.
Lucie prit le temps de ranger les quelques affaires qui traînaient encore, m’oubliant quelques instants, laissant les spectateurs intégrer le coté incongru de la situation. De mon coté, je restais sans réaction. Je savais que le moindre signe de désobéissance serait immédiatement sanctionné. Je n’avais pas d’issue qui m’aurait permis de fuir. Il me fallait rester là à attendre le bon vouloir de ma cousine, confirmant, de fait, sa légitimité à me fesser quand elle le jugeait bon et reconnaissant, par mon obéissance, que le traitement qu’elle m’avait infligé était mérité.
Elle se retourna vers moi, la serviette à la main. Elle entreprit de me sécher en commençant par mes cheveux. Elle prit le temps nécessaire et mon imagination me fit voir le spectacle que j’offrais alors. La serviette qui recouvrait ma tête ne me permettait plus de voir ce qui se déroulait autour de moi, amis il devait être clair pour quiconque qu’elle maîtrisait la situation et qu’elle savait me faire obéir comme un petit garçon obéit à une grande personne. Cette situation me donna un sentiment de soumission encore plus fort que durant la fessée elle-même.
Frottant énergiquement ma peau, Lucie entreprit de sécher mon buste, puis mon ventre. Le pire était à venir.
- »Tourne-toi, dit-elle. »
Elle accompagna cet ordre d’une petite claque sur mes fesses. J’obéis promptement, par habitude, mais également pour éviter de lui donner un prétexte suffisant pour me corriger de nouveau.
Elle frotta mes fesses, puis mon entrejambe et enfin mon sexe. J’écartais mes mains, la laissant officier. Une fois séché des pieds à la tête, Lucie me présenta une culotte qu’elle maintenait ouverte entre ses mains. J’y passais une jambe après l’autre sur son ordre. Elle remonta ma culotte dissimulant aux regards ma nudité.
- »Tu mets tes sandales et tu prends le parasol, et en route. »
Afin de faire bonne mesure, elle m’administra une claque sur la peau nue en haut de ma cuisse.
- »Mais, Lucie, s’il te plait, il faut que je mette mon short. »
Il était difficile de confondre mon slip avec un maillot de bain. Il était donc évident que j’étais à moitié dénudé. Effectuer tout le chemin jusqu’à la maison dans ce simple appareil me parut aussi indécent que si j’avais été fesses nues.
- »Pourquoi veux-tu mettre un short ? De toute façon, dès que nous sommes arrivés, je te déculotte pour te donner le martinet. »
Cette phrase avait été proclamée assez fort pour que les spectateurs les plus proches, y compris mes copains et copines, n’en perdissent pas un mot.
D’une nouvelle claque retentissante sur mes fesses, Lucie donna le signal du départ.

Suite à cet épisode, Lucie n’eut plus besoin de sévir en public. J’étais d’une obéissance scrupuleuse, montrant ouvertement ma soumission. Lucie ne se cacha pas pour expliquer la situation à ceux qui, ayant assisté à ma punition sur la plage, voulaient en savoir plus. Contrairement à ce que je craignais, mes copains ne firent pas d’allusions trop fréquentes à mon humiliation publique. Toutefois, ils me traitaient comme un petit, allant demander l’autorisation à Lucie de me laisser participer à leurs activités.
Par contre, l’attitude à mon égard de certaines des filles se modifia considérablement. Elles furent plusieurs à froncer les sourcils et à me gronder dès qu’elles le jugèrent nécessaire. Trois ou quatre fois je fus menacé d’une fessée. A chaque fois, j’obéis avec célérité. Je ne voulais pas pendre le risque qu’elles tentent de mettre leurs menaces à exécution, ne sachant pas si j’oserai alors désobéir lorsqu’elles m’ordonneraient :
- »Fabien, baisse ta culotte ! »

13 commentaires:

  1. Fin définitive de la série.Laissons Fabien à ses interrogations.
    JLG

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  2. Excellente série. Juste, il est dommage que la cousine Lucie n'est pas payée pour ses manigances...

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  3. je pense que Fabien a un slip et non une culotte

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  4. De toute façon pour la fessée il fait baisser la culotte et le slip avant d’administrer la punition cul nu...alors qu’importe.

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  5. Moi lorsque j’étais un ado rebelle et immature, plutôt paresseux et tjs prêt à faire des bêtises avec les copains. Des idées je n’en manquais pas et nous ne savions que faire pour nous faire remarquer, espérant bien sûr ne pas nous faire pendre…ce qui arrivait parfois. J’étais sévèrement grondé et la suite c’était le dernier avertissement avant la punition : « Pascal, je te préviens je vais te fesser » ou « Maintenant ça suffit , si tu continues je te baisse la culotte devant tout le monde et je te colle une fessée dont tu te souviendras ». Je baissais la tête et je rougissais surtout lorsqu’il y avait des copains, des cousins ou des amis de mes parents. Parfois la menace s’accompagnait d’une paire de claques sur les cuisses en guise d’avertissement . Cela me calmait mais très vite mon naturel de gamin immature et insolent reprenait le dessus. Et lorsque mon père n’attrapais par l’oreille j’avais beau demander pardon, c’était trop tard je savais que j’allais être corrigé. Et la correction chez moi c’était la fessée administrée en travers des genoux avec les fesses à l’air. Et pas question de protéger mes fesses avec les mains car elles étaient claquées, je mettais alors des fois mon pouce à la bouche comme un gosse qui attend sa fessée. Souvent c’était une sévère réprimande et : « Viens tout est de suite ici recevoir ta fessée”
    Et parfois le redoutable martinet était décroché et c’était une bonne fouettée sur les fesses et sur les cuisses nues . Tout le monde savait ainsi que je venais de recevoir la fessée, la culotte courte ou je petit short l’été laissant les cuisses dénudées. Ça faisait aussi partie de la punition.
    Pascal

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    1. Ah le martinet je sais qu’on a tous cette même approche confuse. C’est l’instrument de la fessée magistrale . Je le redoutais lorsque j’étais ado époque où il a beaucoup servi et maintenant j’ai retrouvé ce bon vieux martinet, il est encore en parfait état, et je m’en sers pour fustiger mes fesses. Bien sûr je me déculotte parce que la fessée c’est cul nu. Et le martinet ça single bien les cuisses aussi.

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    2. moi aussi j'ai etait fouetter lomptemt j'ai garder le dernier martinet j'aime le voir accrocher a son clous et il me manque de recevoir des fessees

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    3. Bonjour père fouettard fouetter. Merci pour ton commentaire. Je vois que nous avons souvent été fessés et partageons ce même besoin de fessées et du martinet. Ça me manque aussi. Je me donne aussi la fessée et le martinet …et toi...? Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    4. Lorsque j’ai retrouvé mon dernier martinet en faisant du rangement au grenier dans la maison où je passais mes vacances d’été…il était en parfait état…avec son manche en bois et ses solides lanières et cuir… quelle émotion…

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    5. J’ai reçu cette semaine une bonne fessée déculottée de ma chef de service… En fin de semaine elle m’a demandé de lui rendre compte des dossiers qu’elle m’avait confiés. Mon travail n’était pas à la hauteur de ses attentes et c’est vrai que je n’étais bcp dispersé. Elle m’a adressé quelques réflexions un peu sévère auxquelles j’ai répondu en bafouillant… c’est une personne rigoureuse et très stricte. Elle a clairement émis des doutes sur ma future promotion. Je ne savais que répondre. Au bout d’un moment elle s’est un peu emportée : “ vous me décevez, vous mériteriez…je sais pas quoi tiens.. » et moi de répondre avec un rire un peu niais et sans penser que cela pouvait m’arriver : « je sais pas moi…et bien quoi…une fessée peut-être. »
      Et elle de saisi la balle au bond si je peux dire : « oui justement tiens c’est une bonne idée, la fessée, et vous l’avez bien méritée. Venez ici que je vous en colle une tout de suite. Aussitôt elle le tire vigoureusement par l’oreille et me traîne vers son fauteuil. Surpris de sa réaction et sans que j’oppose la moindre résistance, comme si je m’y attendait, elle baisse mon pantalon et mon slip et m’allonge sur ses genoux. Une déferlante de claques s’abat aussitôt sur mes fesses et sur mes cuisses nues. Elle me fesse sans cesser de me gronder m’expliquant le motif de ma correction. Mes pleurnicheries de gamin (comme a 10 ans au collège) ne font qu’accentuer la fessée. Je sais que je la mérite… lorsque la fessée se termine je me relève tout penaud et remonte mon pantalon avec peine sur son fessier brûlant. La dame paraît satisfaite. “Allez, vous êtes pardonné, n’en parlons plus. Mais je n’hésiterai pas à recommencer si c’est necessaire et tenez vous le pour dit. Vous savez la fessée déculottée c’est la correction qui convient a des grands garçons immatures de votre genre. Je suis bien placée pour le savoir je vous assure. Mon mari est exactement comme vous et sans la fessée je ne sais pas ce que je ferais de lui. Une bonne correction et ça va mieux alors je n’hésite jamais à le déculotter. ». La journée se termine et je rentre chez moi. Cette fessée…wouaw…!

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    6. Je dois dire que je n’étais pas très proche de cette chef de service et elle m’agaçait un peu. Je l’évitais le plus possible. Autant elle était stricte et sévère autant j’étais dilettante. Depuis qu’elle n’a donné la fessée nos rapports ont changé. J’ai compris qu’elle m’avait puni dans mon intérêt elle me l’a fait comprendre. J’avais besoin d’une solide reprise en main comme elle sait le faire et d’être corrigé au moindre écart comme un gamin que je suis. Cela ne manquait. J’envisage d’inviter ma chef de service à la maison avec son mari que je ne connais pas encore. Je suis sûr qu’elle acceptera parce qu’elle m’a pris sous son autorité. Je sais que j’en ai besoin désormais. Bien sûr je fais tout pour m’améliorer mais mon naturel reprend souvent le dessus et je sais qu’elle hésitera pas à me fesser. Si le couple rencontre ma femme ça pourrait être sympa. Je sais c’est pas facile pour évoquer la fessée. Je compte sur ma chef pour l’évoquer, je l’en crois capable,et cela va de soi que je l’y aiderai. Ce serait bien si elle venait à parler des corrections données à son mari pour terminer sur celles que je mérite. Ça pourrait donner des idées à ma femme surtout si elle le lui suggère. Et puis plus tard peut-être, mais n’anticiperons pas, ma femme pourrait aussi fesser son mari. Mais ça c’est encore une autre étape, et la première n’est pas encore franchie alors…! Pascal

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    7. Croyez vous que ce soit une bonne idée…? Qu’en pensez-vous.

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    8. J’ai fait le premier pas, j’ai invité ma chef de service et son mari dimanche prochain à la maison. Elle a accepté, je m’en doutais un peu car elle m’a pris sous son autorité et entend bien poursuivre ce qu’elle a commencé. Lorsque je me relâche dans mon travail elle n’hésite pas à me promettre une fessée. J’ai un peu honte de dire que jeudi dernier elle a à nouveau sévit. Une fessée punitive encore plus cuisante que la première. Je sais qu’elle était bien méritée… enfin j’attends le week-end prochain avec impatience et une pointe d’angoisse. Je vous raconterai en détail. Pascal

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